Semua Bab Le Sang du Clair de Lune: Bab 141 - Bab 150

» Quand ce sera fini Jack, tu auras peut-être sauvé Thea, mais tu seras à moi. Je claquerai des doigts et tu viendras à moi. Je dirai « c’est le moment pour baiser » et tu demanderas qui.Le rythme de sa main s’accéléra autour de ma queue.» Combien de fois as-tu poussé cette bite en elle et hors d'elle ? Tu es en colère contre moi maintenant… mais je vais te donner une vie entière remplie de chattes, Jack. Toutes les chattes du monde.Ses hanches se balançaient contre mon dos tandis que sa bouche mordait mon oreille. Où était Thea, et que m'arrivait-il ? La main experte de Rosalie savait exactement combien de temps il fallait rester à chaque fois qu’elle me branlait, à quelle vitesse il fallait aller, quelle pression il fallait appliquer. Le besoin de jouir monta à l'intérieur de moi, sans qu'on me le demandât.» Pas encore, dit-elle en arrêtant sa main et en pinçant mon gland. Ses hanches caressaient durement mon corps, les muscles de ses jambes la rapprochant puis la repoussant. Je

Et puis la porte s’ouvrit derrière elle, baignant le gars dans la lumière. Il était clairement d’origine nordique, peut-être scandinave. Ses épaules étaient presque aussi larges que la porte et il mesurait au moins 1m93. Et avec ses cheveux longs et sa veste en cuir, il avait l’air de sortir de la couverture d’un roman érotique, le genre de bouquin sale que nous cachions à nos mères quand nous avions quinze ans. Je sentis mon cœur s’arrêter et un battement gênant entre mes cuisses.Willa se tourna vers moi alors qu’il traversait le couloir.— C’était lui. Tu vois ce que je veux dire maintenant ?— Ouais, soufflai-je.Mais… je regardai dans le couloir dans lequel il était passé… jusqu’aux toilettes. Nous n’avions pas beaucoup de temps.» C’est quoi ton plan incroyable ?Elle leva une main et compta sur ses doigts. Alors que j’entendais une porte lointaine s’ouvrir, au-dessus de la musique country venant du juke-box, elle finit par atteindre le numéro un et se pencha.— Ça, murmura-t-el

Bien qu'il fût extraordinairement sexy et d'une arrogance qui suscitait la luxure, il avait besoin d'être remis à sa place. Je m’agenouillai donc à côté d'elle, et lorsqu'elle laissa échapper sa bite hors de sa bouche – un mot que j'aimais beaucoup plus que pénis – j’attrapai sa bouche avec la mienne à la place. Mes mains remontèrent le long de son corps pour toucher ses deux seins. Ils étaient si parfaits que je voulais les sentir pour toujours : je désirais explorer tout son corps, si doux, endroit par endroit. Sa bite se balançait tout près, et Willa la caressait d'une main, tandis que je commençais à la caresser, elle, plus bas.Gray se mit à rire, puis tendit la main vers le bas. Avec une force que je n’avais jamais vue chez aucun autre, il nous saisit toutes les deux et nous jeta sur son lit. Nous rebondîmes l'une contre l'autre, mais nous retrouvâmes rapidement bouche contre bouche, poitrine contre poitrine. Sa jambe se glissa entre les miennes et je commençai à me frotter à el

— S'il te plaît, baise-moi.Il laissa échapper un faible gémissement et ses mains trouvèrent mes hanches, me faisant basculer en avant, me poussant contre lui. Soit Willa l’avait aidé, soit sa bite savait exactement où aller; je la sentis s'enfoncer à peine, puis ressortir, entrer et sortir, presque juste me frôler. Je me tortillais : j'en voulais plus, je voulais être prise de la même façon qu'il avait pris Willa, longuement et fermement.— Patience, dit-il en me maintenant immobile et en se hissant plus haut avec ses hanches. Je pouvais sentir l'étendue exquise de son ventre se courber sous moi, atteindre l'arrière et sentir les muscles de son cul se soulever, mais seule la pointe de sa bite entra en moi.— Encore, suppliai-je. Avant que je ne meure… encore.— Personne ne meurt aujourd'hui, répliqua-t-il, mais ses mains sur mes hanches se crispèrent et me poussèrent encore plus en arrière, et je sentis ma chatte se séparer, s'ouvrir pour le laisser entrer. Enfin, enfin, enfin. Je la

» Je veux exploser en toi, mais je ne veux pas non plus que notre baise se termine.Il dit cela presque comme si c'était une plainte, comme s’il était énervé que quelqu'un ne pût jamais avoir autant de contrôle sur lui.Je rejetai ma tête en arrière, autant que je le pusse, et je cambrai mon cul pour que ma chatte pût continuer à prendre davantage de sa bite Je ne m'étais jamais sentie aussi animale qu'à ce moment-là, comme si j'étais en train de me faire monter par quelque chose de sauvage.Tout me paraissait électrique – chaque coup de sa bite dure, qui m'ouvrait en grand et me démontait à nouveau – mes seins qui rebondissaient, ses couilles qui claquaient – Willa qui me regardait, stupéfaite, en train de me faire baiser. Elle ramena une main en arrière pour me toucher, mais je n'en avais pas besoin – j'aurais joui sans elle – juste parce qu'il m'avait baisée. Je savais, comme une femme le sait, qu'il avait besoin de me posséder, qu'il mourait d'envie de me remplir, et je savais que