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Chapitre 5

« M. Boucher, je ferai immédiatement rapport au patriarche, vous... »

« Je n’accepte pas des négociations, ou je détruirai complètement la famille Boucher ! »

Avant que l'autre partie ne puisse finir ses mots, Louis a raccroché le téléphone avec un claquement.

Dans le quartier des villas de la Côte d'Or, chaque villa est conçue par un designer renommé mondialement. Tout est soigneusement sélectionné par des designers. Cet endroit ne pouvait pas être mesuré avec de l'argent.

En ce moment, Louis était assis négligemment sur le canapé du balcon, regardant un homme âgé en costume Tang qui avait l'air un peu hagard.

Paul Boucher, l'actuel chef de la famille Boucher dans la Région L.

S'il ne l'avait pas vu de ses propres yeux, personne n'aurait deviné que ce vieil homme apparemment ordinaire était l'une des personnes les plus puissantes de la famille Boucher.

Et derrière Paul, il y avait deux gardes aux yeux perçants debout.

« C’est vraiment l'ancien chef de notre famille Boucher, trois ans passé, mais il a toujours l'air bien ! »

Après s'être assis, Paul a plaisanté avec un sourire.

« Vous me suppliez de revenir avec cet attitude ? » a déclaré Louis.

Lorsque les deux personnes derrière Paul ont entendu les mots, leur teint a radicalement changé et une énorme vague s'est déclenchée dans leur cœur.

Ils ont suivi Paul pendant de nombreuses années et on pouvait dire qu'ils sont bien informés.

Mais c'était la première fois qu'ils voyaient que quelqu'un dans ce monde osait parler au chef de la famille Boucher comme ça.

Était-ce possible ?

En ce moment, les deux gardes regardaient Louis avec des expressions maussades.

Cependant, la réaction de Paul a été au-delà de leurs attentes : « Vous ne plaisantez pas, le statut de cette personne dans la famille Boucher à l'époque était vraiment sans comparable. Si vous le regardez de cette manière à cet époque, vous êtes déjà morts ! »

« M. le Patriarche, mais il vous a manqué de respect... »

Paul a souri et a dit calmement : « Tant qu'il peut accepter ma demande, ne dites rien d'irrespectueux, même s'il me donne deux gifles, je m'en fiche. »

« Quoi !? »

Les deux gardes ont été choqués et ont regardé Louis avec incrédulité.

Cette personne qui ressemblait à un pauvre homme était si géniale ?

« L’entreprise de la famille Boucher a été construit par lui. »

« Pardon !? »

Les deux gardes ont haleté, avec des expressions d'incrédulité.

Celui-ci était en fait le tabou de la famille Boucher, celui que personne ne pouvait en discuter !

« D'accord, partez-vous. »

Après la sortie des deux gardes, Louis a dit calmement : « Parle vite si tu as quelque chose à dire ! »

Paul s'est assis droit et a dit solennellement : « Louis, la famille Boucher a besoin de toi maintenant, je t’implore de retourner dans la famille maintenant et de prendre ma place. »

« Cela ne m’intéresse pas », a dit froidement Louis.

« Alors, tu me prêtes 10 milliards ! » Paul a directement changé sa demande.

Le coin des yeux de Louis a tremblé : « 10 milliards ? Mon oncle, tu n’es pas gêné de le demander ! »

Paul a rougi et a poursuivi avec un visage timide : « Je ne peux rien y faire. La famille est vraiment au bord de la crise maintenant. Tu peux revenir pour prendre en charge cette situation, ou me prêter 10 milliards. »

« Tant que tu fais l'une d'entre elles, j'accepte toutes tes conditions précédentes ! »

Louis a jeté un regard profond sur Paul, puis a dit avec un peu d'impuissance : « Je sais ta sincérité, mais la question est, de savoir où puis-je obtenir autant d'argent ? »

« Louis, veux-tu vraiment voir notre famille s'effondrer ? Tu as près de 100 milliards sur ton compte offshore, et le destin de notre famille est entre tes mains ! »

Paul était jaloux, « On ne peut pas oublier ses racines ! »

Louis souriait toujours au début, mais quand il a entendu cela, son visage est devenu glacial : « J'ai oublié mes racines ? Mon oncle, que m'est-il arrivé il y a trois ans, as-tu besoin que je te le rappelle ? »

« J'ai personnellement ramené la famille Boucher au sommet ! »

« Et c’est moi qui va faire de la famille Boucher l'une des dix meilleures familles du pays ! »

« Mais au moment critique, qu'est-ce que tu m'as fait ? »

« L’ancien héros de la famille a failli de mourir à cause de toi. Maintenant, tu ne trouves pas que c'est ridicule de me dire de ne pas oublier mes racines ? »

« Ces dernières années, j'ai été le gendre de la famille Royer. Je ne suis même pas aussi bon qu'un chien. Cependant, mes familles n'ont même pas l'intérêt de me rendre un petit service ? »

« Mais quand vous avez rencontré des ennuis, vous souviendriez-vous de moi ? »

Louis a dit mot à mot.

