Semua Bab Le Sang du Clair de Lune: Bab 161 - Bab 170

— C'est votre... chien qui a rapporté ça ? De la Ferme ?Le détective à qui je parlais était afro-américain, les cheveux coupés court, comme s'il sortait tout juste de l’armée. Le métal sur lequel était imprimé son badge sur son bureau – Paul Derizzio – était si brillant que j'étais certaine qu'il était neuf.— Ouais. Mon chien creuse toujours là où il ne devrait pas.— Et vous vous promenez souvent sous la pluie ? demanda-t-il en me lançant un regard en particulier.— Un chien doit pisser, monsieur. La pluie ne le fait pas se retenir.C'était tout ce que je pouvais faire pour ne pas le secouer pour qu'il me crût.» Vous devriez vérifier ce soir. Avant que le reste de son corps ne soit emporté par la pluie, si elle est là-haut.— Elle ?Je haussai les épaules.— Ce ne sont pas toujours les filles qui disparaissent, dans cette ville ?Il finit d’emballer le crâne et nota mon faux nom ainsi que mon faux numéro de téléphone.— Vous devriez rester ici, pendant qu'on va vérifier.— D'accor

— Oui… oui… oh mon dieu… oui, grogna-t-il, le dernier mot le quittant sous la forme d'un hurlement sauvage et je sus alors qu'il était en train de jouir en moi. Je fermai les yeux. À l'intérieur du bar, à un mur de distance, j'imaginais entendre des applaudissements dispersés.Et puis sa bite s’élargit en moi, comme l'avait fait celle de Gray, dans les bois près de la Ferme.» Oh, mon Dieu… je ne voulais pas que cela arrive… mais c'est tellement bon, gronda-t-il, en s'abaissant sur moi, m'écrasant. Je n'ai pas pu m'en empêcher, tu es tellement sexy… la lune est proche… et mon loup te veut… a besoin de toi… mon Dieu ! cria-t-il en se perdant dans une autre poussée. Tu es tellement serrée, bordel, et maintenant ta chatte est toute à moi, souffla-t-il dans mon oreille, se balançant toujours d'avant en arrière, se satisfaisant encore et encore, jusqu'à ce que je m'imaginasse débordant de son sperme. Comment Gray a-t-il pu résister à ça ? Comment a-t-il pu supporter de ne pas utiliser son

Son honnêteté fut comme un éclair. Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas sentie moi-même que je n'étais même pas sûre de savoir qui j'étais vraiment : sauf que je me sentais à nouveau comme elle en sa présence, et mon loup était d'accord.— Allons dehors, dis-je.L'un de ses sourcils se releva.— Bien sûr, dit-il, et il me suivit.Deux pas dans l'air de la nuit et je le jetai sur lui. Je n'avais pas été avec quelqu'un depuis Willa et Gray, cela fut quelques années longues et solitaires, mais l'embrasser me semblait normal et mon intensité ne l'effrayait pas. Nous traversâmes le parking comme si nous dansions, en nous embrassant avec voracité, puis en reprenant notre souffle. Sa bouche épousait la mienne comme si elle était faite pour moi, nos langues se poussaient et s'entremêlaient, et de temps en temps, il se retirait tout en mordant ma lèvre, me laissant à bout de souffle. Il nous fit tourner jusqu'à ce que je me retrouvasse dos à une voiture de collection noire.— Attent

Les yeux très maquillés de la femme se levèrent, cherchant dans les miens un signe de satisfaction. Je portai mes deux mains à ses cheveux et je poussai doucement, faisant en sorte que sa bouche prît plus de moi, regardant ma bite enfiler le ruban rouge de ses lèvres.Je sentis la faim s'estomper, enfin : ce n'était donc pas un mensonge.— Qu'est-ce que c'est ? interrogeai-je, en regardant la femme se frayer un chemin le long de ma bite, à la fois extatique et ensorcelé.— C'est la vie. Le sexe a sa propre magie… le pouvoir, l'intention, les fluides… tous mélangés en une seule chose. Le sang, c'est bien aussi, et c'est plus rapide en général, mais, et elle caressa ses doigts dans les cheveux de la fille, alors qu'elle commençait à me prendre avec sérieux, en se balançant sur moi et en faisant plonger mon gland au fond de sa gorge. Si tu ne veux pas laisser une série de corps derrière toi, c'est mieux. Quand c'est bien fait, bien sûr."Je gémis, une partie de moi sachant que je trahiss

JACKLa dernière chose dont je me souvinsse, ce fut que j'étais peint de son sang.Thea était roulée en boule, face à moi, et murmurait sans relâche : « oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu. »Des intestins rose pâle étaient disposés en labyrinthe sur le sol et ses côtes se dressaient en des angles peu naturels. Des poumons dégonflés étaient déchirés de chaque côté, et je baissai les yeux. Je tenais son cœur. Je l'avais ouvert pour boire le sang sucré qu'il contenait comme s'il s'agissait d'un melon.— Oh, mon Dieu, dis-je, tout comme Thea.Elle osa me jeter un coup d'œil.— Jack ? C'est toi ?Sa voix était si calme dans sa terreur que même moi, je pouvais à peine l'entendre.— Je ne suis pas sûr.Alors que l'obscurité s'estompait et qu'une plus grande partie de moi reprenait le dessus, je pouvais sentir tous les endroits où ma chemise se collait à moi, avec du sang en train de sécher.Elle se tordit vers moi. Ses cheveux blonds étaient gras et elle n'avait jamais pu nettoyer tout s