Semua Bab Luna Rejetée : Il Veut Que Je Revienne: Bab 121 - Bab 130

ELIJAHIl me fallait le maîtriser à cause de notre situation à l'époque et j'ai dû évacuer toute cette énergie refoulée sur mes mouchoirs. Inutile de préciser que le sol en était jonché.« Je te désire. » Je gronde, mes yeux virant au doré, lui démontrant ma sincérité. C'est un mode primitif de communication propre aux métamorphes. Nos ancêtres l'utilisaient avec leurs compagnes.Rena se redresse lentement, sa chevelure retombant sur son épaule en magnifiques ondulations. Ses yeux verts luisent d'argent en l'espace d'un instant avant qu'elle ne gronde en retour et ne bondisse sur moi, prenant mon visage pour s'emparer de ma bouche. Sa langue affronte la mienne tandis que je sens le tissu rugueux de son soutien-gorge contre mon torse.Je glisse mon bras derrière elle pour dégrafer son soutien-gorge. J'arrache les bretelles avec fougue, dévoré par le désir, et le jette au sol. Ses ongles parcourent mon torse, dessinant mes abdominaux. Le contact de ses mains électrise mes sens.Je s

ELIJAHJe me baisse pour embrasser son nombril, puis son buste et laisse l'extrémité de mon membre effleurer son entrée. Elle halète, sentant mon gland se frotter contre ses lèvres, l'humidité qui y règne le lubrifiant.Son sexe palpite pour moi, tout comme le mien, qui vibre pour elle.Je laisse des baisers légers remonter le long de son corps, sentant sa peau douce se tendre sous mes lèvres.J'atteins la zone entre ses seins, puis remonte jusqu'à sa clavicule, appuyant mes dents sur sa peau. Elle crie lorsque je mords sa peau tout en enfonçant mon sexe au plus profond d'elle, ce qui l'ouvre bien grand.Elle arque la tête en poussant un long gémissement. Plaisir, douleur, peur... Tout se lit dans ses yeux. Mes genoux sont entre ses cuisses, la maintenant ouverte.Je saisis ses mains et les immobilise au-dessus de sa tête sur le lit, tout en me démenant en elle. Elle entrouvre les lèvres, ferme les yeux et gémit mon nom, pendant que je m'active en elle, ma largeur la torturant.

VERENAIl le fera.En soupirant, je me lève du lit et enfile mes vêtements. Vu le comportement fougueux d'Elijah au lit, je suis soulagée que mes habits soient intacts. Durant notre mariage, il déchirait mes vêtements et promettait de m'en acheter des nouveaux. Il tenait toujours parole. Et j'adorais cela. Cela me rendait heureuse de savoir qu'il me désirait, même si c'était uniquement pour mon corps.Ce souvenir me pèse sur le cœur. Non, pas de doutes. C'était une autre époque.En descendant les escaliers, le parfum du café fraîchement moulu chatouille mes narines. Maria s'affaire dans la cuisine, donnant des directives aux deux femmes de chambre qui ont repris leur service aujourd'hui.« Bonjour ! » Je lance gaiement avec un large sourire aux lèvres. Ma voix semble particulièrement pétillante ce matin, les événements de la veille faisant encore battre mon cœur.Maria hausse un sourcil en se tournant vers moi, l'amusement brillant dans ses yeux. « Tu sembles flotter sur un nuage

VERENAEzra hausse les épaules, ses petites épaules s'affaissant légèrement. Il baisse les yeux vers les motifs colorés du couvre-lit, son air enjoué cédant la place à une timidité soudaine. « Je sais que c'est mon papa. », murmure-t-il. Les mots sont si faibles que je les entends à peine.Mon cœur chavire dans ma poitrine, un frisson glacé me parcourt. Il est au courant ?La scène du déjeuner, la façon dont il était assis avec Elijah. Tout s'éclaircit. La vérité me frappe. Était-ce pour cela ? Comment ai-je pu être si aveugle ?Un silence pesant s'installe entre nous, chargé d'émotions inexprimées. Mon esprit s'emballe, cherchant les mots justes, la bonne façon de gérer cette révélation inattendue.Je comptais le lui annoncer lors de la prochaine visite d'Elijah. Mais apparemment, il le sait déjà.« Comment l'as-tu deviné, mon chéri ? » Je demande d'une voix qui ressemble à un murmure. Ma gorge se serre, une boule s'y forme, rendant la déglutition pénible.Il lève les yeux vers

VERENAUne heure s'écoule, faisant monter l'impatience dans ma poitrine pendant que je travaille. Il doit être occupé par ses tâches de meute.Ding !Mon cœur bondit dans ma poitrine quand j'entends vibrer mon téléphone, et je m'en empare vivement sur le bureau pour lire son message.« Tu lui as dit ? »« Non. Il était déjà au courant et m'a interrogée à ce sujet. » Je réponds.Il ne réagit pas. Il assimile sûrement ce que je viens de dire. J'attends quelques minutes, et sa réponse arrive.« Qu'est-ce qu'il a dit ? Il me déteste ? » Je peux sentir la peur émaner de son message.« Non. Mais il veut savoir pourquoi tu ne lui as rien dit. Je lui ai tout expliqué. Il souhaite te rencontrer. »Ding !« Je veux le voir aussi. Je viendrai à la meute ce weekend pour lui parler. »« Ce sera bien. »« J'espère qu'il me pardonnera. », dit son message, et je soupire.« Il ne te déteste pas. Il veut que nous soyons ensemble. »Silence.Ding !« Je le souhaite aussi. J'ai hâte d'être