Cinq heures du matin, Juan Pablo s’élève comme d’habitude pour faire sa séance de sport avant de se préparer pour aller au travail. Après avoir échangé son pyjama pour une tenue de sport plus confortable, il se rend dans sa salle de détente pour commencer ses différents exercices. C’est alors qu’il lève les yeux et regarde par la fenêtre et voit une silhouette qui fait des mouvements bizarres dans la cour. Il y a une baie vitrée dans la pièce de détente de Juan Pablo qui donne directement sur le jardin. De là où il est, il a une vue globale du portail d’entrée jusqu’à la porte de derrière qui conduit vers la cuisine. Quand il s’approche de la vitre pour regarder de plus près, il s’est rendu compte que c’était Adrian qui, visiblement, était en train de danser. Juan dans sa tête : J’y crois pas. Mais qu’est-ce qu’il fait dehors, dans le froid aussitôt? Il a un problème ce garçon. Juan Pablo parlait mais son regard ne pouvait se détacher du jeune homme. Il a complètement oublié sa séa
Cinq heures du matin. C’est l’heure qui est affichée sur la petite horloge posée sur la table de chevet. Tel un robot programmer, Juan Pablo se réveille tous les matins à la même heure. Toutes ces journées sont toujours bien chronométrées, son planning est bien chargé. Il commence chaque journée par une séance de sport dans sa salle de sport privée, qui se trouve être dans sa chambre. Et oui, vous ne rêvez pas. Sa salle de sport privée se trouve dans sa chambre. Car en réalité, ce n’est pas une simple Chambre que procède Juan Pablo, c’est une suite présidentielle. La chambre de l’homme est composée de 2 pièces, chacune d’au moins 25 mètres carrés, plus un dressing qui fait la taille d’une petite boutique de vêtements de luxe. Tout d’abord, il y a la pièce où se trouve son lit, tellement grande qu’elle peut accueillir au moins cinq personnes sans qu'elles se gênent entre elles, une table de chevet de chaque côté de la tête du lit. Dans l’autre pièce, une salle de détente. Où l’on tro
Dona Ornelia est la gouvernante de la grande maison de la famille Alcazar depuis plus de 20 ans. C’est une dame de la soixantaine, petite taille et un peu arrondi. Une femme d’une gentillesse incomparable. Elle à toujours pris bien soin des enfants Alcazar et les jumeaux l’adore. Depuis le décès du couple Alcazar, elle est devenue comme la grand-mère de la maison, et des enfants. Malgré son caractère, Juan Pablo n’ose jamais lever la voix sur elle. Elle doit bien être la seule personne au monde à pouvoir lui dire ce qu’elle veut, sans avoir peur d'être réprimandé ou renvoyé. C’est à elle qu’il laisse la totale responsabilité de la bonne gérance de la maison et des besoins des jumeaux. Cette grande maison composée de 8 chambres à coucher sur deux étages, un grand jardin avec piscine, terrain de basket et une énorme salle de jeux pour les jumeaux n’a pas de secret pour elle. Elle s'occupe de recruter les personnels de maison qui l’aide à garder la propriété bien propre et s’occuper de p
Adrian récupère le porte monnaie du vieil homme et le lui rend, sur le regard admiratif de celui-ci et des passants. Don Philippe était très reconnaissant envers le jeune garçon pour ce qu’il avait fait et voulu le récompenser en lui achetant quelque chose à manger. Il demande à Adrian où se trouvaient ces parents? Car il avait remarqué que le garçon portait des vêtements salle, sentait mauvais et semblait avoir passé des jours sans manger. Adrian lui expliqua toute son histoire et l’homme décida de prendre l’enfant sur sa responsabilité et de s’en occuper comme s’il était son petit-fils. Don Phelippe n’a pas de famille et voyant que le petit aussi n’avait personne au monde, il s’est dit que même s’il n’avait pas beaucoup à lui donner, au moins, il ferait son possible pour bien en prendre soin. A partir de ce jour, Don Phelippe emmena Adrian chez lui et le présenta à tous comme étant son petit-fils. Juan Pablo à une réunion très importante ce matin. A peine arrivée dans l’entreprise,
