Lahat ng Kabanata ng Retour vers son ex-femme et ses trois bébés géniaux: Kabanata 1 - Kabanata 10

Mia Simon était enceinte.　　Elle a ramené son rapport à la maison, pleine de joie, et tout le long du chemin, elle pensait à la façon dont elle allait surprendre son mari Raphaël Martin.　　Il était parti en voyage d'affaires depuis plus d'un mois et demi et il rentrerait chez lui demain.　　Dès qu'elle est entrée dans la maison, elle a vu dans le hall d'entrée une paire de chaussures de femme qui ne lui appartenait pas.　　Elle a froncé les sourcils.　　Ces chaussures, elle les reconnaissait, car elles avaient été achetées par sa petite sœur Emma Simon il y a quelque temps.　　Mais Emma n'était-elle pas partie en voyage d'affaires avec Raphaël ?　　Violemment, une voix de femme est venue d'en haut.　　Le son...　　C'était la voix de sa sœur Emma !　　Mia s'est mordu ses lèvres, son corps a tressauté !　　Et qui d'autre que son mari Raphaël pourrait être cet homme ?　　Elle a inconsciemment soulevé ses jambes pour monter les escaliers.　　Plus elle se rapprochait, plus les bruits d'homme et de fem

Tôt le matin, l'intérieur du Groupe des Martins qui était un endroit sérieux et froid.　　Le personnel se tenait soigneusement en rang, attendant respectueusement l'arrivée de leur patron.　　Quand l'horloge a sonné huit heures, une limousine de luxe s'est arrêtée à la porte.　　L'homme à l'allure de majordome est descendu du côté passager et il a ouvert la porte du siège arrière.　　De longues jambes enveloppées dans un pantalon de costume noir ont piétiné le sol tandis que Raphaël est sorti indifféremment de cette voiture.　　Il était froid et solitaire, son aura était si puissante et oppressante qu'elle coupait le souffle.　　L'homme regardait droit devant lui et il a franchi les étapes.　　 « Papa- ! »　　Une voix enfantine a brisé l'atmosphère.　　La foule a hâtivement levé les yeux pour regarder.　　Une petite fille, surgie de nulle part, montait maladroitement les marches.　　Elle portait une robe de princesse rose, et bien qu’elle n’ait pas montré son visage, elle avait le même air de nob

Raphaël a froncé les sourcils et accompagné Maëlys vers la porte : « Arthur, emmène-la au dessert. »　　En fermant la porte, il a levé la jambe et est entré dans la salle de bain.　　Même s’il avait dit qu’elle pouvait choisir elle-même sa servante, elle était après tout une petite fille, et son jugement sur les gens n'était pas aussi fin que celui des adultes.　　Raphaël, inquiété, était retourné à la villa pour vérifier.　　Dans la salle de bain, Mia s'est retournée dès qu'elle a rangé le lavabo et a vu qu'il n'y avait que des serviettes blanches sur le porte-serviettes, alors elle s'est retournée pour ouvrir le casier et elle y a pris les serviettes roses et les a accrochées.　　Maëlys aimait le rose.　　La salle de bain était brumeuse, et cette femme mince y travaillait de manière experte.　　Sa silhouette, son mouvement, lui ont fait croire un instant qu'il rêvait.　　 « Mia... »　　L'homme n'a pu s'empêcher de dire le nom.　　Son corps a tremblé !　　Au bout d'un moment, elle a tourné la tê

Mia a ri : « M. Martin, vous vous moquez de moi ? Vous êtes sûr de vouloir engager une femme comme moi qui complote contre vous, qui copie même le nom de votre ex-femme ? ».　　Raphaël savait qu’elle était sarcastique par rapport à la façon dont il l'avait traitée auparavant.　　Il a légèrement plissé les yeux.　　Si Maëlys ne venait pas d’arriver et qu'il n'arrivait pas à saisir son caractère, il n'aurait pas baissé la garde et ne serait pas venu ici pour trouver cette femme à l'esprit mal tourné.　　Quand il était arrivé, il avait déjà lu son profil.　　Une femme qui était revenue de l'étranger, n’avait pas de souci pour la nourriture et les vêtements. Depuis son arrivée, elle a déposé un CV pour travailler comme servante dans la villa de Paloma ?　　Qu'est-ce que c'était, sinon un complot contre lui, contre le Groupe des Martins ?　　 « Oh là là ! »　　Alors qu’ils s'immobilisaient devant la porte, l'occupant de l'autre côté du couloir a poussé un cri de surprise : « Voici ... M. Martin !? 

« C'est elle qui m'a frappée. »　　Emma a aplati ses lèvres : « Elle a dit que Maëlys l'avait offensée dès qu'elle est entrée et elle l’a giflé si fort que je n’ai même pas pu l'arrêter. »　　Lorsqu'elle a terminé, elle a même fait une grimace de tristesse et elle s'est agenouillée pour toucher son visage: « Ça fait mal, non ? »　　Elle lui a lancé un regard hostile, a repoussé sa main, elle s'est dégagée des bras de Raphaël et puis elle a trotté jusqu'aux côtés de Mia, accrochant sa petite main autour de ses doigts: « Ça va ? »　　Mia a redressé sa colonne vertébrale qui était à vif à cause du coup de pied : « Je vais bien. »　　Le coup de pied d'Emma avait été donné avec toute sa force, elle avait de vieilles blessures dues à un accident de voiture il y a cinq ans et le coup de pied qu'elle venait de recevoir l'avait presque rendue incapable de se lever à cause de la douleur.　　Maëlys le savait aussi, et elle a tiré anxieusement sur ses doigts, l'installant sur le côté du canapé : « Ça fa