La foule s'est dispersée et a quitté l'hôtel.Pascal a cherché un endroit et a fumé une cigarette pour soulager la pression sur son cœur.Cependant, à ce moment précis, une voix familière est apparue non loin derrière lui.« Pascal, pourquoi es-tu ici ? » Pascal a détourné la tête pour regarder et a vu Valérie qui avait un air perplexe, et s'est avancée avec son sac sur l'épaule.L'expression de son visage était teintée d'un léger déplaisir.Tu fumais encore !Pascal s'est empressé d'éteindre sa cigarette et a souri d’un air embarrassé : « Oh, nous avons une fête de la société et nous sommes venus ici pour dîner. » Pascal était un peu paniqué intérieurement, se rappelant l'incident de tout à l'heure où Valérie avait contacté son autre téléphone portable et était un peu inquiet.Il avait peur que son identité soit révélée.Valérie s'est approchée, lui a jeté un regard froid et a dit : « Où est Méline ? » « Une personne de la société s’occupe d’elle, je passerai la prendre plus tard »

« Valérie ! Chérie ! » Pascal a hurlé comme un fou, s'est élancé, a pris Valérie dans ses bras et a appuyé désespérément sur son abdomen : « N'aie pas peur, tout va bien, tout va bien ! » Les lèvres de Valérie ont instantanément pâli et son front était densément couvert de couches de sueur froide.Ça faisait mal !Ces quelques voyons, qui étaient également en train de paniquer à ce moment-là, n'arrivaient pas à réfléchir et s'enfuyaient même en rampant et en roulant.Sur place, c'était le chaos, de nombreuses personnes ont pris des photos et envoyé des vidéos, mais personne n'a appelé.Julien les a pousuivis et est vite revenu, se dépêchant d'appeler : « Hé, l'Arc de Triomphe, quelqu'un est blessé, venez le sauver, vite ! » Pascal n'arrivait pas à réfléchir, a pris Valérie dans ses bras et s'est précipité hors du parking avec frénésie, a arrêté un taxi et a hurlé : « L’Hôpital, va vite à l’hôpital ! » Le chauffeur n'a pas paniqué, il a immédiatement accéléré et s'est dirigé directe

Au Palais Unique.Dans la tempête de pluie, deux gardes du corps avec des parapluies noirs sesont tenus aux côtés de Pascal d'un air sévère.Et sur l'herbe, à genoux ou couchés sur le dos, se trouvaient quatre hommes.Comment n'ont-ils pas pu imaginer que la personne à qui ils avaient donné une leçon ce soir serait quelqu'un qu’il ne fallait pas provoquer ?Ils étaient terrifiés, effrayés.« Qui est Lionel ? » Pascal a demandé d'une voix claire et froide, comme un roi des démons, faisant trembler les gens lorsqu'ils l'entendaient.« C'est Lionel de la rue Grandeur sud, Lionel Qin. » L'un d'eux a frissonné et a dit.Le regard de Pascal était froid.Derrière lui, Fortuné, qui se tenait également sous le parapluie, a soupiré en sortant son téléphone portable et a composé le numéro de Thierry.En attendant.La villa deThierry.Au milieu de la nuit, il a reçu un appel de Lionel, lui disant que quelque chose n'allait pas, d’un air très paniqué.Quand il a ouvert la porte, il a vu Lionel agen

En écoutant Pascal crier, tout le monde se sentaient aussi mal à l'aise que les épines qui leur poussaient sur le corps.Pascal a cessé de parler, et l'atmosphère dans la chambre était lourde.Et à ce moment-là, Julien, qui était sorti, est revenu par hasard et a vu que tout le monde était là, y compris Pascal.« Tu n’as toujours pas honte de venir ici ? » Julien a saisi rageusement le col de Pascal, « Valérie a été blessée à cause de toi, pourquoi es-tu encore venu ? » Julien ne voulait pas voir Pascal, une ordure, qui était ici.S'il n'avait pas fait semblant d’être un magnat, Valérie aurait-elle pu devenir comme ça ?Pascal s’est violemment débarrassé de la main de Julien et l'a regardé fixement, ses yeux s'assombrissant : « Julien, en quoi cela te regarde-t-il ? Valérie est ma femme, sors ! » Devant ses propres beaux-parents, Pascal n'avait pas le choix.Cependant, en face de Julien, il ne pouvait absolument pas être vulnérable.« Tais-toi ! » Gilles a pris la parole à ce moment

« Bien, maintenant tu es suffisamment fort, tu oses même crier contre moi, Pascal, ne viens plus chez moi dès maintenant ! Pas question ! » Gisèle a crié avec les mains posées sur ses hanches et en désignant le dos de Pascal qui partait.« Qu'est-ce que tu fais ? C'est un hôpital, les bruits forts ne sont pas autorisés ! » Une infirmière s'est approchée avec un visage froid et l’a réprimandée.Gisèle était stupéfaite et en colère intérieurement, alors elle a tiré Gilles et a crié, « Gilles, tu as vu aussi que Pascal s'était révolté, il a même osé crier contre moi, à l'avenir, je ne veux plus le revoir dans cette famille. » Gisèle était furieuse, quand est-ce qu'un bon à rien a osé lui parler comme ça ?« D'accord, d'accord, tu devrais arrêter les conneries, as-tu besoin de faire plus de problèmes en ce moment crucial ? » Gilles a dit de manière impuissante.Naturellement, il connaissait clairement le caractère de Gisèle après des décennies.Pascal, un impoli !Au moins c'était ta bel