Todos os capítulos de La Temple d'Uranus: Capítulo 181 - Capítulo 190

Cependant, ce n'était pas une plaisanterie. Otto était très sérieux.  Il n'y avait pas de frontières et âge pour apprendre.  Ce docteur en médecine chinoise de plus de soixante ans, le chef au milieu de la médecine traditionnelle chinoise du pays de Trésor, il était vraiment impressionné par Théo à ce moment-là.  Sans dire que Théo a guéri Béryl de sa cirrhose, son traitement avec les aiguilles Magpie suffisait à faire s'agenouiller Otto et à faire vénérer Théo comme son professeur.  Alors que Théo l'a directement rejeté.  « Je n'ai ni temps ni énergie pour t'apprendre », a expliqué Théo.  À ces mots, il a pris Capucine à sept feuilles et est parti sans aucune hésitation.  Laissant Otto sur le côté avec un regard hébété, comme s'il n'y attendait pas.  Il faisait presque minuit à cette heure-là, Théo a conduit la voiture et est retourné à la ville Leroy sans s'arrêter.  Il n'était pas rentré chez lui, mais a appelé directement Louis Durand et s'est rendu à la Pharmacie Centmédi

Hélène a fait un pas en arrière, un soupçon de frayeur est finalement apparu sur son visage.  Ses poils se sont dressés de peur, il lui semblait aller tomber à l'enfer.  « Stephan ! » Hélène a crié.   Avant que Théo ne la touche, elle a hurlé de frayeur.  D'un coup, un homme est apparu devant elle comme un éclair, criant à Théo : « Tu comptes faire quoi ? »  Tant qu'il est entré, Peter et Adelin l'ont aperçu.  Adelin qui avait jeté des gardes du corps par terre a froncé ses sourcils. En le voyant, il allait lui donner un coup de poing.  Néanmoins, Stéphan s'est facilement échappé.  En revanche, c'était Stéphan qui lui a donné un coup de poing avec puissance.  Pan !  Ce coup de poing est juste tombé sur sa poitrine.   Adelin sentait une douleur aïgue, il est tombé par terre. Comme s'il était frappé par un gros marteau.   « Adelin ! » Peter a crié.  Il était stupéfait, puis il envisageait donner un coup de poing à Stéphan pour venger Adelin.  Mais Stéphan s'est de nouveau é

Dans le chef-lieu, la famille Tessier. Lorsque François Tessier a appris la nouvelle que sa fille avait été tuée, il s'est enfermé dans le bureau pendant plusieurs heures, endeuillé par la mort de sa fille préférée. Hélène l'a quitté à jamais.  Le plus grand chagrin de la vie n'était rien d'autre que cela.  Durant près de cinq heures, le bureau de François a été verrouillé et personne ne savait ce qu'il faisait à l'intérieur. Personne n'a osé y entrer et le déranger.  Il avait deux fils et une fille. Mais il n'était pas le même que les autres générations plus âgées qui préféraient les fils. Sa fille Hélène était son joyau préféré.  François la choyait depuis toujours, même si elle avait persisté à se marier avec Dominique Oger dans la ville Leroy auparavant, il ne l'avait pas arrêtée.  Plus tard, Hélène et Dominique ont divorcé et elle est retournée dans le chef-lieu, lui, François n'a rien dit non plus. Il respectait toujours les idées de sa fille.  Et maintenant, sa précieuse

Dans la soirée de ce jour-là, Luc s'est rendu à la ville Leroy avec Ethan.  Ethan avait la quarantaine cette année, avec une cicatrice écarlate sur le front, qui avait l'air très terrifiante.  Bien qu'il soit maintenant d'un âge moyen, mais comme d'habitude, il avait toujours aimé porter cette chemise verte, qui avait l'air d'être autoritaire.  « C'est juste une personne de rien, laisse-moi y aller et le tuer, pourquoi il faut agir comme ça ? » Ethan a demandé.  Sa voix était basse et pleine de forces.  Luc a répondu : « Tonton, vous ne savez pas que Théo était très fort, et il était aussi à l'étranger auparavant, et il y a quelques jours à peine, il a tué un groupe de mercenaires de l'étranger. »  Ethan a haussé les sourcils en disant : « Alors, tu veux dire que je ne serai pas l'adversaire de Théo ? »   Luc s'est rendu compte qu'il avait dit quelque chose de mal et il a respiré à pleins poumons.  Bien que Luc soit le jeune maître de la famille Tessier, mais devant Ethan, il a

Dans son Club de divertissement, Luc était déjà un peu ivre.  Venant à la ville Leroy, Léon lui a accordé un traitement semblable à celui de l'empereur, dont il était très satisfait.  À ce moment - là, il était entouré d'un grand groupe de belles femmes pour trinquer.  Luc a pris l'une des beautés dans ses bras et a commencé à la toucher.  À côté, Ethan se tenait tout droit comme un militaire.  On ne savait pourquoi non plus, peut-être qu'il était plus âgé, il ne s'y adaptait plus très bien.  Au début, il y avait des femmes qui ont pris l'initiative de lui parler, mais en voyant son apparence froide, ces beautés se sont éloignées de lui l'un après l'autre.  Enfin, toutes les beautés entouraient Luc.  Et Ethan était seul là-bas en se tenant.  « Tonton, n’aimez-vous pas beaucoup ici ? »   « Vous aimeriez d’abord vous reposer à l’hôtel ? » Luc a demandé.  Luc craignait qu'il n'aime pas rester ici, car il lui a demandé gentiment.  Cependant, Ethan, tenant un verre à vin dans sa