All Chapters of Punie par son amour: Chapter 431 - Chapter 440

Mélanie a ricané secrètement, puis a continué : « Silvana, je ne voulais pas te parler de ça au début, mais cette femme a été abusée par ton fiancé Sébastien, et elle a juste déversé sa colère sur moi.Non seulement elle a secrètement séduit mon fiancé, mais elle a également secrètement séduit Mehdi, notre cousin.J'ai entendu dire qu'elle sortait maintenant avec Rian , le jeune maître de la famille Jun.C’est de ma faute si je n'ai plus l'opportunité de vivre dans la famille Shu, et je ne suis pas célèbre. Je ne peux que regarder cette femme qui séduit tous les hommes de la classe supérieure avec la mine la plus méprisable. Cette femme maudite ! Je ne peux que la regarder séduire mon fiancé sans pourvoir rien faire. »A l'autre bout du fil, Silvana a ri triomphalement : « Mélanie ! Ce que tu as dit est la vérité. Tu n'es en effet pas une femme riche dans la ville du Sud. Si mon grand-père t'a élevée comme sa propre petite-fille pendant tant d'années, c'est parce qu’il a perdu une fill

« A ton Mari, que dirais-tu d'autre à part ça ? » Sébastien était très bizarre. Son ton ressemblait à la fois à un reproche et à un flirt entre mari et femme. Il ne s'était jamais parlé sur un tel ton auparavant. Cécile n'arrivait pas à le comprendre, alors elle a baissé la voix et a dit : « Tu vas me demander pourquoi j’étais avec Tristan aujourd'hui ? » Sébastien lui a demandé : « Veux-tu expliquer ? »Cécile: « Non, je ne veux pas. » Cécile savait qu’il n’écouterait pas l'explication, encore moins y croire. Par le passé, il y a six ans, quand elle s'est occupée de Mme Xia pendant plus de deux mois, il y avait beaucoup de malentendus entre eux.Elle avait essayé de s'expliquer, mais il ne lui avait jamais donné une chance.Alors, elle a cessé d'expliquer plus tard. Sébastien : « Alors n'explique pas. »Cécile : « OK. »Puis elle a demandé : « Puis-je... puis-je aller dans ma chambre ? »Mais Sébastien l'a embrassée et l'a serrée dans ses bras.« Tu... On a fait... hier soi

Allongée dans les bras de Sébastien, Cécile n'osait pas bouger. Elle l'a écouté parler à quelqu'un d'autre au téléphone.« Entendu, je trouverai le temps de l'emmener l'essayer. »« Si vous avez un bon rubis à l'avenir, gardez-le. »« Ses doigts sont très fins. Je vais l'amener pour mesurer. »Pendant toute la communications au téléphone il parlait de « elle ».Qui serait cette « elle » ?Serait-ce Cécile ?Une pensée a traversé son esprit, et elle ne pouvait s'empêcher de rire d'elle-même : « Ce n’est pas possible »Sébastien a posé le téléphone sur la table de chevet. Il a baissé les yeux vers la femme dans ses bras. Les cheveux doux et en désordre de la femme couvraient sa poitrine, rendant son visage si petit qu'il ne pouvait pas le voir clairement.Ses yeux étaient étroitement fermés, ses longs cils scintillaient. Il pouvait dire qu'elle ne dormait pas.Mais elle était si calme.Silencieuse comme si elle était une poupée de porcelaine sans vie. Mais en réalité, sa vitalité était

« Je ne suis pas aussi déraisonnable que toi ! » Après avoir fini de parler, Sébastien a fermé les yeux pour reposer son esprit. Cécile : « ... » Elle a brusquement pincé les lèvres et a souri.Elle n’a pas beaucoup souri.Au moins, Quentin ne l'avait plus vu sourire. Mais son sourire était toujours le même qu'il y avait six ans, si doux, si propre.En fait, c'était toujours la même fille d’il y a six ans, elle avait l'air calme et taciturne, mais était en fait une fille très enthousiaste.« Madame, je vous emmène à la compagnie ? » a demandé Quentin.Cécile a hoché la tête : « Oui, merci Assistant Yan. »« C'est mon devoir, madame. » Quentin a fait demi-tour et s’est dirigé vers l'entreprise de Cécile.Quand elle est arrivée à l'entreprise, il restait encore dix minutes avant le travail.Après être sortie de la voiture, elle a levé les yeux vers le soleil radieux avec un sourire plus éclatant.Tout va bien.Elle n'a pas perdu son emploi.Elle pouvait encore économiser de l'argent.

Cécile et Annie ont tourné la tête et ont vu Valérie qui ne les avait pas vues depuis longtemps. Valérie avait l'air en colère : « Mon beau-cousin est venu te voir dès qu'il est descendu de l'avion sans aucune hésitation. Et maintenant tu cries que tu n’as rien fait de mal. Cécile, dis-moi qui va croire à ça, des fantômes ? » Cécile s'impatientait : « Pourquoi dois-je faire croire des fantômes ? » « C'est vrai ! Pourquoi les fantômes ? » Annie a défendu Cécile. Elle s'est fâchée contre Valérie. Annie avait peur d’elle, mais c'était différent maintenant. Voyant que Cécile n'avait pas du tout peur de Valérie, et qu'elle l’avait faite virer de l'entreprise d'un seul coup, Annie s'est sentie comme si elle se vengeait. Valérie n’était qu’une femme ordinaire qui avait pu travailler dans cette entreprise grâce à l’aide du cousin de sa cousine. Une noble imaginaire ! Elle n'était même pas qualifiée pour être la servante d'une vraie noble dame ! Elle harcelait souvent les gens