Semua Bab Vengeance après le divorce: Bab 111 - Bab 120

OLIVIALa surprise avait recouvert son visage, ses yeux écarquillés, et ses hommes avaient fait un pas vers leur patron, pointant leurs pistolets sur moi. Qu'est-ce qu'ils pensaient que j'allais faire ? Je ne pouvais même pas me battre, et pourtant ils sortaient leurs armes. Il s'était tourné vers eux et les avait foudroyés du regard. Ils avaient baissé leurs armes, les avaient rangées puis avaient reculé.Il s'était retourné vers moi et avait éclaté soudain de rire. Je ne comprenais pas ce qui le faisait rire. Il était fou. « Ça, je peux travailler avec. Mais tu as encore beaucoup à apprendre, les gifles ne fonctionnent généralement pas quand tu as affaire à des méchants. Tu dois apprendre à tirer et à te battre correctement. » Je l'avais regardé.Je savais que j'avais dit que je voulais apprendre, mais je n'avais jamais dit que je voulais apprendre à tirer ou apprendre de lui. Qu'est-ce qui lui avait donné l'idée que je lui demanderais quelque chose ? Je m'étais simplement avancée

MarcusDès qu’on m’a informé des agissements de Jones, j’ai demandé à mes hommes de sécuriser mes fonds. Les entreprises qu’il ciblait ne m’intéressaient pas : elles ne représentaient qu’une infime partie de ma fortune. Ce type ignorait qui j’étais. Il croyait avoir affaire à un homme ordinaire, mais il se trompait lourdement.J’ai été élevé par ma mère jusqu’à mes seize ans, quand des hommes en costard et voitures de luxe sont apparus un jour. Je ne savais ni qui ils étaient ni pourquoi ils étaient là. Leur aura m’a glacé : j’étais un gamin pauvre vivant avec sa mère. Des bagnoles pareilles, je n’en avais vu qu’à la télé chez un pote, faute d’en avoir à la maison.Il y avait chez eux quelque chose que je n’arrivais pas à cerner. Une familiarité, surtout chez celui qui semblait être le patron. Pourtant, je ne l’avais jamais rencontré. Ce jour-là, ma mère m’a appelé et m’a annoncé que cet homme était mon oncle.Je croyais que maman n’avait plus de famille, mais elle m’a expliqué qu’i

OLIVIAJe ne savais pas si j'avais bien entendu ou si j'étais en train de rêver, mais je restai simplement là, attendant qu'il répète. « Parle-moi », disait-il, et j'ouvrais la bouche pour dire quelque chose, mais rien ne sortit. « Je ne suis pas sûre de ce que je suis censée dire. »« C'est une réponse simple que je cherche, un oui ou un non. » Oh, Seigneur, il m'a demandé de l'épouser. Oh mon Dieu. Je n'avais jamais pensé me remarier et cela me convenait très bien. De plus, Marcus et moi venions juste de commencer à sortir ensemble. « Tu ne me connais pas suffisamment bien pour me demander de t'épouser, et puis, nous avons beaucoup de travail à faire. Nick t'attaque et cela signifie qu'il m'attaque aussi. Concentrons-nous là-dessus. »Il ne disait rien et me regardait simplement. Je ne savais pas quoi dire d'autre, donc je pris place et regardai par la fenêtre. « Regarde-moi, Olivia. » Je me tournai pour le regarder. « Ai-je l'air de m'inquiéter de ce que Nick est en train de faire

NICKEthan aimait exagérer les choses. Que pourrait me faire un petit entrepreneur ? Je suis Nick Jones, et je possède plus de richesse que lui. Pourquoi aurais-je peur de lui ? Ethan glissa ses mains dans ses poches et me regarda comme si j'étais le plus grand imbécile qui ait jamais existé. « Quoi ? » Il rit sèchement. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais la referma aussitôt.Je savais ce qui se passait quand il était comme ça. Il essayait de me dire ce qu'il avait à dire de la manière la plus respectueuse possible pour éviter de jurer comme un charretier. « Tu sais que mon entreprise est surtout spécialisée dans la collecte d'informations ? » J'ai hoché la tête comme un enfant de cinq ans.« Tu penses que j'aurais laissé quelqu'un s'approcher d'Olivia sans faire un peu de recherches sur lui ? » J'ai secoué la tête à nouveau. Peut-être que j'étais vraiment le plus grand imbécile qui ait jamais existé. Pourquoi ne m'étais-je pas dit ça ? Pourquoi ne lui avais-je pas dem

NICK« Ne pense même pas à le faire ! » Ethan a hurlé à côté de moi. Il avait peut-être vu mes poings et pensait que je deviendrais fou à nouveau et frappais les portes de l'ascenseur cette fois. Mais ce n'était pas le cas. J'étais en colère de la voir porter sa bague, mais j'ai décidé de ne rien faire. Cela me faisait tellement mal que j'étais engourdi.Je ne savais pas quoi faire, tout ce que je voulais, c'était rentrer chez moi et boire jusqu'à l'inconscience. « Je ne comptais pas faire quoi que ce soit », dis-je. Ethan me lança un regard sceptique, ses mains qui étaient dans ses poches étaient maintenant sorties et pendantes à ses côtés. Il était prêt à tout, s'il savait que la seule chose stupide que je voulais faire, c'était de boire à mort.Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, révélant ma mère. Elle parait choquée de me voir, mais ne dit rien, s'écartant pour nous laisser entrer. Nous étions en silence et restions là. « Qu'est-ce qui est arrivé à ta main ? » demandait-elle.