All Chapters of Mon mari milliardaire en état végétatif: Chapter 31 - Chapter 40

Sylvie s’est levée et a fait remarquer une fois de plus le principe de base de la famille des Raimond avec gentillesse : « Ceux qui avaient créé des problèmes aux Raimond ne seront jamais autorisés à entrer dans les bâtiments des Raimond. » Après cela, c’était juste le tour de Sylvie, un responsable de cet entretien l’a appelée à la porte, elle est donc entrée avec élégance dans la salle d'entretien et a commencé à se présenter, avec un sourire sur son visage et un ton calme.« Je m'appelle Sylvie, je suis étudiante au département des finances de l'Université du Havre, et j'ai participé à un grand projet d'investissement il y a un an... »Après cette brève introduction, les quatre recruteurs se sont regardés les uns les autres et ont posé quelques questions fondamentales en la matière de la finance.Les recruteurs ne s'attendaient pas à ce que Sylvie connaisse les connaissances théoriques de base de manière complète et de plus, elle a exprimé très clairement ses propres points de vue

Elle a pincé les lèvres, figée sur place, Après avoir avalé la nourriture dans sa bouche, elle a expliqué à cet homme sur le lit.« Je suis très gentille et j'essaie de partager ce repas avec toi de cette façon, je te... ne te méprends pas, je n'ai pas de sentiment pour toi. » Après un tel gâchis, Sylvie a soudain perdu son appétit, a emballé son repas et est allée se laver dans la salle de bains.En se brossant les dents, elle a repensé à l'instant où ses lèvres ont effleuré celles de Léo, un peu fraîches et un peu douces...Sylvie se rendait compte que c’était bizarre et a violemment secoué la tête, essayant de chasser ces pensées confuses de son esprit.Après sa toilette, elle s’est allongée à côté de Léo, à un demi-mètre de distance, et a décidé de ne pas dormir en étreignant cet homme dans ses bras ce soir.« Je n'ai aucun sentiment pour cet homme. »« Je n'ai pas de pensées spéciales pour cet homme. » « Je n'ai pas... » Plus Sylvie parlait, plus elle devenait vaniteuse, elle r

Elle s’est hâtée de partir de la poitrine de Léo et de s'asseoir sur le lit, puis a dit avec un calme feint.« Entrez. »« Jeune Madame, Madame veut que vous descendiez pour le dîner. » Sylvie a regardé sa montre, il était déjà sept heures du soir. Elle a précipitamment levé la tête et est descendue du lit, à ce moment-là, elle a aperçu les lèvres légèrement grasses de Léo.Hier, au milieu de la nuit, elle...Sylvie ne pouvait s'empêcher de penser à cette image de la nuit dernière, et la réaction physique s’est rapidement manifestée, elle sentait elle-même ses joues brûler de rougeur.Elle a jeté un coup d'œil à l'homme sur le lit, perplexe !Elle était un peu mécontente.Elle s’est forcée à chasser cette image de son esprit et a suivi la femme de chambre au rez-de-chaussée.Par conséquent, elle ne s'attendait pas à ce que Mme Raimond lui a demandé.« Sylvie, pourquoi ton visage est-il si rouge, es-tu malade ? » Le souvenir de cette nuit qui avait à peine disparu est à nouveau revenu

Eva a alors faiblement répondu par un seul mot : « Oui. »Sylvie a éteint son téléphone et a jeté un coup d'œil à Léo, qui partageait le même lit qu’elle.Elle pouvait ouvrir les yeux tous les matins, alors que cet homme avait l'air de dormir, mais il ne pouvait pas ouvrir les yeux comme elle.Elle a soudain dit avec malice : « C'est l'heure de te réveiller, mon pauvre paresseux ! » Même si l'on s'attendait à ce qu'il ne réponde pas, le cœur de Sylvie s’est mis à ressentir une certaine perte.Sylvie a secoué la tête pour faire le vide et est sortie du lit pour aller se laver.Mme Raimond avait dit auparavant qu'elle était trop occupée par ses études tout en travaillant comme assistante chez la famille des Raimond. Vraiment, elle était trop occupée et trop fatiguée, donc, la tâche de s'occuper de Léo tous les matins et tous les soirs était confiée à l'aide-soignante. C’était la vérité, Sylvie n’avait plus d’énergie pour se charger de ces affaires, alors elle était d’accord avec les arr

Sylvie voulait faire du shopping, mais ce n'était pas pour acheter quelque chose pour elle-même. Elle a donc dit : « Alors je crains de devoir te décevoir, je vais choisir un cadeau pour ma belle-mère aujourd'hui, oui, c’est la fameuse Mme Raimond. Du coup, je ne pourrai pas t’accompagner dans le quartier de Troyes, je devrai aller au centre-ville. » Eva n’était du type qui pouvait cacher ses émotions devant les autres. Bien qu'elle ait fait de son mieux pour les cacher, son visage montrait inconsciemment de la joie, elle faisait toujours semblant d'avoir l'air un peu triste.« Ah ? C'est comme ça... Alors je t'accompagnerai à contrecœur dans le centre-ville ! » Le chauffeur de la famille des Duval est venu les chercher pour les emmener au centre-ville. Eva a d'abord montré qu'elle n'était pas très intéressée par cet endroit, mais après environ trois minutes, elle a été totalement attirée par les robes dans la vitrine.« Sylvie, regarde, cette robe est si belle. » À l'origine, c’éta