Semua Bab Après Avoir Perdu la Mémoire, Elle a Quitté Son Mari Méprisable: Bab 101 - Bab 110

Au restaurant MONA, au deuxième étage, Anne était assise à sa table. Elle était venue à l'adresse et à l'heure données par Laura, et bien sûr, elle avait également demandé les préférences de l'homme qu'elle allait rencontrer. L'homme venait de la ville H et n'avait jamais vu Laura en personne. Donc, sa mission aujourd'hui était de saboter ce rendez-vous arrangé. Cependant, elle ne devait pas être trop directe, car cela serait manqué de respect envers l'autre personne. Elle devait simplement utiliser des détails pour que l'homme éprouve du dégoût envers elle, de manière subtile, afin que les parents de Laura n'aient aucune raison de se plaindre. Anne avait utilisé un maquillage qui vieillissait son apparence. Ses compétences en maquillage étaient excellentes et même un maquillage spécial ne pourrait pas révéler de failles. Si elle voulait se rendre laide, elle n'avait pas besoin d'utiliser des fards à paupières vifs et voyants. Elle se contentait d'accentuer les rides sur son visage

En voyant Louis, Anne a soudainement ressenti une certaine gêne inexplicable, elle a serré les mains et a envoyé un regard à Louis pour lui faire un signe de partir. « Monsieur, vous vous êtes trompé, je ne suis pas Anne, je m'appelle Laura », a-t-elle expliquéLes yeux sombres de Louis ont légèrement scintillé, il a continué : « Quand Madame Anne t’es-tu fait tatouer ? Ça a l'air très bien. »Anne s'est mordu ses lèvres, Louis n'était-il pas intelligent ? Pourquoi était-il si stupide maintenant ? N'avait-il pas remarqué le regard qu'elle lui avait lancé ? Elle voulait qu'il s'en aille tout de suite !François regardait Louis, il ne s'attendait pas à ce que Louis vienne la dévoiler.Il a légèrement souri : « Louis, tu tombes bien ! J’aie prévu de te chercher plus tard. » Les sourcils d'Anne se sont froncés brusquement : « Merde, vous vous connaissez ? »« Mademoiselle Laura, Louis et moi sommes comme des frères », a lancé François en souriant avec un soupçon de malice « Mais comment

Anne et Madame Pauline sont restées là un moment, se sentant heureuses dans leurs cœurs. Bien qu'elle ait perdu les souvenirs des deux dernières années, Anne était persuadée que Madame Pauline avait dû être très gentille avec elle par le sentiment d'affection inexplicable qu'elle ressentait. Les sujets de conversation fréquemment abordés pendant leur discussion étaient des trivialités familiales. À 10h30 du matin, des bruits de pas se sont fait entendre sur l'escalier en colimaçon. Anne était assise sur le canapé, face à l'escalier en colimaçon, elle a levé les yeux et a aperçu que Madame Marie descendait. « Anne ? Qu'est-ce que tu fais ici ? », a dit Madame Marie d'un ton agacé. Puisqu'elle était impolie, Anne a décidé de l'ignorer et est restée assise là. Ne recevant pas de réponse, Madame Marie la fixait immédiatement avec un regard méprisant : « Toujours aussi détestable, heureusement que Louis ... » Mais Madame Pauline lui a lancé un regard froid : « Anne est mon invitée, es

Dans le salon, chaque fois que des affaires officielles étaient mentionnées, les paroles d'Anne devenaient plus nombreuses.À travers ses paroles, Louis pouvait entrevoir la véritable personnalité d'Anne, très différente de celle d'avant.Ils discutaient de la planification future du district de l'ouest , Louis gardant un visage impassible et lui demandant occasionnellement son avis. Et Anne a répondu à chacune de ses questions, rapprochant ainsi les deux personnes. Louis regardait fixement Anne et pour la première fois, il sentait que leurs idées étaient parfaitement assorties. De nombreuses idées de rénovation étaient spontanément identiques.Les regards de Louis sont devenus profonds, une sensation étrange a émergé de son cœur, comme si de fines petites vignes poussaient doucement de son cœur, le chatouillant légèrement dans la gorge. Assise sur le canapé, Anne a froncé les sourcils : « La tour de l'horloge antique dans le district de l'ouest remonte à la dynastie des Qing, c'es

Après être entrée dans le bureau que Jade a déjà levé la main et s'est précipitée vers Anne. Anne, qui était déjà sortie des bras de Louis, plissant les yeux, réalisant que c'était cette salope qui avait poussé la porte ! Elle était enceinte, donc si elle tombait, il y aurait certainement un danger ! Une flamme brûlait dans le cœur d'Anne. Elle a fermement saisi la main que Jade lui tendait et a serré son poignet, tandis que son autre main s'est levée sans hésitation et lui a donné une gifle. Clac ! Une gifle retentissante et puissante ! Jade se couvrait le visage, regardant Anne incrédule : « Toi ! Tu as séduit mon copain et tu me frappes ?! Pourquoi ? Ce n'est pas raisonnable ! »Puis, Anne a applaudi.Elle était en rage à cause de risque de la sécurité de son bébé, donc elle l'a frappée avec toutes ses forces.Elle avait même mal à la paume de la main. « Je te frappe simplement, pourquoi aurais-je besoin d'une raison ? », a répondu Anne d'un ton nonchalantLe comportement ind