Semua Bab L'ALPHA DE MON CŒUR : Bab 41 - Bab 50

Chapitre 42: Le piège La veille du piège, tout semblait étrangement calme dans la meute. Trop calme. Le banquet était terminé, les festivités s’étaient éteintes, et la Lune blanche, haute dans le ciel, baignait les bois d’un éclat spectral. Dans cette atmosphère feutrée, Elisara était le masque parfait de la compagne idéale : douce, attentive, presque amoureuse.Elle s’était blottie contre Driven dans le lit, la tête sur son torse, comme une épouse comblée. Mais dans son esprit, les pensées se heurtaient et s’entrechoquaient avec violence.« Demain… tout sera terminé. S’il me suit. S’il ne change pas d’avis. S’il ne sent pas la peur dans mes veines. »— Tu es bien silencieuse ce soir, murmura Driven, sa main glissant lentement dans ses cheveux.Elle releva légèrement la tête et lui offrit un sourire tendre. Presque coupable. C’était si facile de simuler l’attachement, maintenant. Tellement simple de mentir.— Je pensais… qu’on pourrait s’éloigner un peu demain soir. Juste toi et moi.

Chapitre 44: L'ALPHA est tombé Dans la grande salle du conseil de la meute, les murs résonnaient du tumulte des loups rassemblés, l’air chargé d’une tension glaciale. L’odeur de la peur, de la tristesse et de la confusion flottait dans l’atmosphère. Les bêtas, les guerriers, les anciens, les familles… tous étaient venus après l’appel d’urgence lancé par leur Luna, Elisara.Vêtue de noir, le regard voilé par une douleur soigneusement maîtrisée, Elisara s’avança vers l’estrade centrale. Elle se tenait droite, fière, les traits tirés par les heures sans sommeil, les pensées alourdies par la culpabilité.Son regard balaya la foule silencieuse. Tous attendaient. Des murmures naissaient, s’étouffaient. Puis elle leva la main, et le silence se fit.— Peuple de la meute de la Lune Blanche …Sa voix vibrait de gravité, ferme mais tremblante à peine. Son cœur battait trop fort. Elle sentit l’écho d’un frisson la traverser, mais elle tint bon.— Cette nuit, alors que l’Alpha Driven et moi-même

Chapitre 45 : Le Fantôme Le moteur de la voiture d’Elisara grondait alors qu’elle roulait à vive allure à travers les bois, suivant le sentier qui menait au domaine reculé de la famille de Riven. Les arbres défilaient dans un flou vert et gris, mais elle ne voyait presque rien. Son esprit n’était qu’un torrent de questions, de doutes, de peur.Si son corps n’a pas été retrouvé… s’il est encore vivant… s’il revient, s’il se venge…Son cœur tambourinait dans sa poitrine, comme si chaque battement menaçait d’éclater ses côtes. Elle avait cru avoir tout contrôlé. Elle pensait avoir gagné. Mais là, tout basculait à nouveau.Quand elle arriva devant le manoir de pierres sombres, deux gardes vinrent immédiatement à sa rencontre. Sans un mot, elle descendit, le visage fermé, les yeux rouges de fatigue et d’angoisse. Ils la laissèrent passer, la reconnaissant sans difficulté.Elle traversa les couloirs jusqu’à une grande porte de bois massif. Elle frappa une fois, deux… avant d’entrer sans at

Chapitre 47 : Il repend des forces. Dans l'obscurité de la cabane , le vieux était penché sur le corps étendu de Driven. Le souffle du loup était encore irrégulier, mais plus profond, plus stable. Les herbes chauffaient doucement dans une marmite de fer, diffusant une odeur amère et médicinale dans la pièce.Soudain, un gémissement rauque s’échappa des lèvres de Driven. Son front plissé de douleur, ses doigts se crispèrent contre la couverture. Puis ses paupières lourdes se soulevèrent, révélant des yeux troubles et fatigués, mais vivants.Le vieux homme s’approcha aussitôt.— Tu es en sécurité, murmura-t-il d’une voix calme. Tu as eu de la chance… Une lame a failli t’arracher à la terre.Driven, haletant, tourna légèrement la tête, grimaçant de douleur. Il fixait le vieil homme, comme s’il sortait d’un cauchemar. Sa voix fut basse, brisée :— Tu ne dois rien dire… à personne. Pas un mot. Ils doivent croire que je suis mort…Le vieux l’observa un instant, surpris, puis hocha lentemen

Chapitre 49 : Rempli moi ! « Fuuuuck, Elisara . Tu es si serrée, » gémit-il en sentant sa chatte résister à son avancée insistante, ses parois s'enroulant étroitement autour de son membre.Il éloigne sa main de la tige de son pénis et commence à frotter furieusement son point sensible. Les spasmes que son contact frénétique envoient à travers elle la poussent à reculer ses hanches vers lui, aidant son membre à se glisser plus profondément en elle, alors que ses cris de plaisir teintés de douleur résonnent dans la chambre.Riven grogne alors qu'il se bat avec son loup pour prendre le contrôle. Il est convaincu qu'il devrait simplement s'enfoncer avec force en elle. Dans son esprit, c'est parfaitement logique ; cette façon de faire prolongerait son agonie, mais s'il se forçait à entrer, elle s'adapterait à lui en se déplaçant lentement après la douleur initiale.Riven réussit à enfoncer la tête de son sexe en elle, un véritable miracle. Il lutte contre l’envie irrésistible de s’enfonce