MasukJasmine, une femme de 37 ans mariée à Xavier, un homme respectable mais peu porté sur l’intimité, lutte pour combler son désir sexuel insatisfait. Leur fille, Elcha, a besoin d’un répétiteur, et c’est ainsi que Guy entre dans leur vie. Ce dernier devient rapidement plus qu’un simple professeur : il séduit Jasmine et entretient avec elle une liaison passionnée et interdite. Mais ce jeu dangereux, alimenté par l’argent et le secret, finit par déraper. Lorsque Jasmine tente de mettre fin à cette relation toxique, Guy la menace de chantage. Pour se libérer de cette emprise, Jasmine commet un acte irréversible : elle empoisonne son amant. Peu après, Xavier contracte une maladie grave liée indirectement à l’infidélité de sa femme, et meurt. La famille de Xavier, en colère, expulse Jasmine et Elcha, s’appropriant tous les biens du défunt. Le karma, implacable, s’abat alors sur Jasmine, dont la vie bascule dans le chaos.
Lihat lebih banyakOn m’appelle Jasmine. J’ai 37 ans. Très tôt, j’ai vite accouchée une jolie fille à l’âge de 22 ans. Elle s’appelle Elcha. C’est une belle et magnifique fille. Son père l’aime tellement qu’il a décidé de ne plus avoir d’autres enfants de peur que l’un parmi ces derniers prenne la place d’Elcha dans sa vie. J’ai supplié mon mari, un homme beau et mignon, d’accepter qu’on ait ensemble un autre enfant. Cependant, son refus a été catégorique. Et il faut que je le souligne avant qu’il ne soit trop tard. Xavier, le père de ma fille, est un homme qui ne change jamais de version quelles qu’en soient les circonstances. Il a ce caractère qui lui est particulier et même tous les membres de sa famille le connaissent pour ce comportement qui est devenu son habitude.
Plusieurs fois, j’ai tenté de le piéger en lui demandant de me faire l’amour pendant mes périodes dangereuses, c’est-à-dire, pendant mes périodes ovulatoires. Mais malheureusement, toutes mes tentatives ont été vaines ; vaines parce qu’avant notre mariage, il connaissait presque tout de moi. Xavier est l’un des hommes qui, à trois semaines de relation avec une femme, connaissent déjà presque tout sur leur conjointe. Je me rappelle de ce jour où il m’a demandé si j’étais d’un cycle régulier ou pas. Selon moi, je n’avais trouvé aucune grande importance à cette question que je trouve aujourd’hui fameuse.
Puisqu’on s’était entendu à l’entame de la relation qu’on ne devrait rien se cacher, je lui avais donné l’intervalle des jours de ma période de menstruation.
Acquiesçant de la tête, j’étais loin de savoir que Xavier sauvegardait dans la mémoire de son cerveau, ces dates.
En rappel, permettez-moi de vous informer que Xavier et moi avons célébré notre mariage à la mairie. Oui, un mariage légal, reconnu par la loi. Étant issu d’une famille aristocratique, il avait énormément dépensé pour notre mariage. Il a été le seul qui a pu donner à ma famille tout ce qu’on donne comme fournitures de dot. Je suis de l’ethnie peulh. Pour ceux qui ne connaissent pas cette ethnie, laissez-moi vous la présenter.
Également connus sous le nom de Pulaars ou de Fulani, nous sommes un groupe ethnique berbère qui habitons principalement dans les régions saheliennes d’Afrique de l’Ouest et du Nord, notamment au Sénégal, en Gambie, en Guinée-Bissau, en Guinée, en Côte d’Ivoire, au Mali, au Burkina Faso, au Niger et au Bénin. Ce qui veut dire que nous sommes un peu partout dans le monde
Nous sommes connus pour notre nomadisme pastoral et notre expertise en matière de soins aux animaux. Retenez également que les Peulhs sont également célèbres pour leur mode de vie traditionnel, qui implique la transhumance des oiseaux et des animaux pour trouver des pâturages et de l’eau.
La culture des Peulhs est riche et fascinante. Nous avons une langue propre, appelée Pulaar ou Fulfulde, qui est parlée par environ 20 millions de personnes dans le monde. Comme dernier indice, nous sommes les plus grands éleveurs de bœufs. Nous avons cette puissance de parler aux bœufs. Et quand nous parlons aux bœufs, ils nous entendent et font particulièrement ce que nous leur demandons.
