Lahat ng Kabanata ng Après avoir fait semblant d'être amnésique, mon fils m'a appelée Tata: Kabanata 1 - Kabanata 10

Yann a ouvert rapidement le porridge et l'a placé sur la petite table, en arrangeant soigneusement les cuillères et les serviettes.« Voici de l'eau tiède et voici du pain aux œufs que tu préfères. Tu manges d'abord et je vais préparer un café pour toi. »J'ai accepté ses soins en toute tranquillité, car depuis que j'avais rencontré Yann, qui avait été ramené par mon grand-père lorsque j'avais 15 ans, il était automatiquement devenu mon plus fidèle serviteur.Après quelques bouchées, j'ai senti mes maux d'estomac s'atténuer.Quand j'ai levé les yeux, j'ai vu Yann avec des yeux rouges.« Tu ne le sais même pas, j'allais mourir de peur quand j'ai appris la nouvelle de ton accident de voiture. »Les lèvres de Yann tremblaient et sa voix était teintée de quelques sanglots.Le bout de mon nez s'est instantanément chargé d'un peu d'aigreur.Tout le monde avait peur d'un accident de voiture.J'avais eu la chance de ne pas être blessée.J'avais peur que Fabien et Martin s'inquiètent pour moi,

Pourtant, en fermant les yeux, tout semble avoir été fait hier.Ce jour-là, il y avait de l'orage.Fabien et moi étions sur l'autoroute.Quelqu'un avait appelé Fabien et j'avais pu entendre clairement la voix à l'autre bout du fil.« M. Fabien, il y a un groupe de collecteurs de dettes qui veulent aller causer des ennuis à la famille des Baudet. Ils sont allés déranger Mlle Laura. »Fabien m'a jeté un regard de travers.Je savais qu'il ne me demandait pas la permission, il me disait qu'il allait chez les Baudet pour retrouver Laura.La direction que nous prenions était opposée à celle de la famille des Baudet.J'ai chuchoté :« Dépose-moi à l'entrée de la zone de service, je prendrai moi-même un taxi pour rentrer. »Dès que j'étais sortie de la voiture, j'étais trempée jusqu'aux os, même si j'avais rapidement brandi mon parapluie.La Bentley noire était passée en trombe devant moi, m'éclaboussant d'eau.C'était un jour pluvieux.Et la voiture que j'avais percutée, parce qu'elle était v

Je ne reviendrais pas plus tard.Stéphanie se tenait à la porte et me regardait tranquillement en essuyant ses larmes.« Mme Clara, vous partez vraiment ? »Stéphanie était là quand j'avais emménagé.Elle avait été si gentille avec moi, elle m'avait pratiquement chouchoutée comme si j'étais sa fille.Je supposais que Stéphanie était la seule personne ici à verser des larmes sur mon départ.J'ai pris la main de Stéphanie dans les deux miennes et j'ai souri légèrement en disant : « Tu devrais me féliciter, c'est une bonne chose pour moi. »Fabien a effectivement agi et a rapidement procédé au partage des biens.J'ai utilisé l'argent sur mon compte pour acheter un grand appartement de deux cents pieds carrés que je regardais depuis un mois.L'ancien propriétaire de cette maison avait émigré et cette maison était déjà rénovée dans un style romantique français.J'en suis tombée amoureuse tout de suite, et comme je n'avais pas besoin de la décorer moi-même, je pouvais emménager le jour même.

La peau de Yann était blanche et délicate.La toucher devait être très agréable, peut-être qu'une force un peu plus forte laisserait des marques rouges.Sa robe de chambre était ouverte assez bas pour que je puisse voir la moitié de sa poitrine. Il y avait des marques de gymnastique et une poitrine blanche et bombée...Même en hauteur, je pouvais voir une couleur rose séduisante.Rien qu'en le regardant, j’étais bien à l’aise.Si je mordais Yann de façon intense, peut-être qu'il irait même pleurer...Mon visage a rougi instantanément à la pensée de l'image que j'avais en tête.J'ai secoué la tête frénétiquement, essayant de chasser l'image.Je devais être ivre et avoir un peu perdu la tête...Je venais de me pencher avec l'intention de le recouvrir d'une couverture lorsque j'ai levé les yeux et j'ai soudainement croisé son regard profond.Effrayée, un instant chancelante, je me suis jetée sur le corps de Yann juste à temps pour que mon visage soit enfoui dans ses pectoraux et sa poitr

Martin était tellement libre qu'il s'est glissé dans l'embrasure de la porte et s'est assis sur le canapé.Il avait complètement oublié que la dernière fois qu'il était venu me voir, il m'avait dit de me mettre à genoux et de lui demander pardon.Martin a feuilleté l'album de photos et m'a attirée vers lui.« Regarde, maman, c'est moi quand j'étais encore dans ton ventre, et ça, c'est une photo de moi nouveau-né, c'est mignon, n'est-ce pas ? Grand-mère disait que j'étais le bébé le plus mignon de tout l'hôpital. »Il voulait éveiller mon amour maternel pour lui.Mais lorsque j'ai regardé les photos, je n'ai eu que des yeux pleins de chagrin pour moi à cette époque.Sur la photo, j'étais très mince, mais mon ventre était très haut.À cette époque, j'étais tellement torturée par le mal de grossesse que je vomissais tout.Tout mon corps était émacié, mes cheveux étaient secs et Martin était particulièrement méchant, me donnant toujours des coups de pied au milieu de la nuit.Je n'ai pas p