Semua Bab Divorce Explosif, Ultime Revanche: Bab 651 - Bab 660

Tina s’est arrêtée et les a regardés avec méfiance :« Que voulez-vous ? Lâchez-moi ! »L’un des hommes, au visage sombre, a dit d’une voix glaciale :« Tu n’es pas chanceuse… Quelqu’un a payé pour qu’on détruise ton joli visage. »Quoi ?En entendant ce que l’homme disait, Tina était choquée.Quelqu’un avait engagé des hommes pour l’agresser !« Qui vous envoie ? Pourquoi veut-elle me faire du mal ?! » Elle a demandé avec une voix tremblante.L’homme a dit sans expression :« Tu n’as pas besoin de le savoir. Ce qui est sûr, c’est qu’on va détruire ton visage ce soir. »Tina a tenté de se dégager, mais sa force physique était beaucoup inférieure à celle des hommes.Les deux hommes la maintenaient fermement. Elle ne pouvait pas s’échapper.Sans pouvoir fuir, elle a crié de toutes ses forces :« À l’aide ! Quelqu’un ! Au secours ! »Un des hommes lui a plaqué la main sur la bouche :« Putain, elle se débat violemment, cette salope ! Vas-y, vite, défigure-la avec le couteau ! »

Tina est restée figée, incapable de bouger.La voiture s’est approchée d’elle.Au dernier moment, un bras a surgi, l’a enlacée à la taille et l’a tirée en arrière.Elle est tombée dans une étreinte chaude et rassurante.La voiture est passée à quelques centimètres d’elle.Encore sous le choc, Tina a levé les yeux vers son sauveur.C’était lui.C’était l’homme au masque noir.Il était revenu !« C’est toi… »Tina a murmuré en le regardant.L’homme l’a relâchée en disant d’une voix grave :« Tu me cherchais ? »Tina a hoché la tête :« Oui. Je te cherchais. »Il a répondu froidement :« Il faut faire attention en traversant la rue. »Ensuite, il s’est retourné pour partir.Tina s’est hâtée de le suivre.Elle a demandé :« Qui es-tu ? On s’est déjà rencontrés, n’est-ce pas ? »L’homme restait froid :« Non, je ne te connais pas. »Mais Tina ne le croyait pas :« Je ne te crois pas. Si tu ne me connais pas, pourquoi m’avoir sauvée ? Et deux fois en plus ! »Aujourd’hui, il l’avait

Tina était partie.Nina s’apprêtait aussi à rentrer avec Lilou.« Allons-y, Lilou, on rentre à l’hôtel. »Lilou a hoché la tête :« D’accord. »Nina a demandé :« Demain, on retourne au Pays F. Est-ce qu’il y a encore quelque chose que tu veux faire ici à Capitale ? »Lilou avait l’air déçue :« On retourne déjà au Pays F, maman ? »« Oui, chérie. »Lilou a dit :« Mais je veux encore jouer avec le beau monsieur. »Les longs cils de Nina ont tremblé légèrement.Elle ne s’attendait pas à ce que Lilou pense encore à Louis.Elle a dit doucement pour la consoler :« Lilou, ce monsieur est très occupé… On ne doit pas le déranger, d’accord ? Je peux aussi jouer avec toi. »Lilou n’a pas eu le temps de répondre que la voix de Chloé a retenti :« Nina, quelle coïncidence ! »Nina a levé les yeux et a vu Chloé.Chloé s’est approchée :« Tu es venue manger ici avec ta fille ? Quelle chance ! Justement, je dîne avec Louis ce soir, sa mère va nous rejoindre pour parler de notre mariage. Tu

À ce moment-là, Louis s’est levé :« Maman, je pense qu’il n’est plus nécessaire de rester ici. Je vais au bureau. »Et il est parti d’un pas décidé.« Louis ? Louis ! » Élodie a crié derrière lui.Chloé l’a regardé s’éloigner, un soupçon d’émotion sombre est passé dans son regard.Depuis trois ans, Louis l’avait traitée froidement.Mais plus un homme lui résistait, plus elle voulait le conquérir.De plus, elle était maintenant héritière de la plus grande fortune du monde. Elle allait gagner son cœur !En y pensant, Chloé s’est tournée vers Élodie :« Élodie, tu as vu comme Louis est froid avec moi !Élodie l’a consolée :« Chloé, Louis a eu tort. Ne t’inquiète pas, je vais bien lui parler ! »Chloé a hoché la tête :« Mais, ne le frappe plus, s’il te plaît. Quand il est blessé, ça me fait de la peine… »Élodie a poussé un soupir :« Tu es trop gentille, ma petite Chloé. »Chloé a continué :« Parce que ce n’est pas la faute de Louis. Tout ça, c’est à cause de Nina. Elle est

Nina a répondu :« C’est un remède que j’ai préparé pour toi. Une pilule par jour, et tu commenceras à ressentir tes jambes à nouveau. Tu pourras peu à peu te remettre debout. »Choquée, Élodie a demandé :« Qu’est-ce que tu as dit ? »Elle n’arrivait pas à croire que Nina ait fabriqué un médicament pour elle.Et elle n’avait jamais imaginé que ses jambes pourraient un jour guérir.La domestique, aussi étonnée, a dit :« Mlle Nina, c’est vrai ? M. Élodie pourrait marcher un jour ? Cela fait plus de vingt ans qu’elle est en fauteuil. Nous avons consulté tous les grands médecins, et tous ont dit qu’il n’y avait plus d’espoir. »Nina a affiché un sourire confiant :« Élodie, passer sa vie en fauteuil est déjà une lourde épreuve. Y a-t-il pire ? Tu peux prendre ce remède sans crainte. Si tu doutes, tu peux aussi le faire analyser par un spécialiste. Cela évitera que quelqu’un ne se serve de ce flacon pour m’accuser à tort. »Élodie n’arrivait pas à se reprendre.Ce que Nina avait fait