En matière de dot, il faut vraiment s’armer. Ce n’est pas n’importe qui, qui ose venir demander la main d’une femme dans notre culture, non ; il faut vraiment être très puissant. Et lorsque je parle de la puissance, ce n’est pas le côté spirituel mais du côté financier. Pour doter une femme Fulani, il faut une importante somme d’argent ; au moins une quarantaine de millions. La dot chez nous est très coûteuse parce qu’il faut parfois acheter deux voire trois géants bœufs avec les autres matériels qui s’en suivent. La dot dans mon clan n’est pas facile, chers lecteurs. À cause de l’histoire de cette importante somme d’argent, certaines jeunes filles vieillissent dans la famille, sous le toit de ses parents, tout simplement parce qu’aucun homme ne veut investir toutes ses économies dans le mariage. Mais laissez-moi vous le dire ! Xavier a donné tout ce qui lui a été demandé. Après notre nuit de noces, il est allé donner encore six millions en guise de récompense de ma dignité que j’ai conservée ! C’est cinq millions qu’on donne mais il en a donné six parce qu’il ne s’y attendait pas. À cause de cet humble geste, Xavier était le plus aimé de ma famille. À cause de lui, tous mes frères aînés et sœurs m’accordent tout le respect du monde bien que je sois la benjamine de la famille.
Après notre mariage, Xavier m’a amenée avec lui et nous avons célébré notre nuit de noces avec plaisir. Ce n’est que quelques semaines seulement que je suis tombée enceinte. Et une chose que j’ai peut-être oublié de vous annoncer, c’est que je suis une enseignante. Mes parents ont tellement dépensé sur moi que je suis la seule et unique qui ai beaucoup étudié. Oui, très jeune, on m’a employée dans une grande école où j’enseignais la pédagogie aux élèves. C’était en pleine année scolaire que mon mariage avait eu lieu.
Marchant, la tête baissée, je me posais des questions au plus profond de moi ; des questions qui n’auraient peut-être jamais de réponse. Les cours, cela fait plusieurs jours que je n’y allais plus. Je ne sais pas si c’étaient les grosses fesses et gros seins de Florence qui m’empêchaient d’aller au cours. Or, c’est la seule raison qui me laissait une place sous le toit de mon oncle.Pendant deux heures de temps, je me suis donné du plaisir à me promener ; non, à vadrouiller. Le crépuscule, cédant place à l’obscurité, rendait tout le ciel noir.Revenu à la maison, j’ai vu mon oncle et son épouse au salon. À leurs côtés, s’était assise Charlotte. À mon entrée dans la chambre, je me suis approché de mon oncle et l’ai salué avec tout le respect du monde. J’avais le cœur qui battait parce que, voyant sa fille préférée à ses côtés, je ne sais pas si elle avait peut-être oublié les billets que je lui avais remis.– Oui, fiston, comment vas-tu ? m’a-t-il répondu avec sourire.– Je vais bien,
Voyant ma vie foutue, je me suis plongé en larmes. Dans cette circonstance, je savais que seules mes larmes pouvaient me sauver si et seulement, cette fille était de bon cœur.Voyant ma vie s’écrouler, je me suis fondu en larmes.– S’il te plaît Charlotte, je te jure que je ne reprendrai plus jamais !– Désolé, Daniel ! Aucune goutte de tes larmes ne me fera changer de décision, crois-moi !Sous mes yeux, Charlotte s’est levée et s’est dirigée vers la porte. Tête basse, je laissais couler les larmes en quantité.Charlotte, en quelques minutes, est partie de ma chambre, me laissant dans l’inquiétude et la tristesse.Quelques minutes après son départ, est revenue Florence.– Qu’est-ce qu’elle a dit…– S’il te plaît, va-t-en ! Je suis déjà en danger…– Ne dis pas ça ! J’ai la solution…– Quelle solution ? Rien ne peut arranger cette situation…– Ne dis pas n’importe quoi ! Tiens ces trois billets de dix mille francs et va rapidement dans sa chambre. Remets-lui les billets et promets-lui
