Lahat ng Kabanata ng Mère Porteuse Accidentelle pour l'Alpha: Kabanata 271 - Kabanata 280

Ella Ma douleur me maintient éveillée bien plus longtemps que je ne l’aurais cru possible. Seule dans cette immensité glacée, je ne fais aucun effort pour étouffer mes sanglots. Mon désespoir s’élève librement dans la nuit. Je ne sais pas combien de temps les herbes mettront à faire effet, mais je prie pour que la transformation brutale génère assez de chaleur et d’énergie pour me maintenir en vie. L’idée qu’elles pourraient échouer s’infiltre dans mon esprit, et soudain, je me demande si j’aurais dû simplement me laisser sombrer dans le sommeil, au lieu d’affronter la mort dans la douleur. Oh, Déesse, j’aurais dû prendre ces herbes il y a des heures, pensai-je avec regret. Maintenant, il est sûrement trop tard. Cette pensée fait redoubler mes pleurs, mais je ressens également une chaleur croissante au creux de mon ventre. Cette chaleur pulse en moi, diffusant des sensations étranges dans tout mon corps. Puis, soudain, la forêt s’anime d’une cacophonie de sons : le chant des grill

Sinclair Je me souviens à peine de ma première transformation. Ce dont je me rappelle, c’est de la douleur insoutenable, de cette sensation déchirante, chaque os se brisant, chaque muscle se tordant pour accomplir cette étrange alchimie qui m’a transformé en loup. Cela m’a semblé durer une éternité, avec la conviction que cela ne finirait jamais... que j’étais en train de mourir. Je me demandais comment il était possible de survivre à une telle épreuve, mais mon père était là, à chaque instant, me soutenant, me rassurant, me promettant que tout irait bien. Ce que je retiens surtout, c’est la vibration apaisante de sa voix grave, bien plus que ses paroles elles-mêmes. Mais je n’avais jamais imaginé à quel point cela devait être un calvaire pour lui de me voir souffrir ainsi. Aujourd’hui, je comprends parfaitement. C’est encore plus difficile avec Ella, car tous ses sens s’éveillent d’un coup - le monde devient brusquement trop vif, trop lumineux, trop bruyant. Et sa douleur est plus

Ella Tout change au moment où j’ouvre les yeux. Je n’ai aucune envie de me réveiller, de faire face à un monde où mon bébé n’est plus, mais, pour un instant, mon chagrin s’efface, emporté par l’euphorie de ma louve enfin libérée. La tentation de refouler ma tristesse et de me laisser emporter par cette distraction est irrésistible, et je m’y abandonne complètement. J’ai l’impression d’avoir dormi une éternité - peut-être que c’est le cas -, mais je me sens plus forte, plus vive que jamais. La lumière semble brûlante, la ville reste assourdissante, mais ce n’est plus insupportable comme avant. Mon corps s’est probablement acclimaté pendant mon repos, s’adaptant à percevoir le monde avec une intensité exacerbée. Mes membres sont agréablement endoloris, et je savoure la sensation de cette fourrure douce et dense recouvrant mon corps. Je bouge mes doigts et mes orteils, teste la puissance de mes griffes et laisse ma langue glisser sur mes crocs. Être une louve dépasse tout ce que j’

Ella« Ce n’est vraiment pas juste, » proteste-je, assise nue à l’arrière de la limousine, lançant un regard accusateur à Sinclair. « Tu avais dit que tu me marquerais si je me transformais. » « Ma petite gourmande, » réplique-t-il en souriant, déposant un baiser à l’endroit tendre derrière mon oreille. « Mais je n’ai jamais dit que je le ferais au milieu de la forêt. » Il ne l’avait pas dit, c’est vrai, mais cela n’empêche pas ma frustration. Au lieu de céder à mes attentes dès que j’ai terminé la transformation - brève mais douloureuse - pour redevenir humaine, il s’est contenté de m’aider à me relever avant de retourner calmement vers les voitures et les gardes qui attendaient. « Pourquoi pas ? » grommele-je en croisant les bras. « J’aime la forêt. » « Parce qu’en pleine forêt, nous serions trop exposés. Je ne pourrais pas vraiment profiter de toi, car je devrais rester sur mes gardes, » répond-il avec son ton grave qui fait vibrer l’air. « Et pour notre première véritable f

EllaSinclair se tient au-dessus de moi, ses yeux de loup brillants alors qu’il m’observe traverser mes émotions. Je mordille ma lèvre inférieure, cherchant le courage de lui demander ce que je veux, et il ronronne profondément, caressant ma joue et tirant doucement sur ma lèvre pour éviter que mes nouvelles canines ne me coupent. Il ne presse pas, il ne fait pas de demandes, il me laisse simplement digérer le dilemme et m’empêche de me blesser. Sa tendresse douce me donne la confiance nécessaire, et je me rapproche un peu, attirée par sa force stable.« Je peux te toucher, s’il te plaît ? » demandé-je d’une voix tremblante, jetant un coup d’œil sous mes cils.« Où veux-tu me toucher ? » répond Sinclair, sa voix grave vibrant à travers mon corps enfiévré alors que ses lèvres s’étirent en un sourire.Je me sens comme si j’avais été plongée dans de l’eau bouillante, et je suis sûre qu’il le sait. « Là, » dis-je, faisant un geste vers son sexe rigide entre ses jambes.« Hmm, problème, si