Lisa
Je me dépêche pour aller prendre mon bus, c'est mon premier jour de travail en tant que secrétaire, j'ai bossé dur pour avoir ce travail, j'arrive difficilement à joindre les deux bouts .
Après le décès de mon père, je me suis retrouvée dans la merde avec plus d'un million de dettes à payer. J'ai vendu mon bagnole, celui qui me permettait d'être Coutier , j'ai pris un prêt étudiant pour pouvoir terminer mes études en secrétariat et bureautique. Actuellement je croule sous les dettes.
Que vais-je devenir ? comment payer ses dettes ?
Heureusement que le seigneur ne m'a pas oublié .
Le bus vient de s'arrêter, je descends et commence à courir vers mon nouveau travail. Je ne veux pas arriver en retard.
j'ai dû emprunter cet ensemble, car je n'ai pas d'habit adapté à mon nouveau travail .
Je me présente à la réceptionniste, lui dis mon nom.
- bonjour mademoiselle je m'appelle Elisabeth Dawson , je suis la nouvelle secrétaire du PDG.
Elle est vraiment aimable, elle l'accueille avec le sourire :
- Bonjour Mademoiselle Dawson, en effet
les ressources humaines nous ont informés soyez la bienvenue au groupe "Hamilton" .
- Merci beaucoup mademoiselle ?
- Mademoiselle,Davis, voici votre badge les bureaux du PDG sont au 98e étage. Si vous avez besoin de renseignements
vous pouvez me joindre sur le fixe . Mais tu dois passer d'abord par le service informatique pour prendre tes empreintes . Ensuite tu passes aux ressources humaines, pour t'enregistrer en tant que membre du groupe Hamilton.
- Merci beaucoup mademoiselle Davis
- Et si on se tutoie, j'espère qu'on deviendra amie , appel-moi Miranda .
- D'accord ,tu peux m'appeler Lisa, mes amies m'appellent Lisa . Je dois me dépêcher si je ne veux pas être en retard à mon premier jour de travail.
Je prends l'ascenseur rapidement, j'espère être là avant le patron.
Le temps de faire le tour, service de sécurité, les ressources humaines, la directrice des ressources humaines a tenu à me montrer mon bureau et celui du patron. Puis m'a montré aussi le bureau de son assistante, qui est collé au mien, mais l'intérieur est plus grand plus beau.
- Bonjour Cristal, je te présente Elisabeth
la nouvelle secrétaire du patron, Elisabeth je te présente Cristal l'assistante du patron .
Cristal aide le patron à étudier tous les contrats, fait son agenda, prévoit ses voyages, l'accompagne à ses rendez-vous .
Toi de ton côté, tu prends les rendez-vous, tu fais patienter les rendez-vous si l'heure n'est pas encore arrivée, tu refoule ceux qui n'ont pas de rendez-vous, tu planifies sa journée en fonction de son agenda que Cristal t'aurait communiqué. Voilà je vous laisse.
Cristal est une très belle femme d'une trentaine d'années, les lèvres pulpeuses
la poitrine refaite , de langues jambes, très maquillée , des cheveux coupés en carrés.
Elle me regarde de haut, comme si je n'étais qu'un insecte, avec ses talons elle me dépasse en taille. je lui tends la main :
- Bonjour enchantée .
Elle ne prend pas ma main, s'assoit sur son bureau et me tend des dossiers ,
- Tiens, range ses dossiers selon l'étiquette inscrite dessus dans les casiers de ton bureau .
Elle, me donne et retourne s'asseoir dans son bureau, je prends les dossiers et sors pour aller les déposer dans mon bureau, puis je rentre dans le bureau de mon patron pour voir s'il y a du ménage à faire.
Je rentre et je suis surprise de le trouver déjà au bureau, il n'est même pas encore 8 h , je le regarde assit dans son et je tremble littéralement, il est tellement beau, diablement beau, et il a l'air si grand , déjà assit je l'imagine arrêté, merde , il doit ressembler à un géant à côté de moi , avec mes 1,65m ,mais je prends mon courage à deux mains et le salus .
Harry
Je me dirige vers mon bureau, je vois que la lumière de mon bureau n'est pas allumée , ce qui veut dire que ma nouvelle secrétaire n'est pas encore arrivée. Ces incapables , ces crèvent-la faim, passent leur temps à dire qu'ils,
cherchent du travail, mais dès qu'ils ont le travail, ils ne foutent plus rien, tous des fainéants .
