Lahat ng Kabanata ng Mes trois petits anges gardiens: Kabanata 731 - Kabanata 740

Elsen a pris une inspiration profonde. Avec la présence d’Aubéron, il se sentait mal à l’aise de se déchaîner.« Je ne lui cherche pas de problèmes. »« Alors, pourquoi as-tu emmené ces gardes du corps avec toi ? » a demandé Yves en pointant les hommes musclés du doigt.Puis, il a grondé les gardes du corps : « Qu’est-ce que vous faites ici ? Lâchez prise et ne bougez pas ! »Les gardes du corps ont jeté un coup d’œil gêné à Elsen. Ce dernier a secoué la main d’un air impatient, ensuite, ils se sont reculés sur le côté.Elsen a dit à Yves en fixant un regard mécontent sur lui : « Rentre avec moi maintenant ! »Yves a dit en croisant les bras : « D’accord, mais je dirai à mon grand-père ce que tu as fait dès que je le verrai. »« Tu… »Yves l’a ignoré et est allé à côté d’Aubéron pour lui dire : « Aubéron, prends bien soin de ma mère alors, merci. »Aubéron a hoché la tête.À la porte, il s’est tourné vers Isabelle et lui a dit en secouant la main avec un sourire sur son visage : « Isab

Phillipe plissait les yeux.L’ancien gardien a vu l’accident se produire, il a vu le visage de la victime, soit Aline, mais pas le visage de son agresseuse.Il ne pouvait pas du tout confirmer si c’était Giada qui l’avait agressée.Il a demandé aux gardes du corps de raccompagner l’ancien gardien, puis a dit à Anthony : « Monsieur, Giada n’a pas poussé votre fille des escaliers. À cause d’Aline, elle a renoncé à sa carrière brillante dans le domaine de la musique dont elle était fière. Je trouverai la vraie coupable pour vous, j’espère que vous puissiez donner à Giada une autre chance. »Deux jours après, Anthony a publié une annonce sur Facebook : Giada Robert n’est pas la coupable qui a mis sa fille dans un état critique, elle est innocente. En tant que le père de la victime, son annonce a déclenché un vif débat :« Ça fait déjà dix ans qu’une fille innocente est reconnu coupable ! »« J’ai entendu parler de l’accident qui s’était passé à l’Université de Pélin, je croyais que c’étai

Giada se battait de toutes ses forces, mais les hommes l’ont pressée sur le sol. Elle a mordu fortement la main d’un homme, l’homme était si en colère qu’il l’a violemment giflée. Giada a presque été renversée, quelques mèches de cheveux mouillés étaient collées sur son visage.Quelques boutons de sa veste ont été arrachés, sa chemisière a aussi été déchirée.Elle avait si peur qu’elle s’est mise à pleurer. Léa a sorti son portable pour filmer cette image en ordonnant les hommes : « Enlevez tous ses vêtements ! »Alors qu’un homme voulait enlever sa chemisière, la porte a été ouverte par un coup de pied violent.L’homme qui s’était introduit a renversé l’homme sur elle par un coup de pied et a écarté deux autres hommes près d’elle par des coups de poing.Ne s’attendant pas à cette tournure, Léa avait peur et s’est instinctivement reculée.Philippe a rapidement enlevé sa veste pour envelopper Giada qui tremblait de froid, il l’a prise dans les bras et l’appelée pour réveiller ses espri

Isabelle a dit : « Tata, ne sois pas en colère, les coupables ont déjà été emmenés par la police, et heureusement, Giada et Philippe vont bien. »« Tant mieux, j’avais extrêmement peur », a dit Méline en poussant un soupir de soulagement, « je vais voir comment va Philippe, j’ai entendu parler qu’il est gravement blessé. »Méline s’est dirigée vers le service de Philippe.Albert est venu chercher Isabelle. Sur le chemin du retour, Isabelle fixait les paysages dehors à travers la vitre.Albert a demandé en prenant sa main : « T’inquiètes-tu toujours ? »« Non », a répondu Isabelle en le regardant, « ils ont été sauvés, je n’ai plus besoin de m’inquiéter pour eux. »« Isabelle, sais-tu ce que l’incident de Giada et Phillipe m’a fait penser ? »Isabelle le fixait silencieusement.Il conduisait prudemment en fixant son regard sur l’avant.« J’ai l’impression que la même chose s’est déjà produite entre nous, et j’en suis presque certain », a dit Albert.« Oui, je confirme », a dit Isabelle

Les ressources aux thermes ici étaient meilleures qu’à Brozie. L’île Saint-Jeanne se trouvait au large de l’Atlantique, le climat était agréable même en hiver.Pourtant, il neigeait à Brozie en hiver, parfois les conditions de circulation étaient compliquées par un brouillard assez épais et une chaussée verglacée. Des voyageurs pouvaient apprécier les paysages nuageux d’hiver, mais ils ne voudraient plus y retourner une autre fois à cause des désagréments causés par la neige.Albert a essuyé ses mains avec un mouchoir et a dit en regardant Aubéron : « Je ne savais pas que tu t’intéresses à ce secteur. »Aubéron a baissé les yeux, il a dit en tapotant sur la coupe : « J’aimerais faire ma propre carrière, ma carrière en tant qu’acteur ne correspond pas aux critères de ma famille. »« Ta propre carrière ? » s’est exclamée Isabelle. Voulait-il se séparer de sa famille ?Chez les grandes familles, il était rare qu’on se sépare des affaires familiales. En plus, Aubéron était le fils aîné des