Share

152

Penulis: RS WILD
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-22 04:26:34

Deborah aurait préféré rester dans son lit où les draps n’étaient pas aussi mouillés, mais il avait faim et souhaitait surtout faire honneur au plat qu’elle avait préparé.

Elle était dans la cuisine en train de réchauffer son plat lorsqu’il surgit derrière elle et la prit dans ses bras, murmurant en riant :

— Ne me colle pas la poêle sur la tête, d’accord ?

— Ça t’a choqué ?

— Un peu, mais c’est tant mieux, sinon nous ne serions plus là, ni l’un ni l’autre pour profiter l’un de l’autre.

— Et où est-il maintenant ? En prison !

— J’espère ou en psy ! Mais est-ce vraiment important ?

Il lui embrassa le cou et elle se mit à rire. C’était idiot, mais soudain, elle se sentit presque heureuse. Elle se retourna et l’embrassa.

Si on lui avait dit un jour qu’elle apprécierait d’être dans les bras de Jonathan, elle ne l’aurait pas cru. C’en était presque risible !

— Demain midi, tu dis à ton boss que je viens te chercher ! Mais j’y pense, tu ne m’as pas montré tes toiles.

Elle s’étonna qu’il veu
Lanjutkan membaca buku ini secara gratis
Pindai kode untuk mengunduh Aplikasi
Bab Terkunci

Bab terbaru

  • UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE   234

    Deborah, le souffle haché, le fixa, ses yeux lançant des éclairs de défi, de rage, mais aussi d’un désir qu’elle ne pouvait plus masquer.— Quels mots ? demanda-t-elle, sa voix tremblante, mais teintée d’une audace qui refusait de plier complètement.— Je suis à toi, répondit-il, chaque mot pesant, chargé d’une autorité qui la fit frissonner.Il relâcha son menton, attrapa son portable sur le bureau d’un geste fluide et le lui tendit, son regard noir planté dans le sien, un défi implacable qui semblait la défier de céder, ou de résister.— Tu as jusqu’à minuit, Deborah. Après, c’est perdu. Et crois-moi… tu vas le regretter.Il sortit, tranquillement, comme si rien ne s’était passé, la porte claquant doucement derrière lui, un son feutré qui résonna pourtant comme un coup de tonnerre dans le silence du bureau. Deborah resta seule, bouillonnante, la peau frémissante, une moiteur humiliante entre ses cuisses, un rappel cuisant de son désir inassouvi. Son cœur cognait dans sa poitrine, pa

  • UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE   233

    Deborah se tenait là, appuyée contre le bureau, la peau en feu sous l’éclat tamisé des néons, son souffle court et saccadé, la dentelle de sa culotte baissée jusqu’à ses genoux, exposée, tremblante d’un désir qu’elle avait elle-même réclamé, provoqué, attisé comme un brasier. Jonathan, tout contre elle, son corps une présence imposante, presque oppressante, laissait son souffle chaud et musqué caresser sa nuque, un effleurement qui envoyait des frissons électriques le long de sa colonne vertébrale. Le cuir de sa ceinture frôlait ses fesses, glissant avec une lenteur insoutenable, remontant en une caresse délicate, injustement tendre, le long de sa colonne, chaque contact amplifiant la chaleur qui pulsait dans ses veines. L’odeur de son eau de toilette – un mélange entêtant de cèdre brut et de poivre noir – saturait l’air, se mêlant à l’arôme fade du papier empilé sur le bureau et du café froid abandonné dans une tasse, un cocktail sensoriel qui enivrait Deborah, amplifiant chaque batt

  • UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE   232

    Je comprends, vous souhaitiez que j'allonge le texte existant en l'étoffant, en ajoutant des détails ou en approfondissant l'ambiance et les sensations, sans créer une suite ni avancer l'action. Merci de la clarification ! Voici une version allongée de votre texte original, qui reste dans le même moment narratif, enrichie avec plus de descriptions sensorielles, de tension psychologique et de détails immersifs, tout en respectant le ton érotique et la dynamique de pouvoir :Le sourire de Jonathan s’élargit, carnassier, ses dents blanches scintillant sous la lumière tamisée du bureau, ses yeux s’illuminant d’un éclat victorieux qui fit frissonner Deborah jusqu’au plus profond de son être. Il se tenait immobile, statue imposante dans son costume taillé sur mesure, un prédateur élégant dont le calme apparent masquait une tension palpable, une énergie brute qui semblait faire vibrer l’air autour d’eux. Chaque muscle de son corps semblait contenu, prêt à se libérer, et cette retenue calculé

  • UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE   231

    Deborah croyait pouvoir s’éclipser sans un bruit, glisser hors de son bureau comme une ombre dans la pénombre du cabinet désert. Mais la porte se referma derrière elle, un claquement sec qui claqua comme un coup de feu dans le silence, faisant bondir son cœur. Un frisson lui parcourut l’échine, et elle s’immobilisa, le souffle suspendu, l’air soudain plus lourd.— Tu vas où, Deborah ?La voix de Jonathan, basse et d’un calme glacial, trancha l’espace comme une lame affûtée. Adossé au mur, les bras croisés, il ne criait pas, ne bougeait presque pas, son costume anthracite épousant ses épaules avec une précision qui ébranlait ses défenses. Pourtant, chaque mot portait une intensité mordante, un défi qui s’enfonçait sous sa peau, réveillant un trouble qu’elle brûlait d’embrasser, même si son ego luttait pour le nier. L’odeur du café froid stagnait dans la pièce, mêlée à celle du papier d’imprimante et à l’eau de toilette de Jonathan – bois de cèdre, poivre noir, une note de danger qui s’

  • UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE   230

    Deborah fixait les feuilles froissées dans ses mains, le bourdonnement de l’imprimante s’estompant derrière elle. L’effleurement de Jonathan – ce contact furtif, calculé – avait laissé une brûlure invisible sur son dos, et son murmure, « Intéressant. Parce que c’est toi qui rougis, Deb », résonnait encore dans ses oreilles. Elle retourna à son bureau, les jambes tremblantes, le cœur battant à tout rompre. Le cabinet, avec ses murs gris et ses stores à moitié baissés, semblait se refermer sur elle, comme si les lieux eux-mêmes conspiraient pour amplifier la tension entre elle et son mari. C’était son premier jour, bon sang. Elle était censée se concentrer sur les dossiers, les appels, les rendez-vous à planifier. Pas sur lui. Pas sur cette guerre silencieuse qu’ils menaient depuis des années, et qui prenait une nouvelle dimension dans ce cadre professionnel.Elle s’assit, posa les feuilles sur son bureau, et tenta de se replonger dans son travail. Mais chaque clic de sa souris, chaque

  • UN CONTRAT DE MARIAGE EN HERITAGE   229

    L’après-midi avait débuté dans une trompeuse tranquillité, un contraste presque insultant avec le tumulte du matin. Le cabinet d’avocats, baigné par la lumière pâle de juin filtrée à travers les stores, semblait s’être assoupi après le rush du déjeuner. Les téléphones sonnaient par intermittence, les secrétaires pianotaient avec une régularité hypnotique, et les associés, retranchés dans leurs bureaux, donnaient l’impression d’un monde ordonné, presque mécanique. Mais pour Deborah, c’était tout sauf calme. C’était son premier jour, et chaque tâche – répondre à un client au téléphone, vérifier un rendez-vous, classer un dossier – était une épreuve, un test sous les regards invisibles de ses collègues. Et surtout sous son regard. Jonathan. Son mari. L’avocat vedette du cabinet, dont la présence, même à l’autre bout de l’open space, pesait sur elle comme une ombre.Elle s’acharnait sur son clavier, les yeux rivés sur l’écran, tentant de corriger une erreur dans un calendrier partagé qui

Bab Lainnya
Jelajahi dan baca novel bagus secara gratis
Akses gratis ke berbagai novel bagus di aplikasi GoodNovel. Unduh buku yang kamu suka dan baca di mana saja & kapan saja.
Baca buku gratis di Aplikasi
Pindai kode untuk membaca di Aplikasi
DMCA.com Protection Status