All Chapters of La Princesse Mafia des Bikers: Chapter 61 - Chapter 70

Je l'embrasse passionnément, mordant sa lèvre inférieure que je garde entre mes dents.Il se retire et je gémis.« Retourne-toi, bébé. »Pas besoin de me le répéter deux fois.Je me tourne et prends appui contre le mur, en me cambrant vers lui tandis qu'il me pénètre par derrière.Il grogne, ses mains agrippant fermement mes hanches alors qu'il s'enfonce brutalement en moi.« J'adore voir ma queue disparaître dans cette chatte si serrée et si douce. À qui appartiens-tu, Angèle ? Dis-moi. »Je gémis en me poussant plus fort contre lui quand sa main s'abat sur ma fesse.Je rejette ma tête en arrière, haletante.Putain, ça fait du bien.« À toi, je t'appartiens. Maintenant arrête de parler et baise-moi. » je grogne, et il rit tout en me donnant une autre fessée.Je me mords la lèvre, tandis que mes yeux se révulsent de plaisir.Ouais, j'aime qu'on me donne la fessée, qu'on m'attache, qu'on m'étrangle.Tout ce qui est un peu sauvage.Nous sommes encore en train d'apprendre à nous connaî

Point de vue d'AngèleLa fête bat son plein. Rebel est adorable dans sa robe de princesse rose à jupe de bal. Ses cheveux bouclés cascadent le long de son dos. Une tiare en plastique argenté ornée de faux bijoux couronne sa tête, et aucune tenue de princesse ne serait complète sans des chaussures scintillantes.Les filles du club se sont portées volontaires pour incarner les princesses Disney aujourd'hui, et elles font un travail remarquable. La cerise sur le gâteau, c'est de voir Ryder habillé en prince, vêtu d'un costume blanc. Il est actuellement en train de danser avec notre petite princesse.Le voir, et voir la manière dont il est avec elle, c’est tout simplement magnifique. Peu importe ce qu'il fait, il trouve toujours du temps pour elle. Dehors, nous avons des poneys blancs équipés de cornes de licorne, des tables de pique-nique alignées avec des nappes blanches et roses. Nous avons même mis en place des stands de jeux pour les enfants et les adultes, des châteaux gonflab

« Attends un peu que ton ventre se voie, là je me moquerai de toi. Ces motards sont tellement possessifs, c'est dingue. »Elle me pointe du doigt, et je hausse les épaules. Ça ne peut pas être pire que mon père avec ma mère quand elle était enceinte de Nicolas. Tout ira bien.De toute façon, tous les mâles alpha se ressemblent. Maman n'avait pas le droit de lever le petit doigt. Papa était à ses ordres jour et nuit. Bon sang, il la portait même partout. Ça provoquait des disputes entre eux, surtout quand il l'a surprise dans la cuisine à minuit, en train de s'empiffrer de glace.Ce n'était pas la glace le problème. C'était que maman était descendue sans lui et, selon ses dires, n'importe quoi aurait pu lui arriver. Je m'étonne qu'elle n'ait pas braqué son flingue sur lui pour le punir d'être aussi étouffant. Maman a toujours été indépendante, elle détestait qu'on la materne. Finalement, il a cédé un peu, mais pas beaucoup. Je saurai parfaitement gérer Ryder s'il commence a

Nos familles sont là, observant Angèle qui passe devant eux en chemise d'hôpital, pieds nus.C'est à ce moment que je la vois prendre un pistolet des mains de son oncle en le croisant.« ANGÈLE, ARRÊTE ! » je crie quand elle s'immobilise, juste avant de pousser la porte.« Pourquoi tu lui as donné une putain d'arme ? » je hurle à Gianni qui se contente de ricaner.« Je lui ai aussi donné les clés de mon SUV. Elle a besoin de faire ça », répond-il, et je le frappe.Je me fous complètement d'avoir frappé le bras droit d'Antonio.Je cours après elle et j'entends des cris, tandis que les gens s'écartent sur son passage, voyant cette femme qui marche avec une arme à la main.Le sang séché forme des traînées le long de son bras jusqu'à ses doigts.Je la rattrape, la saisissant par les épaules alors qu'elle lève son visage baigné de larmes vers moi.« Elle nous a pris nos enfants. Je vais prendre sa vie », murmure-t-elle tandis que je la serre contre moi et couvre son visage de baisers.« O

« Ramène-la-moi. S'il te plaît. Ryder, promets-moi que tu la ramèneras à sa famille. »Il hoche la tête avant de déposer un baiser sur mon front.« Dors, tu dois guérir. »Je me laisse emporter par le sommeil, mais des cauchemars m'assaillent, me montrant ce que cette malade pourrait faire subir à mon innocente petite fille de trois ans.Je me réveille à nouveau et il fait jour.Je lève mes bras, les menottes ont disparu, mais Ryder aussi.La panique me saisit. Je me lève, gémissante de la douleur fulgurante au ventre.La porte s'ouvre et je me tourne pour voir qui entre.C'est lui.« Qu'est-ce que tu fais debout ? » demande-t-il en posant les boissons et le sac de nourriture qu'il tient.« Toilettes. »Il acquiesce d'un signe de tête.Je passe un bras autour de ses épaules tandis qu'il me soulève et me porte jusqu'à la salle de bain.Il m'aide à faire ce que j'ai à faire, aussi embarrassant que ce soit.Je n'ai pas assez de forces pour me tenir debout toute seule pour le moment.Un