บททั้งหมดของ L'Amour Innocent du Parrain de la Mafia: บทที่ 71 - บทที่ 80

[REBECCA]Je sortais de ma chambre quand j’ai vu Artemy monter les escaliers en boitant, le visage et les mains ensanglantés. « Artemy ! » m’exclamai-je, paniquée.Il grimaça. « Rebecca, je pensais que tu étais en bas », murmura-t-il, sa voix teintée de douleur.« J’étais dans ma chambre. Je descendais pour aider Nona et Lynda à préparer le dîner », ai-je dit. J’ai levé la main et j’étais sur le point de toucher son visage, mais je me suis arrêtée, effrayée de lui faire encore plus mal. « Que s’est-il passé ? » ai-je demandé avec inquiétude.« Rien. Je m'entraînais juste avec Brayden et Avim. » Il fit un mouvement du poignet et haussa les épaules nonchalamment, comme si cela n'avait aucune importance.« Tu t'entraînes ? Tu es couvert de sang et blessé. Quel genre d'entraînement est-ce ? » Je lui pris la main et le tirai vers sa chambre. « Je vais nettoyer tes blessures. »« Non, ça va aller. Tu dois aider Nona. Je vais le faire. » Il essaya de retirer sa main, mais je serrai les doigt

Je suis retournée au lit et je me suis assise. En frottant mes mains sur la couette en satin, j'ai trouvé la douceur apaisante. En fermant les yeux, j'ai essayé de me débarrasser des pensées négatives et douloureuses. J'avais besoin d'arrêter de penser au passé.« Je suis de retour ! » annonça Lynda en revenant dans la pièce. « Ok. Allons faire les boutiques ! » Elle plaça l'ordinateur portable entre nous.Je n'ai pas pu m'empêcher de rire de son enthousiasme. Elle savait comment alléger une situation. Et surtout, elle savait me faire rire, et c'était exactement ce dont j'avais besoin.Nous avons fait du shopping pendant un moment. Bon, ça a duré des heures. Lynda était une bête de shopping. Elle était définitivement possédée. « Shopping jusqu'à épuisement », a-t-elle marmonné, fermant enfin son ordinateur portable.« Combien ça coûte ? Tu as payé pour moi », demandai-je rapidement. Lynda haussa les épaules et se tourna vers moi.« Ce n'est pas grave. Tu pourras utiliser ton salaire l

J'étais allongée contre la baignoire, les yeux fermés, les mains caressant l'eau chaude. Il était tard dans la nuit et après avoir joué du piano pour Artemy, je n'arrivais pas à dormir.Je ne pensais qu'à ce moment-là, au ruisseau, ce matin-là. À chaque fois, les mêmes images défilaient dans mes yeux. Artemy m'embrassant. Notre besoin l'un de l'autre.Et puis je me souvenais de ce que c'était quand il avait fait l'amour avec mon corps.Mon corps se réchauffa à l'idée de ses lèvres et de ses mains sur moi. Poussant un soupir fatigué, j'ouvris les yeux et sortis de l'eau, me séchant avec la grande serviette blanche. Mais au lieu d'enfiler ma chemise de nuit, j'enroulai la serviette autour de mon épaule, me regardant dans le miroir.« Qu’est-ce que je fais ? » murmurai-je à mon reflet. « Est-ce que je peux faire ça ? »Artemy me voulait… et je le voulais aussi.J'avais envie de son contact.En plaçant une main sur ma poitrine, j'ai senti mon cœur battre à tout rompre. « Je ne veux plus a

[ARTEMY]Rebecca descendit lentement sur ma queue, et dès que je m'installai profondément en elle, je vis la panique s'illuminer dans ses yeux, son corps se figeant pendant une seconde. Mes doigts se resserrèrent instinctivement sur ses hanches.Je pouvais la sentir descendre en spirale vers l'obscurité, mais je n'allais pas la laisser se perdre à nouveau.« Rebecca, ouvre les yeux », lui demandai-je rapidement. Ses yeux s’ouvrirent instantanément, la peur brillant dans ses yeux verts suppliants. Elle le voulait autant que moi, mais elle avait peur de retomber dans l’obscurité.J'ai essayé de la calmer et petit à petit, la peur a commencé à disparaître de ses yeux.« Doucement et lentement. On y va doucement », ai-je dit pour apaiser les gens.Lent. Un mot étrange pour décrire le sexe. Je n'avais jamais fait de slow avant. Avant, c'était juste de la baise brutale. Mais avec Rebecca, c'était différent.Rebecca a semblé accepter mes paroles et son corps s'est détendu.Il n'y avait que m

[LYNDA]Mes muscles me faisaient mal tandis que je me déshabillais rapidement. J'avais besoin de dormir. Comme maintenant. Mais je savais que Milandro était censé me rendre visite, alors j'ai attendu.Je me coiffais quand j'ai vu la porte s'ouvrir dans le reflet du miroir. Il a fermé la porte derrière lui et s'est dirigé vers moi. « Hmm… c'est ce que j'aime voir », a-t-il murmuré, ses yeux lascifs parcourant mon corps nu. Milandro se tenait derrière moi et a enroulé un bras autour de ma taille, m'attirant vers lui. « Sais-tu à quel point tu es belle ? » a-t-il demandé en déposant un baiser sur mon épaule.« Tu me le dis tous les jours, mais je ne me plains pas. Ça ne me dérangerait pas si tu le disais encore une fois », répondis-je en posant ma main sur son bras.« Tu es si belle que tu me coupes le souffle. La femme la plus sexy que j'aie jamais vue », murmura-t-il, ses bras se resserrant autour de ma taille dans une prise presque meurtrière. « Et tout à moi », grogna-t-il d'un ton p