Daniel
Je m'apprête à aller au travail, mais je ne me sens pas bien dans ma peau , depuis que Noura est partie, je pense constamment à elle.
J'ai été son premier amour,son premier
amant , j'ai eu un peu mal pour elle, mais je ne pouvais m'opposer à mes parents.
Il ont conclu un accord avec un partenaire et pour consolider le partenariat, je dois me marier avec la fille du partenaire.
Ces temps-ci les affaires vont mal, il reste un peu pour qu'on fasse faillite.
Nous avons vraiment besoin de ce partenariat .
C'est fait quatre mois, que Noura est, elle me manque, mais je dois passer à autre chose, elle ne peut rien m'apporter , j'ai besoin d'une femme riche, qui pourra sortir ma famille de la faillite.
Ma fiancée n'est pas mal, mais ce n'est Noura, Noura c'est la beauté petdonnalifiée , son touché était si tendre
si doux, et ses baisers n'en parlons pas
ses beaux seins dures et mûres comme des pamplemousses , haaa c'était le bon vieux temps.
Mais je dois me marier, dans trois mois
je ne suis pas pressé que ça arrive.
Ma, fiancée une fille à papa, pourrie, gâtée, qui passe son temps à se plaindre.
Elle m'insupporte. Mais,il va falloir faire avec.
La voilà qui arrive , il ne fait même pas encore jour, qu'est-ce qu'elle vient faire
ici ?
- Bonjour mon amour, tu as bien dormi
j'espère.
- Bonjour , qu'est-ce tu viens faire ici, si tôt ?
- J'ai rendez-vous avec ma belle-mère
pour commencer les préparatifs du mariage, n'oublie pas que c'est dans 3 mois ,tu ne m'embrasse pas ?
Je lui fais une bise, sors pour aller prendre ma voiture .
J'arrive au travail, j'entre dans mon bureau et je reste un moment figé, devant la porte : ma secrétaire est étalée sur mon bureau nue .
- Merde, Leslie, j'aurai pû rentrer accompagné dans mon bureau, ça ne va chez toi ? Habille toi rapidement, notre journée est chargée.
Elle ne m'écoute pas, elle d'avance et se colle à moi, ses nichons se pressent contre ma poitrine. Je ferme la porte à clé. Elle se met en genoux et ouvre ma braguette, fait sortir mon membre déjà au garde à vous , elle sourit, elle me connait bien, ça fait deux ans que nous couchons ensemble.
Je la vois caresser le bout de mon sexe avec sa langue, je tressaillis, d'impatience, merde elle sait y faire. Elle
me met dans sa bouche, me taquine avec sa langue, J'attrape ses cheveux et m'enfonce dans sa gorge, elle a un haut le corps, je bouge mes hanches pour baiser sa bouche, elle subit sans se plaindre.
- Oui, avale moi comme la pute que tu es
ta bouche fait des merveilles. oui,oui, hum , hum
Je jouis dans sa bouche, elle nettoie correctement mon sexe avec sa langue
- Bonne fille
- J'ai tellement envie de toi, ne me laisse pas comme ça, s'il te plaît.
- C'est ta punition pour t'être mise nue dans mon bureau , si j'étais entré avec ma fiancée, qu'allais-tu faire ?
Elle commence à caresser ses seins avec ses doigts, en gémissant, elle me regarde dans les yeux, se léchant les lèvres,
- S'il te plaît fais plaisir à ta petite pute
Défonce-moi la chatte .
Elle s'assoit sur mon bureau, les cuisses écartées, ses doigts commence à caresser ses lèvres intimes, je recommence à bander.
- Mon bureau n'est pas un lieu pour baiser,
J'essaie de résister, mais elle continue à gémir, ses deux doigts font les va et vient
dans son petit trou, merde je ne peux résister plus longtemps.
Je me place entre ses cuisses, les écarts
ouvre le tiroir pour prendre un préservatif
le mètre et plonge en elle .
- Ha, c'est bon
- Oui mon lapin, baise-moi, à fond.
Je la martelle de mes coups de reins, mes dents attrapent ses tétons que je mords à tour de rôle,
- haaaaa ,oui, ne t'arrête surtout pas, tu m'as trop manqué .