Harry - Que je suis chanceux, ce soir, deux belles femmes de chaque côté, qu'elle honneur vous me faites .Il nous tend à chacune un bouquet de fleurs .- Pour mes belles dames.- C'est nous qui sommes chanceuses , avoir comme invité le plus prisé des célibataires de la ville quoi demander de mieux ?Nous arrivons au restaurant, les serveurs sont aux petits soins pour nous, Harry, nous commande des plats très chers qui sont vraiment délicieux .Après le repas, nous dégustons des bonnes glaces, sauf lui, il a pris juste un café. - Alors ma belle , comme tu l'as si bien dit tout à l'heure, je voudrais avec respect vous demander la permission de sortir avec ta sœur.- Je vais te mettre en garde avant toute chose, si jamais, tu l'as fait pleurer ne serait que, pendant une seconde, tu verras de quel bois je me chauffe.- Je jure sur mon honneur que je ne lui ferai jamais de mal. Pas intentionnellement, bien sûr.- Peu importe que ce soit intentionnelle , ou pas, je ne veux pas la voir tr
Lisa- Avec cette promesse de dîner, je sais que je vais bien dormir. Je t'embrasse.À demain.Je vais me coucher les yeux brillants d'espoir.Je me réveille le matin heureuse, l'avenir sera radieux, j'ai hâte de revoir ce matin.Je m'habille, et sors rejoindre Miranda.Qui m'attend déjà dans la cuisine avec deux grands bols de café.Nous prenons le chemin du travail.Je rentre dans mon bureau pour trouver un bouquet de fleurs, des roses rouges, quelle attention ! Avec un mot :- une belle rose pour une belle femme dans une belle journée. j'ai hâte de te voirJe prends mon calepin, pour aller prendre des notes au cas où.Je me rends dans son bureau, et je le trouve assis dans son fauteuil. Il se lève quant-il le voit , et vient à ma rencontreIl me prend dans ses bras et m'embrasse passionnément.- Tes lèvres m'ont manqué ,tu m'as manqué . Est ce que je t'ai manqué aussi ?- Tu ne m'as pas demandé la permission avant de m'embrasser !- J'attends toujours ma réponse, veux-tu être ma pe
LisaSes lèvres quittent les miennes à regret.Le temps semble suspendu entre nous, comme si la pièce retenait son souffle.Ses yeux me captivent, sombres et brûlants à la fois.— À demain, murmure-t-il d’une voix basse.Rêve à moi.Je me détourne, encore étourdie. Mon cœur cogne dans ma poitrine, si fort que j’ai l’impression qu’il résonne dans tout le couloir.Je descends, fébrile, et retrouve Miranda dans la voiture. Elle pianote sur son téléphone, l’air impatient.— Tu en as mis du temps ! s’exclame-t-elle en levant les yeux vers moi. Tout va bien ?Je me glisse sur le siège passager, referme la portière doucement.— Oui… j’étais avec le boss.Elle arque un sourcil, suspicieuse.— Ne me dis pas qu’il t’a encore fait pleurer ?Je secoue la tête, un sourire timide aux lèvres.— Non. C’est tout le contraire cette fois… Il veut devenir mon petit ami.Elle freine brusquement, les yeux écarquillés.— Quoi ? Ton patron ? Harry ? Non, attends, je rêve !Je ris doucement.— Je t’assure. Il
LisaJe sens encore la chaleur de ses lèvres sur les miennes quand je quitte le bureau.Ce n’était qu’un baiser furtif, à peine un effleurement, mais il a suffi à mettre le feu à mon sang.Je cours presque jusqu’à la porte, cherchant à échapper à la confusion de mes pensées.Mais à peine la poignée tournée, je tombe nez à nez avec Patricia.Elle est plantée là, collée contre le battant, l’oreille encore tendue.Ses yeux s’arrondissent, ses joues se colorent de honte, mais elle relève aussitôt le menton, arrogante.Je sais qu’elle a tout entendu.Et je sais qu’elle ne digère pas ce qu’elle vient de surprendre.Je ne dis rien, je me contente de laisser la porte grande ouverte, assez pour qu’Harry la voie, elle, figée comme une voleuse.Je prends une inspiration, maîtrise ma voix.— Entre, Patricia. Ça tombe bien, j’ai justement à te parler.Ma phrase claque dans le silence.Elle fronce les sourcils, surprise par mon ton.Je n’attends pas sa réponse. Je tourne les talons, quitte le burea
LisaElle se retourne pour me lancer un dernier regard avant de s’éloigner vers son bureau.Je reste un instant plantée là, le cœur battant plus vite que je ne l’aurais voulu.Puis il m’appelle.— Entre.Sa voix est calme, presque douce, mais je sens l’autorité sous-jacente.Je pousse la porte du bureau et referme derrière moi. L’air y semble plus chaud, plus dense.Il dépose son sac sur la table, fait quelques pas, puis se tourne vers moi.— Pourquoi tu m’as fui hier ?Il ne crie pas, mais le ton me fige sur place.— Regarde-moi quand je te parle.Je relève lentement la tête. Son regard me cloue. Intense, sombre, difficile à soutenir.— Pourquoi ? répète-t-il, un peu plus bas. Qu’est-ce que je peux répondre à ça ?— Pour rien, monsieur, dis-je dans un souffle.— Approche-toi.Je reste immobile.— Je ne peux pas, monsieur.— Pourquoi ? Je ne vais pas te manger. Allez, viens.Je fais un pas, puis un autre, comme attirée malgré moi.Quand j’arrive devant lui, il glisse ses doigts autour
Harry Je n'ai jamais ressenti une sensation pareille, si une fois mais pas aussi intense. Mes pensées dérivent vers mon frère, la fois où j'ai ressenti cette sensation, il y a de cela cinq ans, j'ai rencontré une belle et jeune fille, c'était le coup de foudre.elle est devenue ma copine au bout d'un mois, nous avons passé six mois de bonheur, jusqu'au jour où mon frère est venu d'un de ses voyages . Nous habitons à ce moment-là avec notre mère qui ne voulait pas que nous prenions notre indépendance. Malgré que chacun de nous avait sa garçonnièreMon frère a séduit ma copine au yeux et à la barbe de tous, même ma mère n'a rien vu .Ils ont passé six mois à se moquer de moi, quand elle a su qu'il voulait juste coucher avec elle pour me faire du malElle s'est concentrée sur moi pour qu'on se marie, elle n'était avec moi que pour mon argent. Quand j'étais prêt à l'épouser mon frère me dit qu'elle se moque de moi, je n'ai pas voulu l'écouterLa veille de mon mariage, il m'a envoyé des p