Et puisqu’il n’y a jamais de conclusion sans expérience, j’ai gardé dans ma tête que j’allais essayer pour voir.J’ai levé mon regard vers la pendule murale et là, il sonnait quinze heures trente minutes.Parce que j’avais trop faim, je n’ai pas tardé à vider mon assiette. Florence, s’approchant de moi, a saisi les assiettes sans attendre une seconde et s’est dirigée vers la porte.Soulevant la bouteille, j’ai tourné la partie notice et ai commencé à lire les maladies que le produit était appelé à guérir. Parmi les troubles, il y avait bel et bien, l’éjaculation précoce.Trouvant cette maladie à la cinquième position, j’ai arrêté la lecture. Je n’ai même plus cherché loin. Je l’ai ensuite ouvert pour découvrir l’intérieur et là, l’odeur de la boisson de la boisson locale, communément appelée "Sodabi" a embaumé mes narines.Je reculais la tête soudain lorsqu’une silhouette, toutes nue, est entrée de nouveau dans ma chambre.Et puisque le corps nu de Charlotte ne m’était plus étranger,
Pendant une vingtaine de minutes, Florence avait célébré ma bite. Tournant mon regard à l’adresse de la pendule, midi était à l’approche.– Mince ! me suis-je écrié.Prise de peur, Florence arrête la pipe et me fixe.– Qu’y a-t-il ?– Regarde ! Le temps nous a surpris.Réalisant la vérité, elle a ouvert la bouche.– Dans ce cas, allons sur les divans au salon. Comme ça, lorsque la sonnerie sonnera, nous allons vite nous ranger et aller ouvrir.– Belle idée ! ai-je dit.Je la relève et…– Ramasse-moi et emmène-moi au salon comme une reine.Qui suis-je pour éviter de faire cela ?La ramassant comme une ordure, je l’ai emmenée au salon. M’approchant des meubles, je l’ai déposée calmement comme un œuf sur l’un des divan. Mon pénis, très rapidement, a repris sa forme dure. Il fallait le réchauffer. Et puisque le temps filait et Florence comprenait déjà quelque chose, elle s’est jetée là-dessus et à commencé à le chauffer avec sa bouche, sa langue et sa salive. Ses deux seins suspendus dans
Fermant calmement les yeux, je me suis mis à jouer dans ma tête la vidéo de ce moment impeccable ; ce moment chaleureux.Les yeux fermés, je voyais mon gros pénis en suspense dans la bouche de ma cousine. Et comme si je suis dorénavant accro au sexe de Florence, l’envie de la dévorer a commencé à me posséder.Fermant les yeux, je revivais la belle histoire comme si elle était en cours.***J’ouvre les yeux et je vois devant moi, ma cousine.Comme si je venais de me réveiller d’une transe, je frotte les yeux pour mieux voir et devant moi, était bien debout, Florence. Les souvenirs, comme une pluie, inondèrent mon crâne, me rappelant que ma cousine avait promis de revenir à dix heures.– Euh…il est déjà dix heures ? ai-je demandé.– Depuis ! Tu es certainement fatigué !– Trop ! Je vais me reposer un peu…– Non s’il te plaît, ne me fais pas ça ! Papa et maman y compris ma sœur vont revenir tout à l’heure.– Je sais, mais je suis fatigué !– S’il te plaît, viens me défoncer et à la fin,
Seule dans notre lit, on se parlait amicalement. On se touchait aussi de temps en temps. Ne nous suffisant pas, Florence s’est approchée de moi et est montée sur moi. Ses seins, en un coup, m’ont affaibli. Tout de suite, le joli corps de ma cousine a commencé par réveiller mon pénis qui, même en nous entendant parler depuis quelques minutes, ne réagissait pas.Soulevant la tête, il a commencé par cogner les jambes de Florence.– J’aime ce que me fait ta queue, a-t-elle murmuré calmement dans mes oreilles.Sa douce voix, tout de suite, a inséré une envie inimaginable dans mon corps et la serrant contre moi, les caresses commencèrent. Les bouches collées, le suçage des langues et des lèvres s’enchaînèrent. Ses seins en suspense dans mes mains, se faisaient maniés avec soin et précautions.Laissant de temps en temps ses seins, j’attrapais par derrière ses fesses que je maniais comme un boulanger manie le blé avant qu’il ne devienne la pâte.« Ah, vas-y ! Je suis toute à toi ! Tue-moi et
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