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Chapitre 6

« Luc Dubois ? »

Louis a été stupéfait pendant un moment, puis a souri. Ce type n'était qu'un chien élevé par la Société d'investissement de la famille Boucher, et ce n'était qu'une question e temps pour régler des comptes avec lui.

« Maman, je ne divorcerai pas. Même si nous voulons vraiment divorcer, c'est une affaire entre nous deux. J'espère que tu ne t'impliqueras pas dans cette affaire. »

Louis a souri, et après avoir laissé ces mots, il est parti avec sa bicyclette.

« Louis, pour qui tu te prends ! »

Marie a tremblé de colère et a failli lui donner une leçon en public, mais voyant les passants autour d’eux, elle a calmé sa colère.

Après avoir quitté le bureau, Christina s’est dirigée vers le lieu de la réception, elle a vu deux filles à la réception rire et parler, et il y avait beaucoup d'employés les entourant.

« Le mari de Mme. Royer a même dit qu'il préparerait des roses de Prague, il faut vraiment être plus conscient de soi-même, un homme comme lui, qui porte toujours des pantoufles et des vêtements délabrés, Comme lui, aller mendier de la nourriture et la rendre. Comment peut-il offrir un cadeau si cher ? »

« Pourquoi Mme. Royer l’a choisi pour son mari ? »

« Si c'était moi, cet homme n’aurait jamais la chance d’entrer dans ma famille... »

« Les gens qui courraient après Mme. Royer sont tellement nombreux, et la queue peut s’allonger jusqu’en France... »

« ... »

« Vous... »

Christina a mordu ses lèvres rouges délicates quand elle a entendu ces discussions, son visage était chaud et elle a senti une grande honte.

« Mme. Royer... »

Les deux filles à la réception ont senti Christina, et elles avaient toutes l'air terrifiées en ce moment, « Mme. Royer, nous disons des bêtises, s'il vous plaît ne vous fâchez pas... »

« Tais-toi ! » a crié Christina, son corps tremblant légèrement.

Les cernes de ses yeux étaient rouges et elle ne pouvait s'empêcher de pleurer, pourquoi avait-elle un mari aussi inutile ?

Les maris des autres sont tous des élites commerciales et d’origine des familles riches, mais son mari était un bon à rien. Non seulement il ne pouvait pas la protéger des dangers, mais il lui apportait toujours des ennuis.

À ce moment-là, le téléphone de la réception a sonné et la fille de la réception au visage nerveux a répondu, puis a dit doucement : « Mme. Royer ? »

« Moi ? » Christina s'est figée un instant, elle n’a rien acheté, n’est-ce pas ? Pourtant, elle a hoché la tête quand même.

Bientôt, elle a vu un beau mec en costume, avec une allure élégante, entrer.

Il a dit respectueusement : « Est-ce Mme Royer ? C'est une logistique express mondiale. Elle a été livrée de Prague. Veuillez signer. »

« Prague !? » Christina a fini de signer avec un visage surpris, le beau mec a agité la main et a vu quelques porteurs déplacer soigneusement une boîte en bois exquise et haut de gamme et la mettre dans le hall.

Le dessus de la boîte était incrusté de cristaux, qui rayonnaient et éblouissaient sous la lumière.

Les employés environnants avaient tous les yeux écarquillés.

« Wow ! C'est de Prague ? »

« De plus, cette boîte est si exquise, qu'y a-t-il dedans? »

« Mme. Royer, ouvrez-le pour que nous puissions y jeter un coup d'œil, nous voulons aussi le voir... »

La plupart des employés de l’agence étaient des femmes. En ce moment, chacun de ces employés est plein d’espoir, et ils attendaient la réponse avec impatience.

Bien que Christina ait été perplexe, voyant tout le monde si excité, elle a quand même fait signe au beau mec d'ouvrir la boîte.

Cependant, l'instant après, tout le monde était abasourdi et s’est tu pendant quelques minutes.

« C'est... ce sont des roses de Prague... »

« Pas question ! Les roses de Prague sont très précieux cette année, combien cela coûte-t-il ? »

Le beau mec d'en face a vu à quel point ces filles étaient excitées. À ce moment, il a souri, a pointé le centre du bouquet de roses et a dit : « Mme. Royer, permettez-moi de vous présenter s'il vous plaît ... »

« Ce sont des roses de Prague, les meilleures roses de l'année. »

« Mais, ce n'est pas le plus précieux, regardez ici... »

Le beau mec a demandé à tout le monde de regarder au centre du gros bouquet de roses, où se trouvait une petite rose, de la taille d'une broche.

Mais si vous le regardiez attentivement, vous constateriez que ce n’était pas une rose, mais incrustée de diamants et de pierres précieuses de différentes couleurs.

« Le cœur de Prague ! » Christina tremblait, se sentant comme si elle rêvait.

Le cœur de Prague a été conçu et sculpté par plusieurs maîtres les plus célèbres de Prague. C’était la seule au monde, et un symbole de Prague. Il a toujours été inestimable, incroyablement, aujourd'hui , quelqu'un le lui a envoyé.

« Wow, qui a envoyé ça ! »

« Mme. Royer, cela doit provenir de votre prétendant ! »

« Quelle grosse écriture. Se pourrait-il qu'elle ait été envoyée par M.Dubois ? »

« Le mari de Mme. Royer n'a-t-il pas également dit qu'il voulait lui offrir des roses de Prague ? »

« Pff, tu vas dire des blagues ? Il n'a pas les moyens d'en acheter une, même s’il vend tous ses biens ! »

Et Christina elle-même était complètement abasourdie. Qui a donné cette rose de Prague et ce cœur de Prague ?

Christina n'a pas du tout pensé à Louis, car elle connaissait le mieux la situation financière de Louis, sans parler des roses de Prague, même des roses ordinaires, Louis ne pouvait probablement pas les acheter. .

Se pourrait-il que... Luc l'ait vraiment envoyé à lui-même ?

En pensant à cela, Christina était remplie d'un sentiment étrange, un peu ému et un peu timide.

 …

Cité N, hôtel d'or blanc.

Cet hôtel était considéré comme un lieu de divertissement bien connu dans la Cité N, et les produits vendus étaient chers. On disait que les clients de cet hôtel étaient tous les notoriétés de la ville, il y avait donc beaucoup de voitures de luxe à la porte.

Cette fois, les camarades de Louis a choisi cet endroit pour se rencontrer.

Louis a fredonné une petite chanson et a garé sa petite bicyclette dans le parking. Bien qu'il soit riche maintenant, Louis était une personne nostalgique. Cette bicyclette l’accompagnait pendant trois ans, et il ne pouvait pas l’abandonner facilement.

En conséquence, avant que Louis ne puisse s'arrêter, il y avait un son de klaxon par derrière.

« Stupide ! Vous livrez de la nourriture ou quoi ? Vous ne connaissez pas les règles ? Conduire une bicyclette et dérober les places des autres ? Vous êtes fou ! »

Une Audi A4 s'est arrêtée derrière Louis, un homme a ouvert la portière de la voiture et est sorti, pointant presque le nez de Louis et criant.

Louis a tourné la tête inconsciemment, et l'instant d'après, les deux se sont figés pendant un moment.

« Moniteur ? » Louis s'est rendu compte que cette personne était Simon Rabelais, un camarade de classe à l'université qui avait été le moniteur pendant plusieurs années.

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