Je ressors et la pénètre avec plus de force, je la sens se resserrer contre moi
elle va jouir, je continue à la baiser brutalement, jusqu'à la jouissance elle me suis de près , elle tremble ses tous ses membres .
- hooo, putin, tu es Dieu.
Je retire, et va me nettoyer dans la douche attenante à mon bureau. Je lui jette des serviettes.
- Nettoie toi et sors je ne veux pas être dérangé avant la réunion.
Elle prend son temps, toujours les jambes écartées elle prend les lingettes
et s'applique à nettoyer l'intérieur de ses cuisses.
- Tu peux te dépêcher, je n'ai pas toute la journée .
Elle finit par s'habiller et sortir en me lançant un baiser à la volée, même pas de pudeur.
Je ne me suis pas présenté, je m'appelle
Daniel Grayson , PDG de l'entreprise "Grayson et fils " , une entreprise, spécialisée en import export .
J'ai des rendez-vous ce matin pour valider avec notre nouveau associé quelle entreprise en Europe peut nous aider dans la commercialisation de nos produits .Le nouveau partenaire n'est autre que le père de ma fiancée. un bout d'homme d'1 m , qui aime se pavaner devant tous comme la septième merveille au monde.
Ma secrétaire m'informe que l 'associer et les actions sont prêtes pour la réunion.
Ha ces foutus actionnaires,ils passent leur temps à se plaindre pour un oui ou un nom, pourtant ils gaillardement coucher chez eux à la maison, à baiser leur femme et à critiquer toutes décisions que je prends.
Je me dirige vers le bureau où se tient la réunion.
J'entre,ils sont tous assis avec leurs ventres bedonnants et leurs enfants tête chauves, devant les gens ils se jouent les sérieux, mais je suis sûr que leur petites
maîtresses, leur fait voir de toutes les couleurs. Tous des incapables .
- Bonjour à tous,
Je m'assois dans mon fauteuil de PDG
ma secrétaire commence à parler
— Mon amour… oui… oui… je… hum…— Prends ça… Tu le sens ? Tu me sens bien… Hmmm…— Oh oui…Il me pilonne avec ardeur, ses coups de reins profonds et puissants me font gémir à chaque va-et-vient. Je le sens entier en moi, jusqu’au plus profond. La pression de ses mains fermement posées sur mes hanches m'arrache des frissons incontrôlables. Mon corps devient fébrile, humide de plaisir. Ma respiration s’accélère, mes jambes tremblent. Chaque poussée est une onde de chaleur qui me traverse toute entière.Il continue avec une cadence de plus en plus intense, comme s’il voulait m’imprimer son rythme au plus intime de mon être. Son bassin claque contre mes fesses, le bruit de nos corps en fusion résonne dans la pièce comme une musique sauvage et charnelle. Je suis à quatre pattes, offerte, et lui derrière moi ne me laisse aucun répit, me remplissant entièrement avec une maîtrise presque animale.— Hum… ma chérie… tu me prends si bien… gémit-il entre deux souffles rauques.Il se penche un peu
Vingt minutes plus tard, elle fait son apparition.Sans même frapper, elle ouvre la porte du bureau comme si elle y avait tous les droits. Elle avance d’un pas théâtral, les talons claquant sur le carrelage, un sourire bien trop large accroché aux lèvres. Elle s’approche de Daniel, l’enlace brièvement, puis tourne autour de nous avec une excitation nerveuse, avant de littéralement se jeter sur mon fils.Elle couvre Asher de baisers bruyants, maladroits. Mon petit regarde Daniel, déconcerté. Il ne comprend pas qui est cette femme surexcitée qui envahit son espace.Quelle pagaille. Elle est vraiment sans-gêne.— Ma chère belle-fille, tu t’es surpassée ! Tu viens de faire de moi la grand-mère la plus heureuse du monde ! s’exclame-t-elle. Mon fils, tu dois être ravi ! Mais dis-moi, comment as-tu su pour l’enfant ?Daniel, visiblement agacé, lui répond froidement :— Cela ne te regarde pas, maman. C’est une histoire entre Noura et moi.— Très bien, très bien… mais dépêche-toi de divorcer,
