Mon dieu, c’était quoi ça ? Il faut vraiment que je me contrôle, surtout qu’on est juste ami, pensa Alexander.Soudain, quelqu’un le prit dans ses bras par derrière.Alexander se retourna, pas surpris de voir Maya.— Pourquoi es-tu encore debout ? demanda Maya.— Je viens juste chercher de l’eau, répondit Alexander en souriant.— On peut aller au parc ce week-end ? demanda Maya.— Hmmm, je vais y réfléchir, répondit Alexander.— Tu ne traînes plus avec moi, dit Maya tristement.Alexander sourit puis la prit dans ses bras et la posa sur le plan de travail.— D’accord, on y va, mais tu dois me le rappeler deux jours avant samedi, dit Alexander.Maya était tellement heureuse qu’elle le taquina.Dolores entra dans la cuisine et sourit.— Je m’inquiétais, c’est pour ça que je suis venue te voir, mais apparemment tu es avec l’amour de ta vie, dit Dolores en souriant.— Tu veux dire ce gars-là ? demanda Alexander.— Attends, tu ne me vois pas comme une femme ? demanda Maya.— Oh, s’il te pla
— Sir Alexander, laissez-moi gérer cette chose, parce que vous ne savez vraiment pas qui elle est, monsieur Gideon, dit-il.— Et moi, je vous dis que si vous bougez encore les mains, je vais vous les couper, répondit Alexander en s’approchant de Dolores.— Monsieur Gideon, vous étiez au restaurant Merchester hier pour la réunion, n’est-ce pas ? demanda Alexander.— Oui, j’étais au restaurant, et cette chose est venue me séduire, répondit Gideon.— Je vais laisser passer ça, parce que le fait que vous ayez traité ma femme de « chose », c’est quelque chose que je ne tolérerais pas un jour normal, dit Alexander froidement.— Ép...épouse... Vous avez dit épouse ? balbutia Gideon.— Oui, dit-il, épouse, ajouta Dolores.— Elle est la belle-fille de cette famille ? demanda Gideon, effrayé.— Vous avez mal traité ma femme hier et vous lui avez parlé avec irrespect.— Et cela ne peut jamais arriver à une belle-fille de cette famille.— Vous avez insulté ma femme ! cria Alexander.— Je suis vra
— Il est temps de rentrer, dit une voix derrière Dolores.Dolores se retourna, choquée mais aussi heureuse de voir Alexander.Elle descendit de son tabouret et le serra dans ses bras.— Alex, tu es là ! dit Dolores avec un sourire.— Tu es saoule, il faut que tu arrêtes pour aujourd’hui, dit Alex en prenant son sac.— Franco, je pense que tu ne devrais pas boire avec ta patronne, dit Alexander.Avant que Franco ne puisse répondre, Alexander prit Dolores dans ses bras façon mariée, ce qui rendit Franco très en colère, même s’il garda son calme.— Tu dois apprendre à te contrôler quand tu es submergée par tes émotions, dit Alexander en mettant Dolores dans la voiture.— Et qui a dit que j’étais émotive ? répondit Dolores, les yeux à moitié fermés.— Peu importe, dit Alex en tentant de refermer la portière, mais Dolores le tira à elle.Leurs lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres l’une de l’autre.Alexander ferma les yeux, pensant qu’elle allait l’embrasser, mais Dolores sourit.Soud
SOIRÉE 🎆Dolores entra dans le restaurant chic aux côtés de Franco.C’était l’un des restaurants de la famille Manchester.Ils se dirigèrent ensuite vers la table qui leur avait été réservée.— Qu’est-ce qui vous a retenus aussi longtemps ? demanda le jeune homme qui les attendait.— Désolée pour le retard, répondit Dolores en tentant de s’asseoir.— Hé, je ne vous ai pas demandé de vous asseoir tous les deux, lança l’homme à moitié en criant.— Monsieur Gideon, nous sommes désolés, mais je ne pense pas que vous devriez nous parler de cette façon, répondit calmement Dolores.— Et pour qui tu te prends, hein ? Je parlerai comme je veux !— Si je n’étais pas proche de la famille Manchester, je ne marcherais même pas avec des gens aussi inutiles, ajouta Gideon.— Nous sommes vraiment désolés. Pouvons-nous nous asseoir maintenant ? demanda Dolores d’un ton posé.— Oui, vous pouvez vous asseoir, répondit Gideon.— Merci, dit Dolores en s’inclinant légèrement avant de s’asseoir.Franco s’a
À L’HÔPITAL 🏥Tout le monde était dans la salle d’attente sauf Dolores et Alex qui étaient avec Viviane, et le père Lucas et Manson qui étaient avec le médecin dans son bureau.— Et si ça ne s’enlève pas ? demanda Dolores.— Ça va s’enlever, répondit immédiatement Viviane, apeurée.— Ne t’inquiète pas trop, car même si ça ne s’enlève pas, il y a d’autres options, dit Dolores.— Et lesquelles ? demanda Viviane.— On peut toujours t’amputer les jambes, répondit Dolores.— Tu sais qui je suis ? Je suis une figure publique ! s’exclama Viviane.— Hmm, alors tu devras te montrer publiquement avec ces bottes, dit Dolores avec un sourire.Soudain, le médecin entra avec le père Lucas et Manson.Il appliqua quelque chose à l’intérieur des bottes, et quelques secondes plus tard, elles se détachèrent, mais ses jambes n’étaient pas en bon état.— Oh mon Dieu, regardez mes jambes ! s’écria Viviane en larmes.Dolores se retint de rire pendant qu’Alex sortit de la pièce, incapable de se contenir.LE
Tout le monde était présent et attendait les instructions du père Lucas.— Eh bien, rien de bien sérieux, je veux juste que nous fassions de l'équitation, dit Lucas, puis soudain, deux hommes arrivèrent avec six chevaux.Dolores s’approcha lentement d’Alexander.— Alex, je ne suis pas très douée avec les chevaux, dit Dolores doucement.— Ce n’est rien, je vais t’apprendre, répondit Alexander avec un sourire.Dolores sourit puis hocha la tête.Quelques minutes plus tard, tout le monde était avec son cheval, sauf les parents.Maya était déjà en train de monter pendant que Viviane se contentait de nourrir son cheval.— Je suis certaine que ça va être difficile d’enlever ces chaussures, dit Dolores.Et Alexander se mit à sourire.— J’ai appris à utiliser de la colle avec le maître, dit Alexander.— Ouais, moi je n’utilise pas ce genre de colle, et si ses pieds sont blessés, ne comptez pas sur moi, dit Dolores d’un ton enfantin.— Oui ma reine, répondit Alexander avec un sourire.— Bon, al