Semua Bab Vengeance après le divorce: Bab 61 - Bab 70

NICKElle est descendue de la chaise et a commencé à ranger toutes ses affaires. « Je n’ai pas été nerveuse, Nick. Tu m’as juste fait peur, c’est tout. » J’ai observé chacun de ses gestes en cherchant le moindre indice de tromperie. Je me suis demandé ce que toi et ta sœur ont voulu faire à Sandra. « Tu m’avais dit de ne pas me fier à ta sœur, qu’a-t-elle fait ? »Elle a paru très mal à l’aise. « Quoi ? » J’ai laissé échapper un léger rire en te prenant pour une dupe. « Je t’ai demandé ce que ta sœur avait fait pour que tu dises qu’on ne pouvait pas lui faire confiance. »« Oh, eh bien, beaucoup de choses. Elle a été épouvantable, Nick. » Fait curieux, elle n’a pas été capable de me citer le moindre détail. « Épouvantable, comment ? »« Je n’ai voulu en parler, Nick, car cela m’a fait trop mal d’y penser et je t’ai demandé de respecter mon intimité. » Elle s’est emportée. « Eh bien, il n’a pas fallu en arriver là, j’ai voulu simplement que tu comprennes. Comment étais-je censée te

OLIVIAJ'ai laissé flotter ma conscience entre éveil et inconscience. La première fois, j'ai été réveillée par ce qui m'a semblé être de l'eau qui a coulé sur mon front. J'ai eu tant de mal à ouvrir les yeux et à regarder devant moi que, lorsque j'ai aperçu des ombres se mouvoir, mes paupières se sont alourdies et je me suis à nouveau évanouie.Lorsque je me suis réveillée la fois suivante, j'ai été suffisamment lucide pour entendre des voix. Je ne savais pas qui parlaient, mais j'ai entendu l'une d'elles dire : « Elle ferait mieux de ne pas être morte, sinon, si elle meurt, tu la suivras. » Je me suis interrogée en silence sur l'idée que j'allais être morte dans un rêve, et j'ai marmonné : « Qui es-tu ? » Une femme a dû m'entendre, car elle a aussitôt appelé quelqu'un en déclarant : « Elle est vivante, elle parle. » Puis, j'ai sombré de nouveau dans l'inconscience.Le rêve s'est alors transformé. Je me suis retrouvée dans un vaste et magnifique champ parsemé de fleurs sauvages, res

ELODIELe médecin m'a appelée et m'a ordonné de me rendre immédiatement à l'hôpital. J'ai pensé que quelque chose était arrivé à Olivia. En chemin, j'ai prié pour recevoir de bonnes nouvelles, mais la façon dont le médecin m'a parlé m'a fait craindre le pire. Ce serait une véritable tragédie que son fils grandisse sans elle, car Olivia avait tant d'amour à offrir et son fils méritait de le recevoir. J'ai murmuré intérieurement, « Mon Dieu, s'il vous plaît de laisser tout se passer bien pour elle. Pour l'amour de son fils, je t'en supplie. » Autrefois, je trouvais ridicule que l'on implore le Seigneur pour ce genre de choses. Chez nous, on avait pour slogan que certains meurent et d'autres vivent. Jadis, la mort faisait partie de ma vie, mais aujourd'hui, l'idée de ne plus avoir Olivia parmi nous m'était insupportable.Arrivée à l'hôpital, j'ai couru à l'intérieur et me suis précipitée vers l'ascenseur, désireuse d'atteindre le service dans lequel se trouvait Olivia le plus vite pos

NICKUne semaine s'est écoulée et Olivia ne s'est toujours pas réveillée. Cela me rendait fou. J'ai tout essayé pour la faire sortir de son sommeil. J'ai demandé à la nounou d'amener Samuel à l'hôpital pour qu'il puisse la voir et lui parler, en espérant qu'elle se réveillerait, mais elle ne s'est pas réveillée. J'ai même laissé Marcus entrer dans sa chambre pour lui parler. Maman et papa ont également essayé, mais ma belle épouse est restée endormie.Ethan a été libéré il y a quatre jours, mais lui aussi vivait à l'hôpital, comme moi. Je travaillais pendant la journée et, la nuit, je restais à l'hôpital avec ma femme. Marcus et Ethan se relayaient pendant le service de jour quand j'étais au travail, veillant sur elle. Nous avons adopté l'hypothèse que si la personne qui les avait fait déraper voulait la tuer, alors il réessaierait.Pour le bien-être d'Olivia, nous avons mis de côté nos différends et travaillé ensemble pour la protéger. Au cours de cette semaine, j'ai constaté combi

NICKTout mon corps a tremblé de colère, et je me suis détaché du mur. J’ai poussé un juron en déclarant avec rage : « Je vais la tuer, putain ! » J’ai déboulé devant Ethan et, au tournant d’un coin, ma sœur est apparue de nulle part. « Eh, c’est quoi ce bordel ? » j'ai lancé, seulement la voyant me donner la nausée. « Écarte-toi, putain ! » ma voix a résonné, dangereusement basse et menaçante.« OK, bordel ! » elle a cédé le passage. J’ai fait un pas en avant, mais Ethan m’a saisi le bras pour m’en empêcher. « Pourquoi tu ne m'as pas tout dit plus tôt ? J’aurais pu te révéler la vérité et t’éviter la plus grosse erreur de ta vie. »« Elle m’a bien persuadé de ne pas te dire tout ça, putain ! J’ai cru ses conneries, et son médecin a tout confirmé ! Qu’est-ce que j’étais censé penser ? »« Donne-moi le nom du médecin, j’irai voir. Je veux savoir pourquoi il a menti. » Tout cela formait un véritable réseau de mensonges, et même son médecin était impliqué. Je me suis rappelé ce jour o