LOGINSienna DeCosta’s family is in the mafia and she wants nothing more than to stay out of her family business. She runs into Cole Marino from the Marino crime family when he saves her life. They quickly fall in love but what will happen when they find out they’re sleeping with the enemy. Will they choose family loyalty or love.
View MoreGrayson Blackwell serrait le volant de sa voiture comme si la pression de ses doigts pouvait faire redémarrer le moteur.
Rien. Pas même un clignement du tableau de bord. La voiture la plus sécurisée du marché, une merveille de technologie fabriquée par sa propre entreprise… et elle refusait de répondre. Ici. Au milieu de nulle part.Le GPS tournait en boucle. Pas de signal.
Son téléphone non plus. Pas une barre. Silence radio.Il inspira lentement. Calmer les battements. Cacher la panique. Il avait été formé à la gestion de crise, il gérait des crises bien pires tous les jours… sauf qu’aucune ne l’avait jamais laissé seul sur une route poussiéreuse, au milieu d’une forêt inconnue, sans sécurité.
Et surtout : sans plan de secours.
"Son oncle voulait qu’il soit là." L’appel volé. Le rendez-vous suspect. "À l’extérieur de la ville, 17h. Dis-lui de venir seul."Et Grayson était venu. Par défi. Par principe.
Par orgueil. Et maintenant… piégé.Il sortit de la voiture. L’air était lourd. Une chaleur sèche, presque hostile. Les arbres autour de la route semblaient le regarder. Le silence n’était pas naturel. Trop propre. Comme une embuscade qui attendait de se refermer.
Une heure. Peut-être deux avant la nuit. Et s’il avait raison, ils viendraient.
Il recula d’un pas, passa une main dans ses cheveux. Une goutte de sueur roula le long de sa tempe.Et puis — un bruit. Faible d’abord. Puis plus net. Un moteur, au loin.
Grayson se retourna.Une vieille moto rouge surgit entre les arbres, avançant tranquillement. Une silhouette féminine, queue-de-cheval brune sous le casque.
Elle freina en voyant la voiture, coupa le moteur. Enleva son casque.Jade Carter.Vingt ans. Regard franc. Sourcils froncés. Une clé à molette dépassant de la poche arrière de son jean.
— Laissez-moi deviner, lança-t-elle. La technologie vous a lâché ?
Grayson ouvrit la bouche, mais aucun mot n’en sortit.
Elle le détailla sans gêne, s’approcha.— Je peux jeter un œil, dit-elle en descendant de sa moto. Ou bien vous attendez que la forêt décide de vous manger ?
Il la laissa passer. L’odeur de cambouis, de métal chaud et de savon à la menthe lui parvint. Elle ouvrit le capot.
Grayson reprit enfin son souffle.— Vous êtes mécanicienne ? demanda-t-il, la voix plus rugueuse qu’il ne le voulait.
— Non, dit-elle sans lever les yeux. Je suis magicienne. Je fais redémarrer les miracles.
Elle fronça les sourcils. Ses doigts glissèrent sur les câbles. Puis elle s’arrêta net.
— Mmh. C’est pas une panne. C’est un sabotage.Grayson se figea.
— Quoi ?
— Regardez ça, dit-elle en lui montrant un faisceau sectionné. Coupé net, pas brûlé. Et ça, là — c’est un brouilleur local. Planqué juste sous le boîtier thermique. Quelqu’un voulait que vous restiez ici. Seul.
Elle releva enfin la tête. Son regard croisa le sien.
— Vous avez des ennemis, monsieur costume ?
Grayson se raidit. Toute sa posture changea.
— Plus que je ne peux les compter.
Elle hocha la tête, referma le capot doucement.
— Alors vous avez de la chance d’être tombé sur moi.
— Vous comprenez ce que vous venez de dire ? Ce brouilleur… ça vient d’une de mes propres technologies. C’est du Blackwell.
— Et pourtant, il était là, dit-elle en haussant les épaules. Parfaitement posé. Vous avez peut-être inventé le système. Moi, je viens de le déjouer avec une pince rouillée.
Elle tendit la main.
— Vous voulez bouger d’ici ou vous préférez attendre vos "amis" ?
Il hésita. Puis prit le casque qu’elle lui tendait.
— Très bien. Mais je conduis.
— Non. Vous montez derrière. Et vous vous accrochez.
Elle enfourcha la moto. Il resta une seconde figé.
— Vous avez une règle pour tout, hein ?
— Non. Juste pour vous.
Il monta derrière elle, malgré lui.