Arturo : Avant de refuser, je te demande juste de regarder le projet. je l'ai déjà écrit et je vais te l’envoyer par email. Et après l’avoir bien examiné, tu décidera. d’accord. Arturo connaît Juan pablo comme sa poche. Il s’est que cela ne sert à rien de le forcer tout de suite. Il vaut mieux commencer par l’amadouer. Juan : OK. Envoie-le. je vais en jeter un oeil quand j'aurais le temps Arturo : Trop bien, t’es le meilleur… Juan : J’ai dit, quand j’aurais le temps. Cela ne veut pas dire que ce sera tout de suite lui coupe la parole Juan Pablo pour ensuite reprendre Juan : Et ne me harcelle pas. je te connais Il lui pointe du doigt en disant cela. Juan : Bon, c’est l’heure de la réunion. Si tu veux, on peut se retrouver à 18 heures chez moi pour faire une compète de piscine. Juan Pablo éteint son ordinateur et se met débout pour se rendre à sa réunion. Arturo : Parfait ! ça faisait longtemps que je ne t'es pas battue dans quelque chose. Les deux hommes font la piscine
Adrian était tout content d’annoncer à son meilleur ami Adel qu’il avait un travail. Les deux jeunes hommes ont le même âge mais Adel est beaucoup plus mature que Adrian. Il est son voisin depuis qu’Adrian à commencé à vivre avec Don Philippe. Depuis le tout début, ils se sont bien entendus. Adel n’a aucun problème si son pote est un peu efféminé et n’aime faire les choses que font les garçon habituellement. Il n'était pas le seul à accepter Adrian comme il est. Tous les jeunes du quartier apprécient le jeune homme et aiment le voir danser. Il arrive parfois qu’Adrian improvise un petit spectacle de danse uniquement pour eux et ils reconnaissent tous que le jeune homme à beaucoup de talent. Il ya même un garçon dans le quartier qui s’appel Jerod et qui as deux ans de plus qu’Adrian, qui n’arrête pas de dire à tout le monde qu’un jour, Adrien sera sa femme. Mais personne ne le prend au sérieux, encore moins Adrian car ce mec est un coureur de jupon. Il couche avec tout ce qui bouge.A
Il appuis le premier bouton qu’il voit sur la gauche et la sonnerie s’est mise à retentir. Il prit peur et recula un peu. La sonnerie n’était rien de grave. Cela prévient juste la maison qu’il y avait quelqu'un au portail. Il attendit encore cinq minutes pour voir enfin la grande porte s’ouvrir en deux, il commença à empreinte le long aller qui mène à la maison. Le garçon a la bouche ouverte, complètement ébahi par la grandeur et la beauté de cette maison. Il a les yeux un peu partout. Dona : Bienvenue, Adrian. Il est surpris par la voix de Dona Ortega qui arrive en face de lui, avec un grand sourire au lèvres. Dona : Tu es à l’heure et j’aime ça. J’espère que cela n’a pas été trop difficile pour toi de trouver? Adrian reporte son attention à elle avant de lui répondre. Adrian : Non madame, je l'ai trouvée facilement. Dona : Tant mieux. Ne perdons pas de temps. Accompagne-moi. je vais te montrer où tu logera et te faire faire une petite visite rapide de la maison, car il va bie
Pendant ce temps, Adrian est près de la piscine à nettoyer. En tout cas, il fait ce que Dona Ortega lui a dit, sans voir réellement la différence. Car pour lui, tout était déjà propre. Tout à coup, une musique lui vient à l’esprit et il se met automatiquement à chanter et à bouger son corps. Adrian est comme ça, il ne peut s’empêcher de danser tout le temps et d'inventer des nouveaux pas. Le chiffon dans une main et un produit de nettoyage dans l’autre, Adrian est à fond dans sa danse. Il a les yeux fermés et fredonne la musique en même temps. C’est alors que s’approche Juan Pablo et Arturo en tenues de piscine par derrière le garçon, qui ne remarque pas qu’il avait du public, tellement il est concentré dans sa danse. Les deux hommes se regardent et le regardent. Arturo : C’est qui celui-là, Juan Pablo? Arturo à un grand sourire au lèvre en voyant le garçon se tortiller dans tous les sens. Juan : Je n'en ai aucune idée . Juan pablo se rapproche, un peu perplexe pour voir de qu’i
