บททั้งหมดของ Madame Verne en ses chemins de triomphes: บทที่ 241 - บทที่ 250

Molly est descendue de l’hélicoptère. Elle regardait cette terre désertifiée, prise de nostalgie. Le vieux Doré a été hissé à l’extérieur par les soldats. Molly s’est tournée vers Didier. Didier a immédiatement compris son intention et lui a fait un signe de tête en souriant.Devant le regard incrédule des soldats, Molly s’est retournée et s’est dirigée vers la hutte délabrée qui n’était pas loin. Il ne s’est rien passé en chemin, elle y a atteint saine et sauve.Les soldats se sont regardés les uns les autres, puis ils se sont retournés vers Didier : « Docteur, comment… » Même Didier ne pouvait éviter le déclenchement du système de sécurité par satellite, mais rien ne s’est passé lorsque Molly était passée. Pourquoi ? Didier leur a jeté un coup d’œil, les quatre devaient découvrir quelque chose, ils refusaient tout simplement d’y croire. « Qu’est-ce que vous faites là ? Apportez le patient. »Didier avançait et ne signalait aucun danger. Il savait que Molly avait déjà désactivé

Les deux autres ne s’intéressaient pas aux forces spéciales. Arthur a tapoté Simone sur la tête, qui lui a inspiré la pitié. Il lui a dit : « Mon frère, avec ton cerveau, tu as peu de chances de devenir un membre des forces spéciales. »Simone regardait Arthur, un peu vexé. « Pourquoi tu dis ça ? » François a soupiré lui aussi. « Notre petite sœur est capable d’appeler les forces spéciales pour sauver grand-père. Et pour toi, il y a encore du chemin à faire. »À ces mots, Simone s’est ralenti. « En effet, comment elle a fait pour que les forces spéciales, qui ont plein de médailles sur la poitrine, l’obéissent ? Elle est vraiment mon idole ! » « Mais Molly n’a que dix-huit ans, et elle a grandi à la campagne. Comment a-t-elle pu connaître ces gens-là ? » Voyant qu’il commençait à réfléchir à cette question qui les a tracassés, François et Arthur ont souri.« Allez, c’est normal que personne ne trouve la réponse. » Simone n’a su que ricaner tous les jours, s’ils ne lui donnaient pa

Dès qu'elle est descendue de la voiture, Léa s’est dirigée à toute vitesse vers le bureau du principal, comme si elle craignait que Clément ne s'enfuie. Son rythme effréné mis à part, même son sourire habituel était quelque peu atténué. Ses camarades de classe la regardaient, mais Léa n'avait pas le temps de se préoccuper de son image habituelle. Elle a appuyé frénétiquement sur le bouton de l'ascenseur, comme si elle allait être condamnée si elle arrivait une seconde trop tard. Après avoir atteint le dernier étage, Léa a pris une profonde inspiration et trié ses cheveux quelque peu désordonnés avant de se diriger vers le bureau du directeur. Cependant, avant d'avoir fait quelques pas, elle a vu deux personnes qui montaient la garde près de l'escalier et une autre qui se tenait près de la porte du bureau du directeur, droite comme un pin. Léa les regardait d'un air hébété et s'est arrêtée. Elle a dit alors au garde du corps à l'allure robuste, en souriant : « Bonjour, puis-je entr

Il a jeté un regard subtil à Léa en l’appelant : « Léa. » Léa s’est tournée vers Clément. Pour une raison inconnue, elle a détecté un danger même s’il avait l’air doux. Sous le regard de Clément, elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Clément a rapidement changé son expression, il a baissé la tête et a donné à Léa une boîte sortie de nulle part. Il lui a dit d’un ton doux : « C'est un cadeau pour toi, je l’ai obtenu à Nottingham ». Il était souriant, mais sa voix était faible. « Garde-le bien. »Léa a reçu le cadeau avec enthousiasme. Clément lui avait offert de nombreux cadeaux précieux. Celui-ci ne ferait pas d'exception. Après tout, avec sa fortune, Clément ne sourcillerait pas lorsqu'il achetait des choses que Léa considérait comme précieuses.Même si elle savait que le cadeau serait extraordinaire, Léa restait stupéfaite quand elle a ouvert la boîte. Elle s’est émerveillée par ce magnifique diamant clair. Son esprit a été attiré par le diamant et n’a plus prêté d’attention

Pensant qu’elle réglerait tôt ou tard ses comptes avec Molly, Chloé s’est sentie beaucoup mieux. Ils sont rentrés à l’hôtel pour se reposer, mais le réceptionniste les a informés que leurs cartes clés avaient été désactivées. Un peu plus tard, on a sorti leurs affaires de la chambre et les a posées dans le hall d’entrée. Le visage de Chloé était rouge de colère. Elle a crié, « Est-ce que c’est votre directeur qui vous a demandé de faire ça ? Je vous dis que je connais monsieur Gabriel… » Elle n’a pas encore fini, le réceptionniste l’a interrompue sans ménagement, il lui a dit poliment : « Ce n’est pas l’intention de l’hôtel, madame. Monsieur Dupont a déjà fait le check-out et est parti. Heureusement, vous êtes revenue aujourd’hui. Sinon, vos affaires seront jetées s’ils ne sont pas réclamés dans 24 heures. »Chloé était à la fois en colère et choquée lorsqu’elle a entendu le réceptionniste. « C’est absurde ! Nous allons filmer ici ! Pourquoi monsieur Dupont a-t-il fait le check-ou