Lahat ng Kabanata ng Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Kabanata 401 - Kabanata 410

Point de vue de SandrineAprès cette frayeur, je n'arrivais plus à m'arrêter de rire en voyant Henry allongé sur le brancard voisin, l'air complètement bougon.« Tu pourrais essayer de te contenir un peu, Sandrine ? » m'a demandé Henry, visiblement agacé.« C'est impossible... » Je riais comme si j'assistais à un spectacle de clowns.« Sandrine, Molina t'a déjà expliqué que je me suis évanoui sous le coup de l'émotion, » a marmonné Henry d'un air renfrogné.« Mon chéri, tu t'es évanoui pendant la première échographie de notre bébé. Qu'est-ce qui va se passer dans la salle d'accouchement ? » ai-je demandé, incapable de contenir mon fou rire.« Ça ne se reproduira plus, Sandrine. » Henry affichait un visage sévère qui ne faisait qu'accentuer le comique de la situation.Le rideau s'est ouvert et Melissa est entrée, l'air faussement sérieux, portant un plateau avec des en-cas pour moi et mon mari aux nerfs fragiles.« Oh, Henry, quelle honte ! » Melissa n'a pas pu se retenir et a é

Point de vue de SandrineQuand je suis tombée enceinte, je n'aurais jamais imaginé que neuf mois passeraient si vite. J'entamais déjà ma quarantième semaine, l'accouchement était prévu dans quinze jours, et la chambre du bébé n'était même pas encore prête. Ce dimanche matin-là, j'avais forcé Henry à m'aider.J'étais confortablement installée dans le fauteuil d'allaitement, en train de lui lire les instructions de montage du berceau, tandis que Cinnamon somnolait à mes pieds.« Ma déesse, pourquoi est-ce toujours moi qui dois monter les meubles alors qu'on pourrait engager un professionnel qui sait ce qu'il fait ? » a soupiré Henry pour la centième fois.« Parce que c'est le berceau de ton fils, et tu ne voudrais pas qu'il tombe à cause d'une vis mal serrée », ai-je répondu en caressant mon ventre énorme.« Et tu crois vraiment qu'un professionnel qui fait ça tous les jours risque plus de laisser une vis desserrée que moi qui n'ai jamais monté un berceau de ma vie ? » Il m'a regard

Point de vue de FlavianQuand le Détective Blanc m'a suggéré de rejoindre l'unité spécialisée de Marseille pour travailler à ses côtés, je n'aurais jamais imaginé qu'il réussirait vraiment à faire approuver mon transfert. C'était un commissariat très convoité, avec de nombreux détectives qui rêvaient d'y travailler, et je n'étais peut-être pas le plus qualifié.Mais Blanc a fait approuver mon transfert en un claquement de doigts, ou plutôt, avec un simple coup de téléphone. J'étais aux anges parce que, sans même que j'aie à lever le petit doigt, il avait résolu plusieurs de mes problèmes d'un coup. J'allais être promu, déménager dans une plus grande ville, travailler dans un commissariat spécialisé où j'aurais beaucoup de terrain comme je l'adorais, et surtout prendre mes distances avec l'ingérence constante de mes parents. Cette opportunité professionnelle m'était tombée du ciel.Je ne retournerais à Besançon que pour régler quelques formalités administratives avant de m'installer

Point de vue d'EmmanuelleJ'étais vraiment excitée par le mariage de Catherine. Cela faisait une éternité que je n'avais pas assisté à une fête, et dieu sait combien j'adorais les célébrations. Catherine m'avait demandé d'être l'une de ses demoiselles d'honneur et m'avait annoncé que je serais associée à un ami de Pascal. Ne connaissant pas cet homme mystérieux, je n’ai cessé de harceler Sandrine de questions à son sujet.« Oh, Manu, il est passé au bureau cette semaine. Comment as-tu pu manquer le détective Flavian ? Ce type est immense ! » s'est esclaffée Sandrine tout en m'aidant à remonter la fermeture éclair de ma robe.« Écoute, Sandie, ce bureau était un vrai chaos, avec des gens qui entraient et sortaient sans arrêt, et ce téléphone qui sonnait continuellement. Je n'ai simplement pas remarqué cet homme. Allez, dis-moi à quoi il ressemble ! » ai-je insisté, essayant encore une fois de lui soutirer des informations.« Voilà ! Maintenant, ferme la mienne. »Sandie s'est tourn

Point de vue de FlavianL'appartement d'Emmanuelle reflétait parfaitement sa personnalité - tout y était délicat et féminin, mais aussi pratique, bien organisé, chaleureux et confortable. Étrangement, j'avais l'impression d'être comme un élément discordant qui ne s'intégrait pas dans ce décor harmonieux.« Fais comme chez toi. Tu veux boire quelque chose ? » Manu semblait plus détendue ici, dans son propre espace.« Non, ma petite. Viens par là. » J'ai pris sa main et l'ai attirée pour qu'elle s'assoie à côté de moi.Ne voulant pas paraître impoli, j'ai tenté d'organiser mes pensées et d'adopter un ton posé. Manu s'est installée gracieusement près de moi, les jambes repliées sur le canapé et le corps tourné vers moi.« De quoi veux-tu parler, Flavian ? » a-t-elle demandé, une pointe d'anxiété dans la voix.« Des attentes, » ai-je répondu, trouvant enfin un point de départ. « Manu, je suis un homme de trente-cinq ans avec beaucoup d'expérience de vie, qui sait ce qu'il veut. De ce