Le moteur de la moto vibrait sous eux, rauque, puissant, presque vivant.
Grayson s’était accroché au départ, par réflexe. Mais maintenant, il gardait les mains à peine posées sur les hanches de Jade, tendu comme un fil prêt à casser.Elle, elle filait entre les virages comme si elle faisait partie de la route. Cheveux au vent, corps parfaitement aligné avec chaque courbe.
Il n’avait plus l’habitude de ne pas être aux commandes. C’était… irritant. Et étrangement, grisant.— Vous pouvez respirer, lança-t-elle sans tourner la tête. J’ai pas prévu de vous balancer dans un ravin. Pas aujourd’hui, en tout cas.
Grayson pinça les lèvres.
— Vous conduisez comme si vous étiez poursuivie.
— Et vous parlez comme un mec qui a l’habitude qu’on lui obéisse. Mauvais réflexe, ici.
Elle bifurqua brusquement dans un chemin étroit, à moitié dissimulé par les branches. La forêt s’épaississait. La lumière déclinait.
— Où est-ce qu’on va ? demanda-t-il, en resserrant sa prise malgré lui.
— Court chemin vers mon garage. L’ancien sentier forestier. Pas sur les GPS. Et surtout… pas traçable.
Grayson sentit son estomac se contracter.
Elle savait. Peut-être pas qui il était exactement… mais assez pour comprendre que ce n’était pas une panne comme les autres.— Vous croyez souvent des inconnus sur des routes isolées ?
Elle haussa une épaule.
— Je juge à l’instinct. Et le vôtre hurle "problème", mais pas du genre qui me fait peur.
Elle ralentit un peu, sa voix baissant d’un ton.
— En revanche, si quelqu’un a saboté votre voiture avec un brouilleur de signal militaire, là… ouais. Là, j’ai quelques raisons de m’inquiéter.
Grayson ne répondit pas. Son regard scrutait les ombres, chaque arbre devenant une menace potentielle.
— Vous avez dit que vous m’avez trouvé par hasard.
— J’ai pas dit ça. J’ai dit que j’étais là au bon moment. Nuance.
Il grogna légèrement.
— Et vous êtes quoi, exactement ? Juste une mécano qui se balade dans la forêt avec une clé à molette et un sixième sens ?
Elle rit. Un son bref, mordant.
— Non. Je suis la fille du gars qui tient le seul garage à trente kilomètres à la ronde. Et j’aime pas les mystères. Surtout quand ils se garent dans mon coin de forêt avec une bagnole qui coûte mille fois plus que ma maison.
Elle tourna la tête juste assez pour croiser son regard par-dessus son épaule.
— Vous portez un flingue ?
— Non.
— Vous mentez.
Il sourit cette fois. Froid. Contrôlé.
— C’est ce que je fais de mieux.
— Super. Moi, c’est démonter les gens qui mentent.
Elle accéléra à nouveau. La moto bondit sur un dos d’âne, et il la sentit rire sous le choc, presque ravie de le déstabiliser.
Et là, dans un éclair de lucidité, Grayson comprit quelque chose.
Elle n’avait peur de rien.
Pas de lui. Pas de la forêt. Pas même du danger invisible qui les suivait.Et ça, c’était peut-être plus dangereux encore que le piège tendu sur la route.
La forêt s’épaississait à chaque kilomètre parcouru, les arbres de plus en plus serrés, presque menaçants. Le bruit du moteur de la moto s’estompait dans l’air lourd, mais l’atmosphère restait tendue. Grayson avait les sens en alerte maximale. Ce n’était plus juste une question de panne, ni même de sabotage. Quelque chose clochait. Quelque chose se préparait.
Jade tourna brusquement à droite, s’engageant sur un sentier à peine visible. Les pneus de la moto crissèrent sur les pierres, soulevant des éclats de poussière qui dansaient dans la lumière mourante.
— Vous connaissez cette route ? demanda Grayson, la voix plus grave qu’il ne l’aurait voulu.
— Ouais. C’est une route que seuls ceux qui connaissent bien la région empruntent, répondit-elle d’un ton détaché, comme si de rien n’était.
Mais Grayson n’était pas dupe. Il sentait que cette conversation était une façade. Quelque chose dans ses mots sonnait faux, comme un avertissement qu’il avait ignoré trop longtemps.
Elle accéléra encore. La moto rugit, glissant autour des arbres et des rochers. Mais au loin, une lueur brève attira son attention. Un éclair rouge, presque imperceptible… juste avant un bruit sourd. Un coup de feu.
