บททั้งหมดของ Je t'aime, mais je ne le sais pas: บทที่ 211 - บทที่ 220

Lorsque le majordome Marchand est arrivé précipitamment au sous-sol, Dominique n'était déjà plus là.Tout ce qu'il a vu, c'était sa fille, recroquevillée dans un coin, tremblante et répétant des excuses sans fin.« Ambre, qu'est-ce qui t'est arrivé ? », a-t-il demandé, inquiet.Un des gardes du corps, froid comme la glace, lui a répondu : « Monsieur Marchand, le Président Dominique a dit qu'elle n'était plus la bienvenue chez la famille Bégonia. À partir d'aujourd'hui, il ne veut plus la voir à Taozville. »Les yeux rougis, le majordome a acquiescé avec empressement.« Oui, oui, je vais l'envoyer à l'étranger tout de suite. »À ce moment-là, Ambre, un peu plus calme, s'est accroché à Marchand. « Papa, je ne veux pas partir. »Elle a murmuré à voix basse : « Tout est à cause de Chloé. »Marchand a tapoté son épaule, son regard devenant plus dur.« Papa comprend, je comprends. »...À l'extérieur de la villa.Dominique était assis dans la voiture, allumant cigarette après cigarette.L

Dès que Chloé est arrivée à la maison familiale et a pris le petit-déjeuner avec Dominique, elle a reçu un message de Nathalie.Nathalie lui demandait de la rencontrer pour discuter de quelque chose d’important.Chloé en a informé Dominique.Dominique a répondu directement : « Si tu ne veux pas y aller, refuse. »Chloé ne savait pas s’il était poli ou sincère.« Je peux y aller », a-elle dit en se levant pour rejoindre Nathalie.Dans le jardin, Nathalie, vêtue d'une longue robe, arrosait elle-même les fleurs. En voyant Chloé arriver, elle a tendu l’arrosoir à une domestique.« Remplacez toutes celles qui ne fleurissent pas », a-t-elle ordonné.« Bien, madame », a répondu la domestique.Nathalie avait intentionnellement dit cela devant Chloé, laissant entendre, à demi-mot, l'importance de donner naissance à un enfant.Chloé a compris parfaitement le sous-entendu, mais est restée impassible.Les deux femmes sont montées ensuite dans la voiture.Pendant le trajet, Nathalie s'est montrée

De retour au manoir familial.Nathalie a conseillé à Chloé de bien réfléchir avant de refuser son offre. « Après tout, toi comme moi savons bien que la famille Moreau est en déclin, et tu es une femme divorcée sans revenus fixes. Comment comptes-tu t'en sortir ? »Chloé se tenait sur le balcon de la chambre de Dominique, contemplant le paysage extérieur. Les paroles de Nathalie résonnaient dans son esprit. Est-ce qu'une femme divorcée ne pourrait pas subvenir seule à ses besoins ? Pourquoi faudrait-il forcément compter sur quelqu'un d'autre pour vivre ? Elle a serré la mâchoire, décidée. Un jour, elle prouverait à Nathalie qu'elle pouvait parfaitement s'en sortir par ses propres moyens.Après avoir rassemblé ses pensées, Chloé a posé sa tasse et a appelé Viviane en visioconférence.« Chloé, qu'est-ce qui se passe ? », a demandé Viviane en dégustant un fruit.« Viviane, j'aimerais parler à Ernest. »« D'accord, attends un instant. »Viviane a tourné la caméra vers Ernest. Le garçon,

Chloé n’aurait jamais imaginé que Dominique, ce PDG au visage impassible, puisse se montrer aussi dévergondé. Elle avait toujours cru qu’il n’en avait rien à faire.Dominique observait la femme à ses côtés et, en y réfléchissant bien, il se disait que si cela pouvait continuer ainsi, ce serait finalement une bonne chose.Quand elle s’est enfin endormie, l’aube commençait à peine à poindre.Le jour de la fête, la maison des Bégonia était aussi animée que les années précédentes. De nombreux parents de la famille Bégonia étaient présents pour célébrer ensemble. Mais cette année, une différence notable était l’invitation de Chloé par Dominique pour cet événement familial.Certains, déjà au courant, trouvaient là un sujet de conversation. On spéculait en privé sur la façon dont Chloé se ridiculiserait encore cette année et sur la manière dont elle chercherait à s’attirer les faveurs des autres.« Je ne comprends vraiment pas ce que Dominique peut bien lui trouver. Une femme comme elle, ça n

Chloé regardait la cour au loin, repensant aux paroles d'Elodie, et sans savoir pourquoi, elle y est entrée comme poussée par une force irrésistible.La cour était propre et bien entretenue, un parfum envoûtant de fleurs d'osmanthus flottait dans l'air. Cette sensation lui semblait particulièrement familière. Chloé savait qu'elle était déjà venue ici, mais le temps avait passé, et elle avait oublié.Quand elle était petite, elle avait accompagné son père en visite chez la familleles Bégonia.Chloé se tenait sous l'arbre à osmanthus, fixant une maison en bois rouge vif au loin. Pas à pas, elle s'en est approchée et a poussé la porte en bois.« Couic ! »La porte s'est ouverte lentement, révélant tout ce qu'il y avait à l'intérieur.Dans la pièce, tous les meubles et objets étaient recouverts de draps blancs, comme s'ils cachaient quelque secret.Chloé était perplexe. Qu'est-ce qu'Elodie voulait qu'elle voie ?Elle a soulevé un drap blanc.Avec un bruit sourd, un objet est tombé au sol.