Semua Bab Milliardaire, Divorçons !: Bab 151 - Bab 160

Aujourd’hui marquait enfin le jour de notre rencontre. Je me suis examinée dans le miroir, rayonnante à la vue de mon reflet, tout en veillant à ce que ma tenue et mes accessoires respectent scrupuleusement leurs règlements. J’ai appelé un taxi et indiqué ma destination au chauffeur. Celui-ci m’a évaluée pour un instant, mais sans prononcer un mot.À mon arrivée, on m’a dirigée vers la salle d’attente où j’ai été priée d’attendre. D’autres personnes étaient également présentes, venues rendre visite à l’un des détenus. Pendant environ vingt minutes, j’ai observé, lentement accablée, un agent de police qui appelait le nom de famille de la personne suivante à être reçue.Je me suis levée d’un bond en entendant le même agent crier le nom de famille d’Isaac. Je me suis forcée à sourire en m’approchant de la salle de visite. Une petite table était placée au centre de la pièce, avec deux chaises de chaque côté. « Vingt minutes. », a murmuré l’agent en s’éloignant de quelques pas. Au cours

POINT DE VUE DE SYDNEY« Waouh ! » J’ai finalement relâché mon attention et j’ai détourné mon regard de mon téléphone. Je viens de recevoir un appel du service de police. Ils ont placé Bella en garde à vue pour le meurtre d’Isaac.Au cours des dernières semaines, de nombreux événements se sont succédé, allant de Doris à Mark, en passant par les préoccupations quotidiennes auxquelles je devais faire face, tant au travail qu’à l’hôpital où Mark avait été admis. J’ai traversé tout cela comme si j’étais programmée pour le faire, et j’étais restée figée en entendant la nouvelle, incapable de saisir ce que l’officier de police avait dit.À présent, alors que les mots de l’officier résonnent dans mon esprit, je me demande pourquoi c’est moi qu’ils ont contacté. Et nos parents ?À ma grande surprise, cette nouvelle ne m’a pas choqué comme elle aurait dû, ce qui explique probablement pourquoi il m’a fallu tant de temps pour réagir. Je ne pense pas qu’il existe quoi que ce soit qui puisse encore

Le froncement de sourcils de Mark s’est intensifié, et ses yeux ont scruté mon corps pendant près d’une minute avant qu’il ne s’exclame : « Je suis peut-être amnésique, mais je ne suis pas un idiot. Comment pourrais-je avoir une mère aussi jeune ? Quel âge ai-je ? »Je n’ai pas pu m’empêcher de rire intérieurement. Bien que je sois peinée par sa perte de mémoire, c’était véritablement agréable, trop agréable, de le retrouver et de l’écouter exprimer ses pensées sans détours. Il s’avérait que sa mémoire était la seule chose qu’il ait perdue, heureusement. Je ne pensais pas que je serais en mesure de le supporter s’il perdait également son esprit. Il avait toujours son intelligence intacte.Je me suis assise à côté de son lit, et il s’est redressé, maintenant assis. « Bien sûr, je n’aurais pas pu donner naissance à un fils aussi âgé que toi. Je suis ta belle-mère. »Je ne saurais expliquer pourquoi j’ai poursuivi dans cette voie, mais c’était divertissant. Je supposais que je voulais pro

**SCÈNE EXPLICITE À VENIR**L’arrivée de Rose, qui venait enfin revendiquer son rôle de membre de la famille de Mark, signifiait que je n’avais plus ma place dans cet endroit. Je me suis frayé un chemin à travers la foule, ébahie par les tenues criardes et les parfums envahissants qui me faisaient plisser le nez de dégoût, jusqu’à atteindre le bout du couloir. Pour une raison quelconque, j’ai jeté un regard à la porte de la chambre privée de Mark, un rire ironique s’échappant de mes lèvres. Il était fascinant de voir tous ces individus se comporter comme les opportunistes qu’ils étaient, alors qu’ils étaient pratiquement absents il y a quelques jours. Nous n’avons jamais découvert qui sont nos véritables amis jusqu’à ce que les événements prennent une tournure dramatique.En soupirant, je me suis installée sur le siège passager de ma voiture, fermant la porte derrière moi, puis j’ai déposé mon sac à main sur le siège à côté. À travers le pare-brise, je regardais le flot de personnes e

POINT DE VUE DE SANDRAJe suis sortie rapidement de l’ascenseur, mes talons résonnant sur le sol en cadence avec le mouvement de mes hanches alors que je me dirigeais vers le bureau de mon père. Je pouvais également sentir le regard des autres sur moi, suivant chacun de mes gestes. Certains employés m’ont saluée en passant, mais je n’ai pas répondu, poursuivant ma marche.À mon arrivée devant la porte du bureau de mon père, je suis entrée sans frapper. À l’intérieur, il était assis à son bureau, accompagné de deux autres hommes. Ils se sont retournés à mon entrée. Mon père a levé un sourcil, surpris, avant de conclure sa conversation avec ses visiteurs. « Je m’occupe du reste. Vous pouvez y aller. », a-t-il déclaré. Les hommes ont acquiescé et ont quitté la pièce, tandis que je les observais s’éloigner. Je me suis retournée ensuite pour faire face à mon père, m’installant avec détermination sur l’une des chaises devant son bureau, claquant mon sac à main sur la table. Mon père, Jame