— Qu’est-ce que c’était ? demanda Grayson, son ton devenu plus sec, plus tendu.
Jade n’eut pas le temps de répondre. Une autre détonation éclata derrière eux, plus près cette fois. La balle passa si près de leur tête qu’il entendit le sifflement du vent. Elle siffla si près de son oreille qu’il sentit la brûlure de l’air avant que la moto ne dérape sous lui.
— Bordel, Jade, qu’est-ce qui se passe ? cria-t-il, les poings serrés sur sa taille.
Elle n’eut pas le temps de répondre. Une silhouette émergea de l’ombre, en face. Un homme, caché derrière un arbre, un fusil de précision entre les mains. Il abaissa son arme d’un mouvement fluide.
— C’est pour toi, Blackwell, cria l’homme, un rictus cruel déformant ses traits.
Le regard de Jade s’assombrit immédiatement. Elle freina violemment, envoyant la moto glisser sur le côté. Grayson se retrouva à terre, éjecté par la violence du mouvement. Le sol rugueux de la forêt l’accueillit brutalement.
— Dégage, maintenant ! hurla Jade, se relevant en un éclair.
Elle se redressa et se précipita vers le fusil, jetant un regard furtif vers Grayson. Il se releva rapidement, son cœur battant la chamade, tandis que Jade, avec une précision déconcertante, s’emparait de son propre pistolet, qu’elle avait gardé sous la veste.
Elle pointa l’arme vers l’homme, qui esquissa un sourire mauvais.
— Vous pensiez vraiment que vous alliez être à l’abri ici, Blackwell ? ricana-t-il, avant de se tourner vers Jade. Quant à toi, tu n’es qu’une gamine dans un coin perdu. Il est temps de grandir.
Jade leva son arme, impassible.
— Vous vous êtes planté de cible, mon ami. Le gamin, c’est celui qui reste en vie quand vous avez fini de parler.
Un instant de tension suspendue. Puis tout explosa. Jade tira en premier, un coup net, précis. L’homme tomba sans un cri, ses jambes se dérobant sous lui.
Grayson, à peine remis de sa chute, s’élança vers elle, les yeux écarquillés.
— Vous avez tué un homme !
— Il l’a cherché, répondit-elle froidement, rangeant son arme avec une nonchalance déconcertante. Et vous, vous devriez commencer à comprendre que vous êtes dans un endroit où il vaut mieux être celui qui tire en premier.
Grayson cligna des yeux, une rage froide remontant dans ses entrailles. Il avait toujours cru contrôler chaque situation, chaque mouvement. Mais Jade… Jade venait de lui montrer qu’il n’avait aucune idée de ce qui se passait réellement autour de lui.
— Vous aviez un plan, ou bien c’est juste du pur instinct ? demanda-t-il, se redressant lentement, une part de respect – et de confusion – dans le regard.
— Ce qui m’amène à la question suivante… pourquoi diable avez-vous décidé de vous rendre ici tout seul ? Vous êtes un gros poisson, Blackwell. Et maintenant, vous êtes dans mon coin. On n’aime pas les requins ici.
Il la fixa intensément. Il venait de comprendre qu’il n’avait pas seulement affaire à une simple mécano ou à une femme de la forêt. Jade était un serpent, une survivante qui savait manipuler chaque situation.
Il baissa la tête, repliant ses poings.
— Vous avez gagné un peu de mon respect, Carter. Mais on n’a pas encore fini, vous et moi.
Elle se tourna vers lui, un sourire presque sadique effleurant ses lèvres.
— J’espère bien. Parce que, si vous pensiez que tout était sous contrôle, Blackwell, vous vous êtes bien trompé.
Elle l'ignora ensuite et monta sur la moto. Elle tourna la clé de contact, l’arme toujours en main.
— Alors, vous venez ?
Grayson hésita un instant, regardant le corps de l’homme qu’elle venait d’abattre. Il se redressa finalement et monta derrière elle.