Noura - Je l'espère Papa , ce serait sa dernière chance . Il n'en aura pas d'autre . - Aies fois en votre histoire , en votre amour et en votre famille . Avec cette famille , il sera plus mature , et il est devenu plus mur plus réfléchis . Votre enfant et votre amour vous rendra plus fort . Tu as tout mon soutien et toute ma bénédiction . Soies heureuse ma fille tu le mérites . - Merci papa , tu l'enlève un grand poids sur l'épaule . Je suis heureuse d'avoir parlé avec toi et prend bien soin de ton amoureuse . Nous rions à cette blague et nous raccrochons ensemble . Je retrouve Daniel , déjà couché sur le lit . Il est torse nu et je remarque qu'il a pris quelques muscles en plus . Il est diablement beau ainsi . Il ne porte qu'un slip en coton . Je marche vers le dressing pour me changer sans pour autant détacher mon regard de son corps nu . Je suis sur qu'il l'a fait exprès . Il veut me séduire . Et moi , je suis tellement en manque que je risque de me servir ce soir . Qu'est c
— Il ne fera pas.Noura hausse les épaules avec un petit sourire, l’air convaincu.— Bon, je vais me changer. Ensuite, on y va.Je la regarde disparaître dans sa chambre pendant que je termine de coiffer mon fils. Quelques minutes plus tard, elle revient, habillée exactement comme nous : jean foncé, t-shirt blanc et veste en cuir. Une vraie petite équipe. Une famille, presque. Ça me donne un pincement au cœur.Nous partons ensuite tous les trois vers le coin bowling, situé à environ trente minutes de route. Le trajet se passe dans la bonne humeur. Noura met la musique à fond, Asher chante faux et Daniel ne cesse de jeter des regards tendres dans le rétroviseur. Je me sens bien, à ma place. C’est rare.Le bowling est étonnamment bien tenu, éclairé d’un néon doux et rythmé par des musiques entraînantes. L’ambiance est chaleureuse, détendue, presque magique. On se prend au jeu, on rit, on s’encourage. Daniel passe plus de temps à se cogner les orteils avec la boule qu’à faire des strikes
— Si vous insistez, nous pouvons faire le dîner chez votre fils. Il n’est pas loin de chez moi.— Mais c’est une très bonne idée, ça ! Vous êtes si intelligente ! Nous allons faire comme vous l’avez dit.— Ok. Maintenant que tout est dit, vous pouvez me laisser. J’ai des réunions qui ne peuvent pas être décalées.— Pas de souci, nous partons. Et merci de nous avoir accordé un peu de votre temps.Ces imposteurs… Ils pensent vraiment que je ne vois rien ?Je referme la porte derrière eux, et mon sourire s’efface aussitôt. Ils ressemblent à des chiens renifleurs, à l’affût de la moindre odeur d’argent. L’avidité se lit sur leurs visages, ils ne font même pas semblant de s’en cacher.Je pousse un long soupir. Ma journée est loin d’être terminée. Je monte dans la voiture avec mon assistant et on part directement en direction de l’héliport. Le trajet est rapide, presque trop. L’hélicoptère nous dépose sur une des usines de transformation, massive, bourdonnante d’activité. Une odeur d’huile
Noura— Très bien. Moi aussi, je veux un dîner en tête-à-tête avec toi.— Daniel ?— Oui ?— À quoi tu joues ?— À rien. Tu vas à un dîner ce soir, alors puisque tu m’as accordé une chance de te prouver que j’ai changé, je veux qu’on puisse se voir ailleurs qu’au travail ou à la maison, quand je viens voir notre fils. Alors, je veux un dîner avec toi. Demain soir.Je croise les bras, méfiante.— Tu n’as rien à exiger de moi, Daniel.Son regard se fait plus doux. Il s’approche lentement, comme pour ne pas m’effrayer.— Je suis désolé…Il prononce ces mots dans un souffle si sincère que mon cœur se serre.— Je rêve de t’avoir avec moi depuis si longtemps, Noura… Et là, je réalise que quelqu’un d’autre pourrait goûter à ce que j’ai perdu. Je suis complètement désarmé devant toi. Je ne sais plus comment me comporter avec toi. Mais je t’en supplie… accepte ce dîner.Il baisse les yeux, comme s’il ne voulait pas affronter ma réponse.Je le regarde. Mon cœur lutte contre ma raison. Mais je s