Semua Bab Je suis un milliardaire: Bab 261 - Bab 270

À onze heures du matin, devant la porte de l'Université de Savoy. Trois jeunes femmes attendaient devant la porte, en même temps, elles promenaient leurs yeux de temps en temps autour d'elles avec impatience. « Joceline, qu'est-ce qui se passe ? Avez-vous déjà fixé de vous rencontrer devant la porte ? Pourquoi Henri n'est-il pas encore venu ? » « Oui, Joceline, j'ai pensé qu'il nous amènera en voiture, mais nous l'attentons depuis très longtemps ici, pourquoi Henri n'est-il pas venu ? » Deux jeunes femmes ont demandé à l'autre femme, Joceline Hamon, avec impatience. À vrai dire, toutes ces trois femmes étaient vraiment jolies, surtout Joceline, elle était à la fois élégante et charmante. « Susie, sois patiente. Henri est en train de faire du commerce, n'est-ce pas ? Il a ouvert beaucoup de magasins, probablement, il est trop occupé aujourd'hui. Je lui ai téléphoné, et il a dit qu'il sera disponible tout à l'heure et qu'il pourra nous accompagner toute la journée

« Tiens, tiens, tiens, pourquoi êtes-vous aussi venus ici ? Voulez-vous aussi prendre le déjeuner dans la ferme des Maire ? Oh là là, il y a encore trois femmes. » En effet, Isabelle a tout à fait changé. Elle portait toujours des vêtements de luxe, en plus, une fois devenue la sœur de Jacques, elle était de plus en plus orgueilleuse. Annie avait dit qu'elle ne voulait que rivaliser avec Julie à ce moment-là, car elle méprisait toutes les autres personnes, en pensant que les autres ne faisaient jamais le même poids qu'elle. En un mot, à ce moment-là, Isabelle était vraiment arrogante, car elle avait un bon frère qui lui avait acheté des vêtements et des sacs. Ayant entendu ses questions, Henri a mis ses mains dans la poche avec inquiétude, car il était vraiment familier avec elle, et elle savait tout. À ce moment-là, il était vraiment embarrassé et gêné. « Nous sommes aussi venus pour prendre le déjeuner, alors, nous montons au deuxième étage, bon appétit ! » Charley ne

« Mon Dieu, Frank, tu as été battu par les autres ? Pourquoi t'ont-ils frappé ? Ton visage est enflé maintenant ! » En voyant la venue de ces deux hommes, Michel a demandé avec inquiétude. En effet, ses deux cousins n'avaient pas osé se vanter à l'Université de Savoy auparavant, mais à ce moment-là, Michel et Jacques étaient venus dans l'Université de Savoy, et ils y étaient déjà devenus célèbres, en revanche, ses deux cousins avaient été battus par les autres. À ce moment-là, Michel se sentait humilié. En même temps, en voyant ces deux jeunes hommes, Henri et Louis ont baissé la tête à cause de la peur. À vrai dire, ils les avaient battus sans réfléchir, mais à ce moment-là, après avoir repris du sang-froid, ils avaient peur car Michel était un subordonné de Jacques, en plus, ils ne pouvaient pas l’offenser. « Comment faire ? » Henri a murmuré. « Michel, en effet, nous avons rencontré trois belles filles, et nous voulions les courtiser, mais nous avons été violemme

« Julia, ce sont eux qui ont battu mes cousins. » À ce moment-là, Michel a dit avec un sourire d'amertume. Tout d'un coup, Julia lui a donné une gifle avec colère : « Michel, ne fais plus de bêtises dans la ferme des Maire, pourquoi es-tu si stupide ? Oses-tu offenser Monsieur Renault ? » Ayant reçu une gifle, il est devenu muet à cause de la peur. En effet, il n'était pas du tout stupide, et il pensait qu’Henri était sans aucun doute un noble au lieu d'être pauvre comme ce qu'Isabelle avait décrit, sinon, Julia, toujours orgueilleuse, ne pourrait jamais le respecter d'une manière aussi gentille. Alors, il a baissé la tête avec peur. « Mon Dieu, Michel a-t-il été giflé par elle ? » Susie, près de Joceline, était aussi surprise. Elle était tout à fait excitée en voyant les gestes arrogants de Julia, et elle voulait aussi faire connaissance avec un noble comme Monsieur Marchand, en plus, elle pouvait gifler les personnes détestables. « Va-t'en tout de suite, sinon

À ce moment-là, le chauffeur a dit tout en souriant : « En effet, mademoiselle, tous les gens qui fréquentent la Rue commerciale de Savoy ne sont pas fidèles, vous savez pourquoi ? À vrai dire, les gens qui cette Rue sont vraiment riches ! » « Tais-toi, suis cette voiture maintenant ! » La jeune femme a hurlé d'un ton froid. Alors, le chauffeur est devenu muet et suivait le taxi de Charley avec attention. En effet, cette jeune femme était justement Isabelle, elle voulait le suivre parce que quand elle avait quitté la ferme des Maire avec Michel, ce dernier, ayant reçu une gifle et ayant offensé Julia, était vraiment humiliée et fâchée. Même son cousin avait été battu par Charley. Ainsi, Michel se sentait vraiment éhonté, car il avait perdu la face devant tout le monde. En un mot, il n'était plus du tout à l'aise. Ensuite, il avait donné tout le tort à Isabelle, si elle ne l'avait pas poussé en disant qu’Henri était seulement un homme pauvre, Michel n'aurait jamais é