ColeI was still climbing the walls when Jace returned and filled me in on his meeting with Luca and Matteo, and even more so when he told me that Sienna had been followed by someone other than Ryder. I felt sick when he told me that Bella had brazenly walked up to the guy with a coffee and told him she knew he was following them. Anything could have happened to her. She then went up to Ryder and asked him if he had even noticed the other guy, which he assured me he did.Luca told Jace that he and Matteo were sure they had taken care of the guys behind the hit on Sienna. Perhaps the hit wasn't just about getting revenge on them. Still, as the months passed and nothing else had happened, he put it to the back of his mind but now, with what happened to me or at least what they think happened to me, Luca agreed to look into it again for Sienna's sake more than anything as he knew she was hurting. He also wanted to make sure she was out of danger. Still, Luca always thought our presence a
SiennaI felt emotionally exhausted, like I could sleep for a month, and it still wouldn't be enough. On the other hand, my brain wouldn't stop running in circles. Bella and I had done nothing but lay in her bed in silence since Jace had left after deciding we would go back to my house tonight. Jace hadn't been gone long when we heard banging at the front door. We both jumped from the bed, and like with Jace, I grabbed the baseball bat, and Bella grabbed her phone, both of us freezing when the front door opened and someone started walking up the stairs."How easy is your house to break into?" I hissed to Bella."I don't know; no one has broken in before tonight," she hissed back to me."Sienna, Bella, it's Ryder. Can I come in?"We both breathed a sigh of relief as Bella opened the bedroom door. "What the fuck are you doing? I have a doorbell,""I didn't want to scare you," he replied with a shrug."Then don't break into someone's house, you moron. You ring the doorbell and wait to be
Cole"How was she?" I asked Jace as soon as he walked back through the door to the cabin.Jace motioned for me to move out of the doorway and let him in. I sighed as I watched him slowly peel his jacket off and hang it up before sitting on the couch. I knew he was purposefully taking his time to annoy me, knowing I was as wound as a coiled spring. "She's fine now that she knows you're alive. She thinks Luca and Matteo may be behind this, and she tried to batter me with a baseball bat. I told her that you would phone her. I think she will be much better when she hears your voice. I also told her that you wouldn't be able to see her for a while." he told me as he threw his phone at me. He stood from the couch, placing his hand on my shoulder. "I'll give you some privacy.” I waited until Jace had left the room and closed the door before I phoned Sienna. I was desperate to hear her voice, but truth be told, I was scared to listen to the grief and suffering that she had been through, thin
SiennaI crumpled to the floor with Bella's arms around me when I heard the news broadcast that Cole was dead. I could hear my family talking around me, but I couldn't make myself understand. Cole's car had been found. Someone had run him off the road, and the fuel tank had ignited, and there was no way anyone inside had survived. They were saying he was dead. Cole's dead. No, that couldn't be true. I had just seen him last night, and we were meeting tonight. I was going to the cabin tonight to see him."Sienna, look at me." Bella snapped as she held my face in her hands, and I realized that this must not have been the first time she tried to get my attention. I focused on her tear-streaked face as she asked me if she could help me up. "Who" I mumbled as she shook her head and held me close. I was dimly aware of my three siblings
Cole As soon as I dropped Sienna off at her house, I immediately wanted to drag her back out again. I knew that there was no way Luca would sit back and keep his mouth shut now that Sienna was safe and he didn't need me to look after her anymore. I also knew there was nothing he could do to stop it, but I didn't want him giving Sienna a hard time about it, even if she was adamant that she could handle Luca. The past few days with her were amazing if we just ignored why we were hiding. We were getting closer and closer. It was almost like we were back in our own wee bubble like it was when we were at the cabin when we first met before we found out about each other, and even with Bella and Jace hanging around, I loved it."How was the big romantic dinner last night," Jace asked from his spot on the sofa as soon as I walked in the door.
SiennaThe past few days had been hard on all of us being cooped up in Jace's apartment. On the one hand, lying on the couch ordering takeout with Bella and Jace watching Grey's anatomy wasn't considered a hardship, but on the other hand, I was starting to get cabin fever, and Cole couldn't sit still. He was agitated, almost pacing around the place, constantly bringing me food and drinks, and I was going to slap him if he asked me if I was okay one more time. I told him to go out and get some air and take care of his business before I killed him. "Thank god you told him to leave", Jace commented seconds after Cole got on the elevator. "He was starting to get on my nerves with the fidgeting.""Me too," Bella laughed with him as she watched the telly. "I was going to slip some Valium in his coffee to give us a break."






Welcome to GoodNovel world of fiction. If you like this novel, or you are an idealist hoping to explore a perfect world, and also want to become an original novel author online to increase income, you can join our family to read or create various types of books, such as romance novel, epic reading, werewolf novel, fantasy novel, history novel and so on. If you are a reader, high quality novels can be selected here. If you are an author, you can obtain more inspiration from others to create more brilliant works, what's more, your works on our platform will catch more attention and win more admiration from readers.
Comments