All Chapters of Je suis un milliardaire: Chapter 331 - Chapter 340

En effet, dans la Base des Urgences, il y avait non seulement des forces militaires, mais aussi des équipes médicales et un département des informations. En fait, auparavant, Charley ne voyait cela que dans les films. Alors, après l'avoir su, il savait bien que désormais, il devait apprendre à contrôler tout cela. « Je dois faire des efforts. » Il pensait. Ensuite, tout le monde est rentré dans la chambre, et il voulait aussi se reposer. Soudain, il s'est souvenu qu'il avait encore une chose à faire, puis, il a ricané et est entré dans une petite chambre. « Putain, ne bouge pas ! Sinon, je te donnerai des leçons ! Pourquoi tu m'as mordu ? » À peine qu'il s'était approché de la porte, il a entendu les cris des agents de sécurité. « Laisse-moi sortir, bâtard, sinon, quand William sera là, vous serez tous morts ! » À ce moment-là, Élissa a hurlé. « William ? Je n'ai pas peur de lui du tout. En effet, tu as offensé Monsieur Marchand, au diable ! » Un agent de sécuri

« Patricia, tu vas bien ? Comment as-tu tortu ton tendon ? » Juste à ce moment-là, la porte s’est ouverte, quelques jeunes femmes à la fois grandes et charmantes sont entrées. Elles étaient toutes jolies, et elles étaient beaucoup plus belles que les vedettes. Elles semblaient être ses amies, car auparavant, elle leur avait envoyé des messages pour leur prévenir qu'elle était à la clinique. « J'ai tortu mon tendon, ensuite, c'est Charley qui m'a amenée ici. » Elle le regardait et a dit en souriant. « Mon Dieu, Patricia, tu as de la chance ! Alors, nous devons remercier ce jeune homme qui t'a sauvé. » Les autres jeunes femmes se sont tournées vers Charley en souriant, ensuite, elles étaient un peu déçues car ses vêtements étaient très médiocres, plus précisément, il était comme un mendiant. Mais il était à la fois beau et gentil, en plus, il semblait naïf et timide. En effet, comme elles ne le connaissaient pas, elles étaient amicales envers lui. « Hé ! C'est justeme

Charley est resté tranquille. Il a pris le bracelet dans la main et le toisait, ensuite, il a dit d'un ton froid : « Madame, pourriez-vous me donner une petite boîte ? Je vais l'acheter. » « Ah bon ? Êtes-vous certain ? Une Panthère de Cartier coûte plus de cinquante mille euros ! Pouvez-vous offrir à ce prix ? » La réceptionniste avait un air sombre. « Donne-moi une boîte, et ne fais plus de tiennes. » Il a demandé avec colère. Alors, elle a mis le bracelet dans une petite boîte. Ensuite, Charley a sorti sa carte bancaire, mais tout d'un coup, il s'est souvenu que sa carte bancaire devait payer plus de deux cent mille euros chaque fois. « Mon Dieu, pourquoi Cartier est-il devenu tellement médiocre ? Pourquoi même les mendiants et les vagabonds peuvent-ils aussi entrer ? Tu dois recevoir les consommateurs riches et nobles ! » Juste à ce moment-là, un homme d'un certain âge et une femme d'une trentaine d'années sont entrés, ayant vu Charley debout devant le rayon, il a r

« Halte-là, jeune homme, tu ne dois jamais te battre avec une femme même si tu ne l'aimes plus. Si tu veux lui donner des leçons, tu feras des efforts et tu feras fortune, ensuite, elle aura des regrets, n'est-ce pas ? » Un homme riche d'un certain âge, portant des vêtements de luxe, a critiqué Marc. À cet instant, il a repris son sang-froid, mais il a encore serré ses poings avec irritation. « Oui, pourquoi tu ne fais jamais d’efforts ? Mais ce n'est pas possible, parce que tu es toujours paresseux. Bâtard, aujourd'hui, tu seras mort car tu m'as battue ! » Lavande, assise par terre, a hurlé. « Jeune femme, ne dis pas cela. Ne sois plus aussi vaniteuse, en effet, les hommes riches sont toujours infidèles, n'as-tu pas peur de tomber dans un piège ? Si tu veux quitter ton copain, tu devras expliquer avec patience, pourquoi as-tu dit cela ? » L'homme riche l'a aussi critiquée. À ce moment-là, elle a couvert son visage et pleurait sans rien dire, car cet homme était un gran

Empêché par le jeune directeur, André s'est enfin calmé, puis, quelques personnes ont accompagné Marc à l'hôpital. « Mon Dieu, Charley, pourquoi es-tu ici ? » À ce moment-là, Hélène a aperçu Charley, qui était près d'eux. « Hélène, ne parle plus de lui. C'est à cause de ce bon à rien que j'ai cassé la Panthère de Cartier qui coûte cinquante mille euros et le LOVE qui coûte deux cent dix mille euros, il est un porte-malheur. » Lavande a dit avec mépris. « Ah bon ? Plus de deux cents mille euros ! » À ce moment-là, André était aussi bouche bée. En fait, au téléphone, elle avait seulement dit qu'elle avait rencontré de problèmes chez Cartier, mais elle n'avait pas précisé les détails. Alors, il était un peu stupéfait. À cet instant, Hélène avait l’air stressé et a directement fait des insultes à Charley : « Bon à rien, es-tu fou ? Pourquoi tu te mêles des affaires de Lavande ? Pourquoi aimes-tu faire des tiennes ? Es-tu un idiot ? Comment faire maintenant ? Peux-tu indemni