บททั้งหมดของ Divorce et Destin : Reprendre Mon Mari PDG: บทที่ 401 - บทที่ 410

(Jayden)Mon bureau est jonché de documents, de dossiers, toutes ces preuves d’affaires inachevées. L’équipe d’enquête est entrée et sortie de mon bureau temporaire toute la matinée, chaque membre ajoutant à la pile de travail que je ne peux pas sembler échapper.Les grandes enveloppes jaunes, les impressions, les détails des employés s’ajoutent à la montagne de choses sur ma liste de choses à faire. Je rassemble tout ce que je peux dans ma mallette, ainsi que le reste des papiers de Grayson, voulant tout avoir en un seul endroit pour le vol retour à Bruxelles.Ce sera plus facile à trier une fois que je serai installé dans le jet, loin de cette cocotte-minute.Je jette un coup d’œil à ma montre. Il faut que je me mette en route. Il n’y a pas de temps pour traiter tout cela ici ; j’aurai besoin des prochaines 24 heures à Bruxelles pour respirer, me concentrer sur ma famille et aider Winona à installer les enfants dans leur nouvelle routine scolaire.L’idée de rentrer chez moi, même

(Jayden)Le vol de diversion était une illusion bien orchestrée. Victor a embarqué dans le jet Nexus Global, accompagné de quelqu’un qui me ressemblait et d’un dispositif de sécurité très visible.L’intention est simple : attirer les regards, surtout si Judy surveille. L’opération entière a été conçue pour tromper, pour me donner la couverture nécessaire pour sortir sans être remarqué.Maintenant, je suis dans un plus petit jet affrété, un avion qui paraît presque discret comparé à celui de Nexus. Il est élégant, noir et peu impressionnant, se fondant dans la piste d’aviation privée avec une anonymat qui est étrangement réconfortant.À l’intérieur, l’intérieur du jet est silencieux, le bourdonnement des moteurs est une assurance basse et stable. Je me suis installé dans l’un des sièges en cuir, ma mallette ouverte à côté de moi.Les documents de Nexus Londres passent lentement de la pile à faire à la pile faite. J’ai lu tout ce que je devais examiner. Des notes d’enquête, des états

(Winona)Je suis dans la cuisine, en train de verser le poulet crémé dans un plat de riz. Ça sent délicieusement bon. Jayden a toujours adoré cette recette. Cela fait un temps infini que nous n’avons pas dîné tous les deux.De la musique douce et apaisante s’écoule dans mes écouteurs, et une voix douce et rassurante me rappelle à respirer. Inspire la paix, expire le stress. Mon cœur suit le rythme, s’installant dans une tranquillité stable. Tout est comme il doit être.Le dîner est prêt, et Jayden doit être arrivé, je pense. Ce n’est qu’un trajet de quinze minutes en voiture depuis la ville. Nous allons enfin avoir notre moment pour nous reconnecter, pour parler, pour partager des nouvelles que j’ai gardées avec une prudence pleine d’espoir.Lisa a appelé et j’ai parlé aux enfants qui s’amusaient tellement. J’ai dit qu’ils pourraient se coucher plus tard tant que leurs tâches et leurs devoirs seraient faits demain.Ils avaient tous un animal en peluche chacun et des visages collant

(Jayden)Je ne m’arrête même pas pour reprendre mon souffle après être retourné vers le jet. J’ai appelé le pilote et organisé un retour. Plus tôt je serai loin d’ici, mieux ce sera.Mon cœur bat encore à toute allure, mes poings meurtris par la bagarre. La trahison. La destruction totale de tout ce que je croyais connaître m’engloutit.Enfin, je suis dans la zone du jet privé à l’aéroport. Je sors de la voiture et marche droit vers le jet. Il est prêt, plein de carburant, prêt à me ramener à Londres.« M. Brennan », me salue le pilote. « Avez-vous besoin de quelque chose d’autre avant que nous ne partions ? »« Je vais bien », je grogne. « Simplement emmenez-moi loin d’ici. »Il acquiesce, et je marche à côté de lui, mon téléphone serré dans ma main. Je ne veux parler à personne. Je n’ai besoin de personne. Winona, Lance, Victor. Je peux gérer ma propre vie. Prendre mes propres décisions.Je m’effondre dans le siège, sortant mon téléphone pour l’éteindre. Je ne veux parler à per

(Jayden)Le vol de trois heures passe dans un brouillard. Je soupçonne que j’ai dormi la majeure partie du temps, perdu dans une brume alcoolisée, mais je ne peux pas en être sûr. Ma tête me martèle, et je sens une pulsation régulière et impitoyable qui s’accorde avec la douleur dans ma poitrine.L’alcool a amorti la flamme, mais c’est comme essayer d’éteindre un incendie de forêt avec un verre d’eau. Il n’a fait que rendre les contours de ma douleur plus tranchants, plus coupants.Le jet atterrit à Londres, et je me force à me redresser, titubant légèrement en descendant. Ma vision se trouble, et je saisis ma mallette juste pour avoir quelque chose de solide à quoi me cramponner.La bagarre avec Lance se rejoue dans ma tête, chaque coup, chaque accusation. Et le visage de Winona - ses yeux écarquillés de choc, puis de blessure. Le souvenir m’écrase comme un éboulis, lourd et implacable.Victor est là, bien sûr. Il s’appuie contre un SUV noir brillant, les bras croisés, son express