Lahat ng Kabanata ng Après mon divorce, la richesse !: Kabanata 221 - Kabanata 230

« Mesdames et Messieurs, votre plateau de fruits est arrivé… »En disant cela, la serveuse s’est approchée rapidement d’eux et a déposé le plateau de fruits sur la table.Personne n’avait fait attention à elle.Après que la serveuse est sortie, elle a fermé la porte de la salle à clé.Puis Louise a enlevé la clé de la serrure, son regard s’assombrissait. « Léa, puisque tu ne veux pas que je vive bien.Alors qu’aucun de vous ne vive. »Louise avait réussi à trouver de l’essence. Et a directement versé devant la porte de la salle, et a même asperger le couloir du karaoké.Après avoir versé tout cela, elle a pris un briquet et l’a lancé sans hésiter.En un instant.Des flammes se sont élevées, et se sont rapidement propagées.Louise a éclaté de rire.« Léa, oh Léa, aujourd’hui est la date de ta mort ! »« Ah… Au feu… Au feu… », les personnels dans le couloir ont été les premiers à remarquer l’incendie, et ils ont directement déclenché l’alarme.En un instant. Il y avait plein de cris e

Le regard d’Arthur s’est assombri lorsqu’il a dit : « Léa, tu as fait peur à tout le monde cette fois-ci. »« Surtout à grand-père, ça fait trois jours qu’il n’a pas fermé l’œil. »Léa a regardé vers son grand-père avec une culpabilité en disant : « Grand-père, je suis désolée— »Baptiste a pris sa main en disant : « Mon enfant, tu n’as pas à t’excuser auprès de ton grand-père ! Tu as traversé une si grande épreuve, ton corps a subi de gros dommages. Heureusement qu’il y avait le garçon de la famille Vincent qui était là, il t’a sauvée avant de se sauver lui-même… »En parlant d’Enzo. Léa a regardé autour d’elle, mais n’a pas vu sa silhouette. Elle a donc demandé : « Grand-père, Enzo, il est où ? » Jean et Arthur qui se trouvaient derrière se sont regardés mutuellement, puis Arthur a dit : « Ne t’en fais pas, il va bien ! C’est juste qu’il a des brûlures au bras et au dos. Il est dans la chambre juste à côté, ta marraine veille sur lui. »Léa ne pouvait plus rester allonger. Elle s’

Après ses cris d’effrois. Louise s’est évanouie. En dehors de la chambre, les caméras de surveillance avaient tout filmé. Jean s’est exclamé, d’un air moqueur il a dit : « Ce serpent n’est même pas venimeux, et elle est effrayée à ce point. »Grégory remuait le couteau dans la plaie en disant : « Toutes les filles ont peur des serpents, même les simples serpents non venimeux. Mais c’est seulement un début aujourd’hui. »« Chaque jour à partir d’aujourd’hui, on mettra un serpent. On verra sa limite ! »« Elle ose toucher à la princesse de la famille Leroy, si on ne la rend pas folle, cela ne fera pas justice à ce qu’elle a fait à Léa. »« … »Jean a eu des frissons. « D’accord, suivons le plan alors. », a-t-il dit. Léa ne se souciait pas de ce qui allait se passer pour Louise. Après l’avoir confié à ses deux frères. Elle n’avait rien demandé de plus, et est retournée à l’hôpital pour rester auprès d’Enzo. En fait. La situation d’Enzo n’était pas catastrophique. Mais sous l’org

Arthur, en entendant Léa dire cela, a finalement accepté qu’elle quitte la Finlande. De retour à Océville, la première chose que Léa a fait est d’aller rendre visite au professeur Dubois. À l’université d’Océville, dans le bureau du professeur Dubois.À ce moment-là, le professeur était en train d’observer avec les étudiants, les œuvres de Léa durant ce défilé. « … Monsieur Dubois, si le défilé de cette fois-ci a été aussi réussi, cela a un grand lien avec la pièce phare. », a dit Corentin Moulin, un étudiant du professeur. Le professeur était d’accord avec ce point de vue. « Oui, ce design a vraiment été remarquable. Notre département a déjà reçu plusieurs invitations de grands défilés à l’étranger. », a dit le professeur Dubois. « Vraiment ? Monsieur ! Est-ce que cela signifie que nous aurons la chance d’assister à des défilés à l’étranger ? », a demandé un autre étudiant avec des yeux brillants. « Bien sûr ! Mais cette chance est vraiment difficile à obtenir. », a répondu le p

Léa a souri. « Je vous suis Maître, je n’ai pas d’objection. », a-t-elle dit. Ainsi, tout le monde a aidé à la préparation, et rapidement, quelqu’un a apporté une tasse de thé à Léa. Léa a pris la tasse, s’est dirigée vers le professeur Dubois, et s’est agenouillée en disant : « Maître, je vous prie d’accepter le salut de l’élève ! »Le professeur Dubois a pris la tasse, puis a sorti une grosse enveloppe rouge de sa poche. « Mon enfant, relève-toi donc ! », a dit le professeur. « Merci Maître ! », a répondu Léa. Après la cérémonie d’adoption, le professeur Dubois était tellement heureux qu’il voulait montrer son élève à tout le monde !Il n’est pas non plus resté sans rien faire. Il a pris son téléphone portable et a envoyé des messages à plusieurs maîtres bien connus dans le cercle.On aurait dit qu’il l’annonçait à la terre entière. ……En sortant de l’Université d’Océville, Léa a vu une silhouette non loin de là. Avant même qu’elle ne s’approche, Gabriel l’avait déjà repérée.