Semua Bab Quand ses yeux s'ouvrent: Bab 901 - Bab 910

A 10 heures, les invités étaient largement présents. Tout le monde était en groupe, buvant et discutant dans les différents coins de la salle de bal. Anna a accompagné Juliette et s'est assise à la table. Elle pouvait sentir des regards occasionnels jetés dans leur direction. Les gens ne la regardaient certainement pas, mais Juliette. En tant qu'ex-femme de Léo, la présence de Juliette aujourd'hui en a surpris plus d'un. Tout le monde était plus intéressé à savoir si quelque chose de plus excitant allait se produire lorsque les mariés viendraient plus tard. « Michael est venu. » Juliette surveillait du coin de l'œil l'entrée de la salle de bal en croquant les graines de pastèque. Chaque fois que quelqu'un qu'elle connaissait est venu, elle prévenait Anna. Anna a regardé vers la porte de la salle de bal où Michael et Naïm se retrouvaient. « Honnêtement, je les envie vraiment maintenant. » Avec une expression calme sur le visage de Juliette, elle a dit ce qu'elle avait sur le c

Elle a ressenti une vague de vertige. Avait-il besoin d'envoyer des messages maintenant qu'ils étaient assis ensemble ? Rayan a fini d'envoyer un message à Anna et entre deux attentes de sa réponse, a cliqué sur le petit groupe. Paul : Juliette est trop forte.   Quelle parole autoritaire est-ce là ? Je vais certainement gronder le scénariste d'être fou quand je vois habituellement des drames comme celui-ci, mais pourquoi je trouve si doux que Juliette a dit ceci ? Naïm : Léo connaît bien Juliette. Doit-on donner un paquet rouge à Léo ? Paul : Léo a fait fortune cette fois-ci. Naïm : Michael m'a demandé de le faire entrer dans le groupe, dois-je le faire entrer ? Paul : Puisque tu demandes, tu dois avoir envie de le faire entrer. Vas-y ! Dis-lui de venir et de distribuer le paquet rouge ! Alerte système : Michael est entré dans la discussion de groupe. Michael est entré dans le groupe et a envoyé un emoji fait à partir d'une belle photo de lui-même. Rayan : [Paquet rouge]Paul

Elle était pressée de sortir de la maison ce matin, sans prendre la peine de vérifier la météo, alors elle a seulement mis son manteau et est sortie. De plus, elle n'avait pas pensé à rester dehors longtemps. « Pourquoi ne pas aller prendre un café ? » Il a proposé. « Je ne peux plus boire. » Elle a mangé à satiété pour le déjeuner. « Marchons juste ! » « D'accord. » Sa veste est drapée sur ses épaules, son souffle a pénétré dans son corps, ses pensées semblaient être englouties par lui. Si l'homme à côté d'elle n'était pas lui, elle ne serait jamais d'humeur à souffler le vent froid dehors. « Tu m'as mal compris au dernier coup de fil. »  Il a parlé, brisant l'atmosphère terne. «  La raison pour laquelle j'ai mentionné Sylvette n'était pas pour en faire mon bouclier.   Je suis triste que tu a dit ça. » Le cœur d'Anna s'est soudainement calmé tandis qu'elle écoutait sa voix grave. S'il avait dit ça au téléphone, elle aurait pu lui répliquer sans hésiter. « Alors pourquoi as-t

Si son père avait été un père normal, Rayan ne serait pas devenu vicieux et brutal . Anna l'a regardé avec étonnement, incapable de prononcer un mot. Elle n'avait pas imaginé que derrière sa vie glamour se cachait une expérience aussi tragique. Elle pensait qu'elle était déjà assez malheureuse parce que son père a eu une aventure, que ses parents ont divorcé et que sa belle-mère l'a brutalisée, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il soit encore pire qu'elle. La tragédie d'elle était évidente et tout le monde le saivait. La tragédie de lui, en revanche, était indicible et il ne pouvait la garder dans son cœur. « Anna, ne me regarde pas comme ça. » Il a froncé ses sourcils : « Je n'ai pas besoin de sympathie. » Elle a secoué la tête : « Je n'ai aucune sympathie pour toi. Je me dis juste que si tu m'avais dit ça plus tôt, on n'aurait pas eu à faire un si grand détour. » « Mon caractère me dicte que je n'aurais pas pu te le dire plus tôt. » Tandis qu'il avançait, la voix s'est fai

« Es-tu sûr que c'est ce qu'elle a dit ? » Il a demandé. Une lumière blanche a traversé la tête du garde du corps et il a soudainement oublié ce qu'Anna venait de dire. « Uh. . . . . . Bref, je l'ai grondée et elle ne s'est pas fâchée. » a dit le garde du corps avec certitude. « Tu l'as grondée. » Rayan a froncé les sourcils et soufflé fortement. « Qui t'a dit de la gronder  ? Comment as-tu grondé ? » Le garde du corps était un peu coupable et un peu effrayé, mais il ne le regrettait pas :   : « Je l'ai grondée qu'elle ne pouvait pas distinguer le bien du mal. Elle était vraiment ingrate. Vous avez été si gentil avec elle, non seulement elle est ingrate, mais elle a même causé des ennuis avec vous tous les jours. Je pense qu'elle est encore pire que Juliette. Si j'étais vous, je ne la gâterais pas. Je l'aurais larguée et je lui aurais repris les enfants, de sorte qu'elle aurait regretté ce qu'elle avait fait et aurait été en larmes tous les jours. » Rayan a serré les dents. S'i