All Chapters of Mon Mari Puissant: Chapter 51 - Chapter 60

À la vue que Laurent avait légèrement hoché la tête, Jacqueline a doucement dit à la grand-mère : « Alors, d'accord. » La grand-mère s'est rassurée après ces mots. Tout irait bien si Jacqueline ne voulait pas rechercher la cause. Cependant justement à ce moment-là, Jacqueline a aggravé le ton : « Cela est fini. Mais j'ai quelque chose à ajouter. » « Dites-le-moi, Mademoiselle Bonnet ! », elle a répondu sans réfléchir. Jacqueline s'est dirigée vers Charlotte, a promené ses regards autour d'elle et puis a dit lentement : « Désormais, à propos de mes affaires professionnelles et d'autres choses, c'est tout à la responsabilité de Mademoiselle Charlotte Averie. Vous n'avez pas le droit de vous y mêler, je n'ai confiance qu'en elle. Vous comprenez ? » Quoi ? Tous ont été stupéfaits en entendant cela. C'est-à-dire Jacqueline s'est confiée à Charlotte, les autres Averies ne seraient pas dorénavants à la portée de ces affaires, même la grand-mère non plus. « 

Chloé, restant près d'eux, a aussi froncé les sourcils. Même si elle n'a guère parlé avec lui, Laurent appartenait toujours à sa famille. Elle perdrait la face s'il faisait des siennes ! À cet instant, Leclair a été choqué : « Tu es... le gendre des Averies ? » Avant qu'il rouvre la bouche, Ingrid s'est avancée vers lui et a doucement dit : « Papa, il est le spécialiste que j'ai invité ! » Quoi ? Tout le monde était au seuil d'éclater de rire, il était un spécialiste ? Il était un rebut et la famille des Averies avait hâte de le faire sortir, car il était bon à rien ! Mais Ingrid l'avait invité à examiner les antiquités ? À ce moment-là, Leclair a poussé un soupir et a regardé Laurent. Il a hoché la tête sans dire un mot. Ces dernières années, les affaires de la famille se reposaient sur Ingrid, sous les ordres de qui tout se déroulait couramment. Alors que sa fille a embauché cette personne, cela pourrait être en raison de son talent ? Bien que Laurent soit

En même temps, Ingrid et Chloé se sentait paralysées ! Il pourrait identifier une antiquité dans la légende ? À la vue de l'air exalté de Leclair, elles ne se redoutaient jamais. « Dis donc, vous avez beaucoup parlé de mon vase. Vous voulez l’acheter ou pas ? » À cet instant, le chauve, attendant la réponse de Leclair, avait hâte. Laurent a souri secrètement. Cette personne était un étrange dans ces champs. Il a apporté un trésor inestimable dans le pavillon des antiquités, au prix de seulement un demi-million d’euros ? Il a mentionné du sol collé sur le fond de ce vase, c'est-à-dire c'était un trésor à peine exhumé. Ce chauve a commis quelque chose d'anormal. Où avait-il obtenu ce vase ? Laurent a fermement froncé les sourcils en y pensant. « Oui, je vais l'acheter ! » Leclair a hoché la tête de peur que ce chauve ne veuille pas le vendre. Et puis, il s'est tourné vers Marc : « Vite, payez l'argent à ce monsieur. » À cette parole, il a pris

« Ne t'inquiète pas, belle. Assure-toi, tu n'es pas empoisonnée, c'est la pilule d'affaiblissement, tu es simplement paralysée après l'avoir prise », la barbe a souri avec un sens vicieux.Le visage de Margueritte s'est figé et elle ne pouvait pas parler. La pilule d'affaiblissement ? De quoi a-t-il parlé ? Laurent a froncé les sourcils, il pensait que la barbe s'était fuie de l'asile des ailés. « Mec, pourquoi as-tu suivi notre itinéraire ? Pour quel but ? J'ai vendu le vase et tu l'as acheté. Pourquoi m'as suivi ? » À cet instant, le chauve et ses compagnons se sont approchés de lui et ont demandé. « Seulement moi qui ai découvert la valeur de ton vase, tu dois me remercier », Laurent a feint de pousser un soupir et s'est avancé vers eux. Il était un peu stressé. Bien qu'il ait appris le Kung-Fu chinois pendant une année, il n'était pas sûr qu'il puisse l'emporter sur une frange de gens. Ainsi, il a réfléchi sur comment distraire leur attention. « 

« Tu feins d'être un étranger, non ? » Margueritte a froncé les sourcils et a regardé vers lui. Elle n'a pas répondu, et a demandé à nouveau : « Alors, comment as-tu renversé ce groupe par terre ? » Laurent a touché le nez : « Pas de spécial, j'ai appris le Kung-Fu chinois. » « Non ! » Margueritte a secoué la tête avec fermeture : « Tes gestes ne sont pas similaires au Kung-Fu chinois, tu as ouvert tes bras et tes jambes. » Laurent est resté la bouche bée. Elle avait raison, il avait appris le Kung-Fu chinois, mais il n'avait pas appliqué. Il avait utilisé simplement les gestes des bagarres. Laurent a secoué la tête : « mais qu'est-ce que c'est, les écoles ? » « Tu n'y comprends rien ? » Margueritte s'est redoutée. Et puis, elle a su qu'il ne feignait pas d'être stupide. Alors, elle a poussé un soupir et a commencé : « Tu ne sais pas les six écoles ? » À ces mots, en voyant le reflet de Laurent, elle a repris la parole : « Il y a six écoles d