Cinq heures du matin, Juan Pablo s’élève comme d’habitude pour faire sa séance de sport avant de se préparer pour aller au travail. Après avoir échangé son pyjama pour une tenue de sport plus confortable, il se rend dans sa salle de détente pour commencer ses différents exercices. C’est alors qu’il lève les yeux et regarde par la fenêtre et voit une silhouette qui fait des mouvements bizarres dans la cour. Il y a une baie vitrée dans la pièce de détente de Juan Pablo qui donne directement sur le jardin. De là où il est, il a une vue globale du portail d’entrée jusqu’à la porte de derrière qui conduit vers la cuisine. Quand il s’approche de la vitre pour regarder de plus près, il s’est rendu compte que c’était Adrian qui, visiblement, était en train de danser. Juan dans sa tête : J’y crois pas. Mais qu’est-ce qu’il fait dehors, dans le froid aussitôt? Il a un problème ce garçon. Juan Pablo parlait mais son regard ne pouvait se détacher du jeune homme. Il a complètement oublié sa séa
Adrian parle difficilement Juan Pablo s’était caché derrière le mur qui sépare le salon et la cuisine, pour écouter ce que le garçon allait répondre. Il secoue la tête en écoutant le garçon parler avec sa voix tremblante et se demande Juan dans sa tête : pourquoi il à autant peur de moi ? Après, il continue sa route et croise Arturo qui était déjà près pour partir. Arturo : Bon, je vais y aller sinon, je serais en retard. Et mon chéri ne vas pas aimer ça. Tu diras à Nana au revoir pour moi. je n’ai pas le temps pour aller la voir. Juan Pablo avance vers lui, une main dans la poche et l'autre tenant la tasse de café.Juan : D'accord. je ferais ça. Ils se font une accolade Arturo : N’oublie pas de regarder mon projet Juan Pablo. Il me tient vraiment à cœur. Juan : Je t’es dit que j’allais regarder. Mais je ne t’es jamais dit que j’allais accepter. Arturo : T’a intérêt Arturo prend la porte de la sortie en disant cela. Juan Pablo décide d’aller voir sa sœur pour parler ave
Dans le salon, Arturo fait remarquer à son ami qu’il était un peu trop dur avec ces frère et sœurs, surtout qu’ils commencent à grandir et bientôt, ils auront 18 ans. Arturo : Je sais que tu les aiment à ta façon et que tu essaies de les protéger. Mais si tu continue de comme ça, tu n’obtiendra qu’une chose, qu’ils te déteste Juan: Je m’en fous qu’ils me détestent, Arturo. Un jour ils comprendront que je fais tout cela pour leur bien. Je n’ai plus d'appétit. Je vais me chercher un café, tu en veux un ? Juan Pablo dit la dernière phrase en se mettant débout. Arturo : Non merci. Moi, je vais retourner dans ta chambre et me préparer pour partir. J’ai rendez-vous avec mon chéri. Arturo sort depuis un an avec un Italien qui s’appelle Lio Moretti.Juan Pablo se rend dans la cuisine, où il tombe sur Adrian qui est toujours assis sur la table et qui mange. Il a la tête baissée et ne remarque pas quand Juan Pablo rentre dans la pièce. Celui-ci s’arrête un instant pour observer Adrian qu
A l'heure du dîner, tout le monde était réuni autour d'une belle et grande table au salon, dressée avec soin par Dona Ortega. Il y a beaucoup de choses à manger. Du poulet au four, du poisson en sauce, des pâtes, un gratin de pomme de terre et en dessert, un gâteau à la fraise et un jus de grenadine faite maison. Les jumeaux, Juan Pablo et Arturo avaient de quoi se régaler. Arturo : Hum, tout cela à l’air délicieux Nana Arturo parle en prenant place. Manuelo : J’ai trop faim. Je vais bien manger Manuelo se lèche déjà la bouche Dona : J’espère que vous allez aimer ce que le cuisinier vous a préparé aujourd'hui. Nous nous sommes efforcés de ne faire que des plats que vous aimez. Manuela : Surtout ce qu’aime mon frère, Nana Manuela dit cela en désignant Juan Pablo du regard. Celui-ci lui lance en retour un regard d’intimidation, qu’elle fait semblant d’ignorer. Dona : Bien. Je vous laisse manger tranquille. Bon appétit à tous. Tout le monde remercie Nana, qui retourne à la cu
Il dit simplement cela et ensuite se jette dans la piscine. Arturo le regarda de façon curieuse, car il se disait qu’il n’avait jamais vu son ami regarder une personne avec autant d’insistance. Il trouva cela curieux. En se dirigeant vers la porte de derrière qui mène au salon, Dona Ortega et Adrian voient Manuelo et Manuela qui arrivent juste en face. Ils rentrent de l’école. Dès qu’ils ont vu Dona Ortega, ils se précipitent pour ce jeter dans ces bras. Manuella : Nana, comme tu m’a manqué Manuela à tendance à se comporter comme un bébé en présence de sa NanaManuelo: N’exagère pas. Nous l’avons vu ce matin en plus. Salut Nana Manuelo lui fait un câlin et un bisous sur la joue. Dona : Salut mes enfants. Vous arriver ensemble aujourd’hui, c’est bien. Manuela : Non Nana, j’ai juste croisé ce parasite de Manolo à l’entrée. Les deux s’aiment beaucoup mais se disputent aussi beaucoup. Ils remarquent enfin la présence d’Adrian qui les regardent avec un grand sourire aux lèvres
