All Chapters of Milliardaire, Divorçons !: Chapter 411 - Chapter 420

POINT DE VUE DE DENNISMa situation était ridicule. N’importe qui l’entendant rirait au nez. J’évitais ma propre employée. Je faisais cela depuis ce jour malheureux. Et l’évitement ne commençait pas au travail. J’ai commencé par refuser d’aller prendre mes bains les jours prévus.Et les jours où l’évitement semblait impossible, je m’emportais contre elle et la réprimandais sérieusement pour des choses insignifiantes.L’ambiance habituellement joyeuse de ce bar était maintenant tendue, car personne ne voulait provoquer la colère du patron. Ils marchaient tous sur des œufs autour de moi, attendant le moment où je partirais pour la journée.Je n’étais pas sûr de faire tout cela parce que j’avais peur de retomber dans son piège ou parce que j’étais simplement gêné. Peut-être les deux. Plus la réalisation que mon autocontrôle n’était pas aussi rigide que je l’avais toujours cru était un coup au visage.Alors que je survolais les règles du nouveau contrat que j’allais signer avec une sal

POINT DE VUE DE SHARONJe crois que je deviens folle. La moitié du temps, j’ai envie de hurler pour exprimer ma frustration. Le temps passait et ma date d’accouchement approchait rapidement. Aiden avait marqué ma date d’accouchement sur le calendrier juste à côté de notre lit. Chaque matin, c’était la première chose que je voyais en ouvrant les yeux. Cela empirait la situation.Le jour se rapprochait, mais je n’avais toujours pas réussi à réfléchir ou à agir rapidement. J’avais besoin de réfléchir avant de pouvoir agir, mais je ne pouvais penser à rien qui pourrait vraiment aider. J’avais pensé à adopter un nouveau-né. Mais en plus du fait que cela serait difficile, cela impliquerait un grand nombre de personnes, ce qui rendrait le secret encore plus difficile à garder. Je ne pouvais pas prendre ce risque. Et ne parlons même pas de la difficulté de trouver un enfant qui n’avait que quelques jours ou quelques semaines.Et plus les jours passaient, plus ma crainte qu’il découvre la vér

SHARONMon allié a sollicité une rencontre aujourd’hui, et j’ai consenti à cette demande. En me regardant dans le miroir, l’inquiétude était manifeste sur mon visage. Mon regard s’est attardé sur mon ventre, ce faux ventre. Cette « alliée » a refusé de préciser les raisons de son aide, ce qui m’amène à m’interroger : est-elle au courant de ma fausse grossesse ? Ainsi, lorsque l’opportunité de nous rencontrer en personne s’est présentée, j’ai immédiatement accepté.Prenant une profonde inspiration, j’ai ajusté ma chemise. « Voyons de quoi il s’agit. », ai-je murmuré avant de saisir mon sac et de quitter la maison. Une fois installée dans ma voiture, j’ai expiré profondément. J’ai ensuite vérifié le contenu de mon sac pour m’assurer que le pulvérisateur de poivre, le pistolet paralysant et le taser étaient en bon état. Bien qu’elle ne paraisse pas menaçante, il était difficile de juger. De plus, quiconque connaissait mon secret à ce stade représentait un danger.J’ai saisi l’a

SHARONNous savons bien que c’est plus facile à dire qu’à faire. Par exemple, il est simple de dire que l’on souhaite acquérir une nouvelle voiture, mais il est bien plus difficile de travailler sans relâche et de s’engager à épargner de l’argent pour cet achat à partir de rien.J’avais affirmé que j’avouerais la vérité à Aiden, mais jusqu’à présent, tout s’est mal déroulé. La seule chose dont j’ai eu le courage a été de déclarer mon intention de le faire. Cependant, la peur... C’était un sentiment dévastateur qui a anéanti de nombreux rêves et ambitions. La peur a été la seule force qui a muselé ma voix et comprimé mon cœur, rendant parfois ma respiration difficile.Je ne pouvais pas affronter Aiden et lui avouer que j’avais partagé le même lit que lui, que j’avais mangé, ri et planifié des projets avec lui tout en portant un ventre en silicone pour le tromper, lui et les autres. Aiden était un homme fidèle, et cette vertu l’avait toujours caractérisé. Peu importe les circonstanc

DENNISJ’ai froncé les sourcils en répondant à son appel. « Pourquoi… »« Où est Amie, Dennis ? Où est-elle ? », s’est-elle inquiétée frénétiquement, avant de m’informer d’un souffle qu’Amie était sur le point d’être enlevée.« Quoi ? » J’ai laissé tomber la casserole que je tenais sur le comptoir. « Attends, attends ? Mon Amie ? Quand cela se passe-t-il ? »« Maintenant, Dennis. Maintenant. Mets-la en sécurité. Où est-elle ? »« Ils, nous…Tu sais quoi ? Je te rappelle. », ai-je dit avant de mettre fin à l’appel et de composer rapidement le numéro d’Ana.Je faisais les cents pas dans la cuisine, ma main gauche posée sur ma hanche tandis que ma main droite tenait le téléphone à mon oreille, attendant qu’elle décroche.« Dennis ? As-tu besoin que nous récupérions quelque chose ? »« Chérie. », ai-je soufflé au moment où elle a décroché, soulagé qu’elle aille bien.Amie allait bien aussi, pensais-je, mais j’ai tout de même demandé : « Où es-tu ? Es-tu en route pour rentrer ? Amie