All Chapters of Ma Femme, Ma Secrétaire: Chapter 451 - Chapter 460

CHAPITRE 138 [Juste du sexe]~TIMOTHÉE~Je n’ai pas su quoi faire du poids de ces mots, maintenant qu’ils avaient été dits à voix haute. Enfin, ça aurait dû être simple, non ? Elle m’avait entendu.Alors pourquoi ?Pourquoi est-ce que je me suis encore senti paralysé par cette anxiété qui me rongeait depuis mon réveil ?J’ai eu ma réponse aussitôt que la question a traversé mon esprit. C’est parce qu’une petite partie de moi avait espéré que Sophie ne m’avait pas entendu. Une partie de moi n’avait pas cessé de regretter d’avoir prononcé ces mots de cette manière, parce qu’elle méritait mieux.Une partie de moi n’était pas prête. Je voulais le lui dire sincèrement, et pas au milieu de l’extase, alors que j’étais si profondément en elle que le plaisir avait brouillé mon esprit.J’ai cherché un indice sur le visage de Sophie, une réaction, un mouvement — n'importe quoi qui aurait pu m’aider à savoir quoi faire pour réparer les choses. Mais Sophie ne m’a rien donné. Je suis juste rest

CHAPITRE 140 [ Mon Vieux ]~SÉBASTIEN~Je l’ai regardée, me demandant ce que signifiait cette nouvelle au sujet de mon père à l’hôpital. Il m’a fallu une seconde, mais les pièces du puzzle se sont assemblées, et pour la première fois depuis que j’avais quitté cette fichue cellule, j’ai ressenti une excitation frémir sous ma peau.« C’est le moment ? » ai-je demandé un peu trop vite. Puis, quand la réalisation m’a frappé de plein fouet, un sourire lent a étiré le coin de ma bouche. « Le vieux a enfin décidé de crever. » Je n’ai pas pu m’empêcher de rire d’un rire aussi laid que déplacé.Sa main a bougé avant même que je ne la voie venir, et la gifle a claqué dans la pièce comme un coup de feu. Ma tête a basculé sur le côté, ma joue me brûlait sous la force de sa paume.« Idiot », a-t-elle sifflé, sa voix toujours étrangement calme. « Idiot imprudent et arrogant. Je t’avais prévenu, n’est-ce pas ? Je t’ai dit d’attendre. Mais tu as dû tout gâcher. Tu as dû remuer la merde et faire en

CHAPITRE 142 [ Je Te Pardonne ]~SOPHIE~Je n’ai pas prié.Pas parce que je ne croyais pas aux prières, mais parce que je ne savais pas quoi demander. Qu’il survive ? Que j’arrive à temps ? Que ça fasse moins mal ? Tout semblait sans espoir.Le trajet en voiture a été flou. Les larmes que je pensais avoir épuisées à la maison n’ont même pas effleuré la surface. Elles sont restées coincées au fond de ma gorge comme des mots tus, prêtes à remonter encore.Elaine s’est assise à côté de moi sur la banquette arrière du taxi, ses mains serrées fort dans les miennes. Elle m’a lancé quelques regards, mais n’a rien dit. Et j’ai été reconnaissante pour ce silence, pour cette prise assurée de sa main dans la mienne.J’ai été reconnaissante de ne pas être seule dans tout ça.J’ai regardé par la fenêtre, observant les lumières de la ville défiler comme des secondes que je ne pourrais jamais récupérer. Chaque feu rouge m’a paru une trahison. Chaque tournant, trop lent. Le temps n’a pas bougé av

CHAPITRE 144 [Les fantômes du placard]AVERTISSEMENT : Contenu légèrement perturbant (tendances incestueuses et agression de Sébastien)~SÉBASTIEN~ (7)Elle ne portait presque rien. Ses jambes étaient nues dans ce short qui tenait à peine du tissu. Son débardeur était trop fin, épousant son corps sous la lueur bleue et tamisée de la télévision. Elle était allongée là, recroquevillée sur le canapé comme une enfant, respirant calmement, totalement inconsciente du danger qui s’était introduit chez elle. Je l’ai observée. Pas comme un frère devrait le faire. Jamais comme un frère devrait le faire. Mais je n’avais jamais grandi en la considérant comme ma sœur de toute façon. Ma mère s’en était assurée dès l’instant où Sophie était entrée dans notre famille. À chaque occasion, elle m’avait rappelé que nous partagions peut-être le même sang, mais que Sophie n’était pas ma sœur. J’avais toujours utilisé ça pour me débarrasser de la culpabilité liée aux pensées que j’avais en sa

CHAPITRE 146 [J’ai survécu] AVERTISSEMENT : Contenu d’agression ~SOPHIE~ « Sophie », a appelé la voix arrogante de Sébastien. Il était fier de ce qu’il avait fait et pensait probablement avoir gagné. « T’es prête à parler maintenant ? » Je suis restée silencieuse. La serrure a tourné et la porte a grincé en s’ouvrant. La lumière a jailli, et il était là, silhouette dans l’encadrement du placard. Sans réfléchir, je me suis jetée sur lui. J’ai balancé le cintre en travers de son visage avec toute la fureur qu’il me restait. Il a rugi, trébuchant en arrière. C’était ma chance de m’enfuir, et je l’ai saisie. J’ai couru. Mes pieds claquaient sur le sol. Mes bras battaient l’air, et mon cœur cognait dans ma gorge. La porte d’entrée était en vue. Si proche, tellement proche. Puis une main a attrapé ma cheville et a tiré si fort que nous sommes tombés tous les deux, nous écrasant sur le sol. « SALOPE ! » a-t-il hurlé. J’ai donné des coups de pied. J’ai griffé. J’ai frappé