Pendant ce temps, Adrian est près de la piscine à nettoyer. En tout cas, il fait ce que Dona Ortega lui a dit, sans voir réellement la différence. Car pour lui, tout était déjà propre. Tout à coup, une musique lui vient à l’esprit et il se met automatiquement à chanter et à bouger son corps. Adrian est comme ça, il ne peut s’empêcher de danser tout le temps et d'inventer des nouveaux pas. Le chiffon dans une main et un produit de nettoyage dans l’autre, Adrian est à fond dans sa danse. Il a les yeux fermés et fredonne la musique en même temps. C’est alors que s’approche Juan Pablo et Arturo en tenues de piscine par derrière le garçon, qui ne remarque pas qu’il avait du public, tellement il est concentré dans sa danse. Les deux hommes se regardent et le regardent. Arturo : C’est qui celui-là, Juan Pablo? Arturo à un grand sourire au lèvre en voyant le garçon se tortiller dans tous les sens. Juan : Je n'en ai aucune idée . Juan pablo se rapproche, un peu perplexe pour voir de qu’i
Il appuis le premier bouton qu’il voit sur la gauche et la sonnerie s’est mise à retentir. Il prit peur et recula un peu. La sonnerie n’était rien de grave. Cela prévient juste la maison qu’il y avait quelqu'un au portail. Il attendit encore cinq minutes pour voir enfin la grande porte s’ouvrir en deux, il commença à empreinte le long aller qui mène à la maison. Le garçon a la bouche ouverte, complètement ébahi par la grandeur et la beauté de cette maison. Il a les yeux un peu partout. Dona : Bienvenue, Adrian. Il est surpris par la voix de Dona Ortega qui arrive en face de lui, avec un grand sourire au lèvres. Dona : Tu es à l’heure et j’aime ça. J’espère que cela n’a pas été trop difficile pour toi de trouver? Adrian reporte son attention à elle avant de lui répondre. Adrian : Non madame, je l'ai trouvée facilement. Dona : Tant mieux. Ne perdons pas de temps. Accompagne-moi. je vais te montrer où tu logera et te faire faire une petite visite rapide de la maison, car il va bie
Adrian était tout content d’annoncer à son meilleur ami Adel qu’il avait un travail. Les deux jeunes hommes ont le même âge mais Adel est beaucoup plus mature que Adrian. Il est son voisin depuis qu’Adrian à commencé à vivre avec Don Philippe. Depuis le tout début, ils se sont bien entendus. Adel n’a aucun problème si son pote est un peu efféminé et n’aime faire les choses que font les garçon habituellement. Il n'était pas le seul à accepter Adrian comme il est. Tous les jeunes du quartier apprécient le jeune homme et aiment le voir danser. Il arrive parfois qu’Adrian improvise un petit spectacle de danse uniquement pour eux et ils reconnaissent tous que le jeune homme à beaucoup de talent. Il ya même un garçon dans le quartier qui s’appel Jerod et qui as deux ans de plus qu’Adrian, qui n’arrête pas de dire à tout le monde qu’un jour, Adrien sera sa femme. Mais personne ne le prend au sérieux, encore moins Adrian car ce mec est un coureur de jupon. Il couche avec tout ce qui bouge.A
Arturo : Avant de refuser, je te demande juste de regarder le projet. je l'ai déjà écrit et je vais te l’envoyer par email. Et après l’avoir bien examiné, tu décidera. d’accord. Arturo connaît Juan pablo comme sa poche. Il s’est que cela ne sert à rien de le forcer tout de suite. Il vaut mieux commencer par l’amadouer. Juan : OK. Envoie-le. je vais en jeter un oeil quand j'aurais le temps Arturo : Trop bien, t’es le meilleur… Juan : J’ai dit, quand j’aurais le temps. Cela ne veut pas dire que ce sera tout de suite lui coupe la parole Juan Pablo pour ensuite reprendre Juan : Et ne me harcelle pas. je te connais Il lui pointe du doigt en disant cela. Juan : Bon, c’est l’heure de la réunion. Si tu veux, on peut se retrouver à 18 heures chez moi pour faire une compète de piscine. Juan Pablo éteint son ordinateur et se met débout pour se rendre à sa réunion. Arturo : Parfait ! ça faisait longtemps que je ne t'es pas battue dans quelque chose. Les deux hommes font la piscine