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Chapitre 144
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Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou Chapitre 219
« Après tout, tu ne vis plus avec Alain, et il a bu, alors ne le dérange pas. Laisse-le rentrer se reposer tôt », a dit Héloïse.Sylvie n'était pas du genre à faire des histoires pour ce genre de choses.Et c'était vrai qu'elle ne pouvait effectivement pas trouver de voiture ici.« Dans ce cas, organise un chauffeur pour moi maintenant. »Sylvie ne pouvait plus rester ici une seconde de plus.Héloïse a légèrement hoché la tête.« Alain, je vais m'en occuper. »Après son départ, Sylvie a ouvert la portière et est descendue de la voiture.« Désolé. » La voix de l'homme était extrêmement rauque.La main de Sylvie, qui fermait la portière, s'est arrêtée un instant.« M. Chéron, ce n'est pas la première fois que cela arrive. J'espère que la prochaine fois, tu sauras distinguer les personnes. »« Nous sommes en instance de divorce, j'espère que tu sauras garder tes distances. »Après ces mots, elle a claqué la portière.Sylvie a regardé Alain, son dégoût était évident.Ce n'éta
Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou Chapitre 218
Quand Alain était ivre, il devenait confus.Sans réfléchir, Sylvie l'a repoussé avec force.Elle n'aurait jamais imaginé qu'il serait dans la voiture pour se rafraîchir. Si elle l'avait su, elle ne serait jamais montée.L'homme, surpris par cette poussée, est resté un instant immobile.Sylvie s'est retournée pour descendre, mais soudain, il l'a serrée fermement contre lui, la ramenant dans ses bras.Son poids léger ne lui a posé aucune difficulté, et il l'a facilement ramenée contre lui.Sylvie a tenté de se débattre, mais ses bras l'ont enveloppée étroitement, et ses mouvements devenaient de plus en plus insistants.Elle sentait clairement la chaleur de son corps et son souffle.Elle a froncé les sourcils.« Alain ! »La distance entre eux était trop courte, leurs souffles se mêlaient, et l'air dans la voiture est devenu étouffant et lourd.Soudain, il a baissé la tête, et ses lèvres froides se sont pressées contre les siennes, étouffant ses paroles.Sylvie a écarquillé le
Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou Chapitre 217
« Il semble s'être tordu le pied, emmène-le à l'hôpital », a ajouté Sylvie.Aujourd'hui était le jour des obsèques de la famille Veil, il était naturel que Noah soit présent.Noah a remercié Sylvie une fois de plus, puis s'est retourné pour partir avec le petit garçon dans les bras.La pluie fine n'a pas cessé, et un vent froid soufflait par intermittence.Une fois qu'ils sont partis, Sylvie ne pouvait s'empêcher de frotter ses bras, sentant un frisson la parcourir.C'était alors qu'une veste noire a été posée sur ses épaules, apportant une chaleur qui a pénétré sa peau, la réchauffant instantanément.Sylvie a légèrement frissonné et, en se retournant, a croisé le regard calme d'Alain.Son visage ne trahissait aucune émotion, il l'a regardée simplement et a dit : « Nous devrions rentrer. »En voyant Alain, Sylvie a ricané froidement, a enlevé la veste et la lui a jetée : « Je n'en ai pas besoin. »Il a attrapé la veste et l'a regardée pendant quelques secondes en silence.Fin
Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou Chapitre 216
Sylvie a baissé les yeux vers elle, son regard froid et indifférent.Christine a été surprise. Sylvie n'avait jamais adopté cette attitude avec elle auparavant.Elle semblait avoir changé du tout au tout.Christine a ouvert la bouche, comme si elle voulait dire quelque chose, mais elle n'a pas trouvé les mots.L'atmosphère pesante des obsèques rendait les choses encore plus oppressantes.Sylvie a détourné son regard avec froideur : « Je vais aux toilettes. »Elle n'avait pas l'intention de continuer à discuter avec Christine. L'attitude des membres de la famille Chéron ne l'affectait plus.Elaina l'a regardée et a souri avec douceur : « Reviens vite. »Clarette a ricané : « Si on lui demande de faire quelque chose, elle trouve toujours une excuse. Les belles-filles des autres familles savent tout faire. »Elle a jeté un regard en coin à Sylvie, son ton sarcastique : « Je lui fais simplement quelques remarques, et la voilà qui se met en colère. »Elaina a pris un air sombre :
Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou Chapitre 215
« La famille Veil est peu nombreuse, nous risquons de manquer à notre devoir d'accueil. Théo nous a quittés, et la famille n'est plus que l'ombre d'elle-même... » Clémence a reniflé, la voix chargée de tristesse : « Veuillez nous excuser. »En effet, Elaina entretenait une relation très proche avec Théo.La famille Veil était effectivement réduite, avec peu de descendants, et encore moins d'élites pour la redresser.À la cérémonie, la plupart des invités étaient de vieux amis proches de Théo.Clarette a tourné la tête vers Alain : « Alain, vous avez grandi ensemble, aide donc Héloïse. »Après ces mots, elle est entrée.Personne ne s'est soucié de ce que Sylvie pouvait penser.Christine a jeté un coup d'œil à Sylvie, droite et impassible.Elle a ricané, estimant que Sylvie n'était que calme en apparence, mais que son cœur était déjà brisé.Extérieurement, à part Elaina, tout le monde semblait discrètement encourager la relation entre Héloïse et Alain.Alain semblait savoir à l
Pas de temps pour mes funérailles, mais quand je renais, tu deviens fou Chapitre 214
Puis, la vitre du conducteur de la Maybach s'est lentement abaissée.Vallis a passé la tête et, les sourcils froncés, l'a pressée : « Dépêche-toi, nous allons être en retard. »Sylvie s'est arrêtée.Ce n'était pas si loin, mais comme elle était un peu enrhumée, elle ne voulait pas se faire tremper.Elle a froncé les sourcils, puis a couru vers la Maybach sous la pluie et le vent.La pluie froide et le vent lui ont donné des frissons.Sachant qu'Alain était à l'arrière, elle a ouvert la portière avant et s'est assise.Ses cheveux étaient mouillés, et elle a doucement secoué la tête pour enlever quelques gouttes.Vallis l'a regardée s'asseoir à l'avant, les yeux écarquillés.Il ne s'attendait pas à ce que Sylvie s'installe directement à l'avant.« Euh… » Il a jeté un coup d'œil dans le rétroviseur.À l'arrière, Alain, vêtu de noir, avait un air froid et impassible.« N'es-tu pas pressé ? Conduis », a dit Sylvie.Plus ils arriveraient tôt, plus ils pourraient partir tôt.Ell
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