Les coins des yeux de Paul se sont contractés, puis il a dit rapidement : « Louis, cette affaire est en effet de notre faute, nous montrerons notre sincérité maintenant... tant que, tant que tu peux aider la famille à surmonter cette difficulté, je peux prends la décision, à partir de maintenant tu seras le président de Société d'investissement de la famille Boucher ! »

Bien que cette société ne soit pas la plus grande entreprise de la famille Boucher, elle possédait des ressources essentielles.

C’était une société d’investissement. Elle a détenu les actions de la région L, et il existait d'innombrables nouveaux projets qui attendaient d'être répertoriés. De manière inattendue, Paul était vraiment disposé à lui offrir cet entreprise.

« D'accord, faisons-le comme ça », a dit Louis, à l'origine, il ne voulait pas prêter attention aux affaires de la famille Boucher, mais ce qui s'est passé ce matin était vif dans sa mémoire.

S'il refuse cette opportunité, n’importe qui pourrait lui marcher dessus.

« Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de cette affaire. Tu peux aller à l'entreprise pour le signer demain. De plus, j'ai arrangé la rose de Prague dont tu as besoin... »

Paul a laissé échapper un soupir de soulagement.

Si Louis ne les aidait pas, même si la famille Boucher n'avait pas fait faillite cette fois, la situation ne serait pas bien.

Louis n'a pas pris la peine de lui parler. Si Paul ne pouvait pas bien gérer ses demandes, il n'aurait pas à s'amuser dans le monde des affaires.

« Au fait, prête-moi ce costume. »

Louis était sur le point de partir, mais quand il a vu un tout nouveau costume sur le canapé, ses yeux se sont illuminés.

Ce soir, il allait assister à une réunion de camarades de classe à l'université, et il s'inquiétait de ne pas avoir de meilleure costume, et il était trop tard pour l'acheter maintenant.

« C'est bon, prends-le si tu veux, c'est un cadeau d'Armani, et l'étiquette est là. »

Paul a hoché la tête avec désinvolture.

Bien que ce costume vaille beaucoup, comparé à 10 milliards, ce n'était rien. Le majestueux patriarche de la famille Boucher s'en soucierait-il ?

Louis n'y a pas trop réfléchi, et il est allé directement au vestiaire pour se changer en costume.

Ensuite, Louis a regardé les pantoufles sur ses pieds et a regardé le meuble à chaussures de Paul avec un regard de dégoût.

Ce vieil homme portait des chaussures et des vêtements de bonne qualité, alors qu’il portait juste des pantoufles.

Tous les camarades venaient pour cette soirée, il semblait que même Amanda Ernaud, la belle de l'université, viendrait également, ce qui a augmenté l’attente de Louis.

En quittant la zone de la villa, Louis a fredonné dans le quartier et est monté sur sa bicyclette électrique vers l'hôtel d'or blanc. Après un moment, ses camarades de classe se sont rassemblés là-bas et il avait peur d'être en retard.

Soudain, une sirène bruyante a retenti et une Porsche s’est arrêtée à côté de Louis, et les vitres de la voiture ont roulé lentement.

Il a vu sa belle-mère Marie Proust enlever ses lunettes de soleil et regarder froidement Louis qui était sur le bord de la route avec une expression embarrassée.

Bien que Marie soit la belle-mère de Louis, elle ressemblait à une femme dans la trentaine en ce moment, elle avait l'air digne et décente, et vous pouvez voir un peu de ressemblance à Christina.

Mais à ce moment, elle a regardé Louis et a dit froidement : « Où as-tu trouvé ces vêtements ? »

Au cours des trois dernières années du mariage, ce dont il avait le plus peur était sa belle-mère. En entendant cela, il a dit à la hâte à voix basse : « Maman, j'ai emprunté ceci à un ami... »

« Oh ? Tu as toujours des amis? » Marie a ricané et a dit : « Quelqu'un m'a dit ce qui s'est passé dans l'entreprise, et tu oses disputer avec M. Dubois ! Puisque tu as fait des erreurs, alors retourne ce soir et pas avec tes trucs, divorce de ma fille demain, ne t’inquiète pas, je te donnerai une compensation. »

Louis a été choqué, a baissé la tête et a dit : « Mais... maman... j'aime vraiment Christina, je ne peux pas vivre sans elle... »

En entendant les mots de Louis, Marie a ricané et a dit : « Ne m'appelle pas maman, je n'ai pas qualifié pour ça, si je deviens ta mère, j'ai peur que mes ancêtres me chercheraient chaque soir ... »

« Et tu dis que tu aimes ma fille ? ? »

« Tout à l'heure, Luc m'a appelé et m'a dit que tant que Christina est satisfaite, il est prêt à nous offrir 10 millions de euros. Sais-tu combien c'est ? J'ai peur que tu ne saches pas le sens de cette somme. »

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