Semua Bab Vengeance après le divorce: Bab 71 - Bab 80

NICKPendant que nous nous sommes lancé des regards noirs, des médecins ont défilé en courant en direction de la chambre d’Olivia, comme si cela avait été prévu. Nous y avons tous les trois couru, mon cœur battait déjà la chamade, inquiet que quelque chose ne lui soit arrivé pendant que nous nous disputions. Une fois arrivés, nous nous sommes postés devant la porte et avons observé le médecin qui avait retiré les tubes de sa bouche.Ses yeux étaient fermés et, pendant une minute, j’ai cru qu’elle était morte. Mon cœur s’est serré au fond de moi et mes genoux se sont faits faibles. Ce n’est qu’après qu’elle a toussé que mon univers s’est éclairé à nouveau. J’ai avancé, et elle m’a lancé un regard renfrogné. Je me suis arrêté, me rappelant que nous n’étions pas en bons termes.Ma sœur avait eu raison, c’était moi qui m’approchais trop d’Olivia, et elle n’avait pas été là avec moi. Elle ne savait même pas ce qui s’était passé ces deux dernières semaines. « Eau, » a-t-elle soufflé d’une

OLIVIAJ'ai apprécié les mots d'Ethan, il a toujours su exactement quoi à dire pour apaiser mes nerfs. Il a été ma force. Mais même si je l'admirais pour son soutien et son aide, j'ai su au fond de moi qu'Ethan était l'homme de Nick et non le mien. Cet homme n'aura jamais fait quoi que ce soit pour blesser son ami. Il a pu se fâcher contre lui parfois, et pour diverses raisons, mais au final, sa loyauté se trouvait auprès de son meilleur ami.« J'ai vu que tu pleurais, de quoi qu'il s'agissait ? Je peux faire venir le médecin pour te donner quelque chose contre la douleur, » Marcus a déclaré, quel gentil est cet homme, il est entré dans ma vie pour m'aider à sortir d'une situation difficile.« Je pense que les Ryan ont été impliqués dans ce qui est arrivé à l'entrepôt », il a ajouté en haussant un sourcil, comme s'il pensait que j'avais perdu la raison. « Réfléchis-y, les Ryan n'étaient pas contents lorsque j'ai renoncé à l'affaire. Ils voulaient se venger des Jones au point de leur

ELODIEMes mains ont tremblé le long de mes côtés pendant que je continuais à le regarder. Il a tellement grandi qu’il a eu des cheveux gris sur la tête et dans la barbe, mais il a gardé les mêmes yeux terrifiants dans lesquels j’ai toujours évité de plonger mon regard. La dernière fois que je l’ai vu, il m’a pointé une arme sur la tête. Sa main a tremblé de colère et ses yeux ont ressemblé à ceux d’un prédateur observant sa proie se faire emporter.La colère avait enveloppé ses traits, et j’ai compris qu’il voulait du sang, pas n’importe lequel, mais le mien. Je n’ai jamais compris cela, j’ai cru qu’il m’aimait, qu’il ferait tout pour me protéger. Mais ce jour-là, le frère protecteur que je connaissais avait disparu pour laisser place à un monstre qui voulait ma mort.Un sourire est apparu sur son visage, et même cela a glacé mon sang. Il a ouvert les bras, et j’ai regretté de ne pas avoir apporté d’arme. J’avais pensé pouvoir simplement faire peur à Faren pour qu’elle me dise avec

ÉLODIEJe me suis demandé comment de merde ces deux-là avaient pu découvrir où j’étais. Mon cœur a failli sortir de ma gorge quand Nick est arrivé à la porte, suivi de son père. J’étais persuadée que Luke ne laisserait pas ces hommes quitter les lieux.« Quelle belle famille que tu as ici, petite sœur. Dommage que ton riche garçon soit encore un lâche. » Il avait éclaté de rire en se penchant en arrière.« Sérieusement, je ne comprends pas ce que tu as vu en cet homme. Tu as tout abandonné, ta réputation, ton héritage, et un putain de bon style de vie, pour quoi ? Un lâche qui tremble aux éclats dès qu'il voit le danger ? » il avait secoué la tête. Il n’aurait jamais compris, et je n’avais même pas attendu qu’il essaie.« Tu ne comprends pas, frère. L’amour peut faire paraître tout cela dérisoire face à sa puissance. » La colère avait flambé dans ses yeux. « Je te défie de me dire une fois de plus que tu ne comprends pas. Vas-y, dis-le. » La menace dans sa voix avait été évidente.

OLIVIAIl a agrippé sa poitrine en se penchant légèrement, son visage s'est tordu pour m'indiquer qu'il souffrait. Ses yeux se sont fixés sur moi, et j'y ai lu toute la douleur. J'ai regardé cet homme chanceler, perdre peu à peu de la force dans ses jambes, peinant à se maintenir debout. Bientôt, ses genoux l'ont lâché et il est tombé au sol. Je suis restée assise un instant, incapable de comprendre ce qui se passait.J'ai alors pressé le bouton d'urgence à côté de mon lit, et en quelques instants, ma chambre s'est remplie de médecins et d'infirmières qui se sont précipités pour le soigner et pour me demander ce qui s'était passé. Je n'ai pas trouvé les mots, j'ai gardé le silence. Rapidement, ils l'ont sorti de ma chambre, et j'ai fermé les yeux en me laissant retomber sur mon lit.Nick n'était plus mon problème, quoi qu'il lui arrive, cela ne concernait plus que sa propre famille. Ils prendraient soin de lui et informeraient ses proches. Pour ma part, il ne me restait plus qu'à pense