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Christine était impuissante, elle n'avait pas d'autre choix que de faire ce qu’ils disaient. Elle ne pouvait que se consoler en se disant que cet argent était un cadeau et qu'elle n’avait pas de la peine.En entendant sa réponse, Hélène s'est calmée. Elle a laissé échapper un doux soupir : « Christine, merci. » Puis elle a regardé Simon et a dit : « Reste à la maison et tu ne va nulle part à partir d'aujourd'hui ! »« Oui, oui, oui. » Simon n'a pas osé refuser.La famille s'est réunie et, après quelques chamailleries, Christine a finalement décidé d’utiliser l'argent pour arranger les choses.« Toc, toc, toc ! » On a frappé à la porte.Hélène a ordonné : « Bay, va ouvrir la porte. »Bay n'osait rien dire et s’est levé.Devant la porte se tenaient un homme et une femme, âgés d'environ vingt-cinq ou vingt-six ans. L'homme était habillé d'un costume et d'une cravate et la femme portait une robe professionnelle.Bay les a regardés et a demandé : « Qui cherchez-vous ? »L'homme a demandé :

La famille Cyr était en crise, mais, quand même, il fallait faire quelque chose.Sans compter l’usure, les cinq cents millions dus à la famille Herve doivent être rendus au plus vite.Christine avait encore cent millions sur le compte de son entreprise et sa villa donnée par le Dragon Noir valait plus de trois cents millions, si elle la vendait à bas prix, elle obtiendrait trois cents millions.Il lui manquait encore cent millions d’euros. Où pourrait-elle trouver cent millions ? Elle marchait sans but et avant de s'en rendre compte, elle était au Groupe Ducasse. Elle voulait trouver le mystérieux Monsieur Ducasse, Charles, mais la rumeur a couru sur internet qu’il était au Col de la Montagne du ciel du Désert du Sud, où il s’est battu contre les hommes puissants de vingt-huit Royaumes et a été assiégé par cent mille troupes ennemies.Certains disaient qu'il s'en était sorti, d'autres pensaient qu'il était mort au combat. Elle ne savait pas quelle nouvelle était vraie. Il n'y avait

Christine était vraiment à court d'options. Le seul qui pouvait sauver elle et sa famille était Kevin.Aurélie et elle ont attendu à l'hôtel. Kevin est venu rapidement, en environ une demi-heure, il est apparu dans la salle VIP. Il était élégant et gracieux, habillé d'un costume de créateur avec une montre qui valait beaucoup d'argent et d’une gentillesse imprévue.Il est entré et a les a saluées gracieusement : « Bonjour, Christine, Aurélie. »Christine s'est levée et lui a répondu : « Bonjour, Monsieur Vincent. »Aurélie ne s'est pas levée, mais s'est assise et lui a fait un petit sourire, puis a pointé du doigt l'autre côté de la pièce, à côté de Christine, et a dit : « Kevin, assieds-toi »Christine s'est assise.Kevin s'est assis aussi.Ils étaient l'un à côté de l'autre, elle s'est légèrement déplacée pour garder une certaine distance avec lui. Il lui a jeté un coup d'œil, les coins de sa bouche se sont courbés en un léger sourire : « Christine, où est ton mari Charles ? »« Il,

La famille Vincent avait cette intention depuis longtemps. Au fil des ans, les affaires de leur famille étaient toutes propres et ils n'ont jamais été impliqués dans l'industrie illégale.Ils allaient saisir cette opportunité pour soutenir leur propre force fantoche et Mathéo était un bon choix. Les autres membres de la famille Vincent ne pouvaient pas intervenir directement, Kevin était la meilleure personne pour négocier cette affaire.Kevin a légèrement agité la main et a refusé les beautés. Il a regardé Mathéo et lui a dit : « J'ai entendu dire que Simon, le frère de Christine, t’a emprunté huit cents millions ? »« Oui, Monsieur Vincent, qu’est-ce qu’il y a ? La famille Cyr a un problème avec vous ? »Il a hoché la tête et a dit : « Oui, je veux que tu fasses pression sur eux pour que Simon soit arrêté le plus vite possible et que leur famille soit en crise. Laisse-toi aller et fais-le vigoureusement, tant que personne ne se fait tuer, notre famille peut t'aider pour tout. »« Oui

La nation a observé un moment de silence pour rendre hommage au Dragon Noir, le Dieu de la guerre.Alexandre a congédié la presse après l'avoir informée, car il était inapproprié d'exposer ce qui allait suivre.Il est entré dans le Consulat, où étaient réunis les émissaires de négociation des vingt-huit Royaumes.Alors qu'il entrait, plusieurs guerriers sont arrivés en portant Pascal, qui était gravement blessé et ne s'était pas encore réveillé.Sans plus tarder, il s'est exprimé directement : « Vous voulez demander une rançon pour un prisonnier ? Selon la pratique internationale, un million d’euros pour un soldat, dix milliards pour un général et cinq milliards pour un vice-général. Cependant, comme vous avez tué notre commandant, nous exigeons une rançon décuplée. Transférez-nous l'argent immédiatement, ou nous abattrons les prisonniers immédiatement ! » Son ton était tranchant.Les émissaires se sont tous levés en colère.« Impossible ! »« Alexandre, vous allez trop loin ! »« Dans