All Chapters of Légende du Maréchal Dragon: Chapter 181 - Chapter 190

Il ne voulait pas être célèbre, donc il a expliqué à Antoine : « Est-ce que tu sais ? Le Prince Libéral a gardé une rancune sourde contre le Dragon Noir. S'il sait que le propriétaire de la Résidence Impériale est Dragon Noir, il viendra certainement t’empêcher d'y organiser un banquet, ça sera un gros problème. » À ces mots, Antoine a tremblé de peur. Il ne pouvait pas se permettre d'offenser le Prince Libéral.Charles était satisfait de sa réaction et lui a donné une idée : « Tant que tu ne mentionnes pas ce détail, personne ne saura. Tu peux annoncer que la Résidence impériale appartient à un de tes vieux amis d'il y a des années lors de ton anniversaire, c’est aussi un honneur pour la famille Cyr, n'est-ce pas ? » Comme un homme intelligent, Antoine devrait savoir comment choisir.Antoine a tapé sur l'épaule de Charles : « Charles, j'avais raison à ton sujet. C’est la décision la plus sage que j'ai prise dans ma vie d’avoir toi comme le gendre de la famille Cyr. Haha, je ne pensais

Marianne était furieuse et injuriait : « Maudit Charles ! Comment as-tu pu croire ses paroles, grand-père ? Et tu as même le délire d'organiser un banquet d'anniversaire à la Résidence Impériale ? »Antoine a rougi et s'est senti humilié, mais Charles lui avait assuré avec confiance qu'il pourrait fêter son anniversaire à la Résidence Impériale et qu'il pourrait y entrer plus tôt. Il a donc redressé le dos et a dit : « Savez-vous de quoi vous parlez ? Savez-vous qui m'a demandé d'organiser le banquet à la Résidence Impériale ? »« Putain de vieux, va te faire voir ! » Plusieurs agents de sécurité ont commencé à renvoyer les gens.« Qu'est-ce qui ne va pas ? » À ce moment-là, un homme en costume-cravate, portant une femme sexy à son bras, s'est approché.« Directeur. » Ces agents de sécurité se sont penchés en même temps. Cet homme en face d'eux était leur grand patron, le directeur de la Zone des villas Beau Paysage, et il était de la famille Herve, une famille vraiment puissante.« Di

À peine entré, la canne d'Antoine lui est tombée dessus, mais l’a habilement esquivée : « Qu'est-ce que tu as, grand-père, pourquoi es-tu si en colère ? »« Espèce de voyou. » Le visage d'Antoine était bleu de colère, il avait perdu la plus grande face de sa vie parce qu'il avait cru Charles, il avait été battu par quelques gardes de sécurité ! Si la nouvelle se répandait, ce serait plus humiliant que d'être mis à la porte par le général de la région militaire.Luc s'est levé, a pointé le nez de Charles et a injurié : « Espèce de salaud, tu cherches à faire perdre la face à ma famille ? »« Charles, à partir de maintenant, tu n'es plus le gendre de notre famille. »« Sans cœur, tu ne peux rien faire d'autre que d'apporter la honte à la famille Cyr. »Les membres de la famille Cyr ont grondé Charles pour son inutilité, tandis que Charles avait l'air innocent en fronçant les sourcils et en demandant : « Grand-père, qu'est-ce qui ne va pas ? »« Comment oses-tu demander ? » Luc l'a giflé

Tom s'est approché et a donné un coup de pied au visage d'Éric. En tant que police spéciale, son attaque vigoureux a fait rouler le corps d'Éric, mais le dernier n'a pas osé se plaindre et s'est relevé à genoux.Luc se sentait fier de lui et s'approchait d'Élodie avec un air d'amusement non dissimulé sur le visage. Il s'accroupissait, puis soulevait le menton d'Élodie en disant : « Élodie, c'est toi qui m'as craché sur la tête tout à l'heure ? » Élodie tremblait de peur et, avec un regard suppliant, elle a dit : « Luc, Frère Luc, j'ai eu tort, s'il te plaît épargne-moi cette fois. » Luc s'est levé et a crié : « Sécurité ! » Deux gardes de sécurité de la famille Cyr sont venus et ont appelé : « Monsieur, quels sont vos ordres ? » Luc a montré du doigt la foule agenouillée au sol et a dit : « Frappez-les ! » « Oui. » Les deux agents de sécurité de la famille Cyr ont instantanément donné des coups de poing et de pied aux personnes agenouillées.Les gémissements à l'entrée de la villa de

À ce moment-là, une voiture de fonction est arrivée et une grande et belle femme au teint clair, en costume professionnel, en est sortie. C'était Christine, qui avait repris l'entreprise et commencé à faire le point sur les finances et avait trouvé quelques problèmes, elle est donc revenue pour s'en enquérir. Dès qu'elle est sortie de la voiture, elle a vu Charles debout devant la villa de la famille Cyr. Elle s'est un peu figée, puis s'est approchée et a dit : « Grand-père. »En voyant Christine, le visage d'Antoine s'est considérablement détendu et, avec un sourire sur son visage pâle, il a demandé : « Christine, qu'est-ce qui t’amène ici ? »« Grand-père, j'ai trouvé des problèmes lorsque je faisais le tri dans les finances de l'entreprise et je suis revenue pour en parler. »« Viens, allons à l'intérieur. » Antoine était très gentil avec Christine, mais quand il a regardé Charles, il a changé de visage et a grondé : « Tu viens avec moi. C'est juste le temps de régler tes affaires p