Semua Bab Coup D'un Soir: Bab 21 - Bab 30

Elle savait à ce moment-là que The Hills Group International était l'entreprise de Javier, et la personne qui l'avait contactée avait prétendu qu'il s'agissait de l'ordinateur portable du président, elle savait donc qu'elle allait réparer l'ordinateur portable de Javier. Elle a donc pris la peine d'enfiler de la lingerie et un long manteau, de mettre des talons hauts, de monter dans sa voiture et de se rendre à l'entreprise.Elle s'est approchée de la réceptionniste et s'est présentée. Ce n'était pas la première fois qu'elle rencontrait Gabrielle. Elles ont échangé des salutations, puis elle a demandé où se trouvait le bureau du président. Elle a suivi les instructions de la réceptionniste. Son sac contenant son matériel traînait derrière elle. Elle a pris l'ascenseur jusqu'au dernier étage. Le dernier étage était très calme, on n'entendait que le cliquetis d'une pièce de monnaie. Elle vit une femme entrer dans le bureau de Javier. La seule chose que l'on pouvait entendre à cet étage

~Point de vue de Sandra~« Maman, je t'ai appelée toute la journée, mais je n'ai pas réussi à te joindre. Je crois que j'ai retrouvé la mère du bébé de Javier. »« Où l'as-tu vue ? Est-elle plus belle que toi ? Sa famille est-elle plus riche que la tienne ? »« Elle est magnifique, mais ce n'est qu'une jeune femme. Je ne sais rien d'elle, sauf qu'elle conduit une voiture plus chère que la mienne.« Comment est-ce possible ? »« Je ne sais pas, maman, mais cette femme odieuse est propriétaire de la voiture qu'elle conduit. »« Cette femme lui a donné une voiture, pas toi ? Est-il possible que cette femme veuille que Javier reste avec la mère de son enfant ? Cela n'arrivera pas. Je te donnerai quelque chose demain à l'aube, tu t'en serviras intelligemment et tu me rendras compte. »Sandra se moquait bien de ce qu'elle devait faire ; tout ce qu'elle voulait, c'était devenir la femme de Javier, à n'importe quel prix. J'ai besoin de baiser. Elle sortit son téléphone et composa un numéro.«

~Point de vue de Javier~Je pensais que nous étions frères, mais tu n'as rien dit jusqu'à aujourd'hui. Quand j'ai compris que tu étais son petit ami, ma vie est devenue un chaos. Je t'ai dit beaucoup de choses. Comment as-tu pu garder ton sérieux devant moi alors que tu souffrais ? Je ne voulais pas d'elle, tu le savais. Tu connaissais mes intentions dès le début. Le jour où j'ai préparé le dernier barbecue chez moi, c'est le jour où je vous ai surpris en train de baiser dans le débarras de ma maison. Je n'étais pas en colère, je voulais simplement que vous me disiez la vérité. Le même jour, j'ai rencontré l'amour de ma vie, une femme qui a révolutionné ma vision de l'amour. Elle était innocente et jeune, et je ne m'attendais pas à ce qu'une petite fille me change autant, mais Gabriella l'a fait. Elle était tellement terre-à-terre, mais après l'avoir rencontrée, j'ai eu un accident et nous avons perdu contact ; je suis parti à sa recherche, mais elle était enceinte et avait abandonné

Javier commençait à ressentir quelque chose. Pourtant, il resta assis. Sandra s'approcha pour s'asseoir à côté de lui et lui versa un verre, ce qui lui fit très plaisir. Cela ne le dérangeait pas du tout, bien au contraire. Il savait qu'il détestait Sandra, alors il but tout ce qu'elle lui offrait. Il ressentit alors le besoin d'aller aux toilettes. Il quitta donc la pièce et, tandis qu'il se dirigeait vers les toilettes, il sentit que quelque chose n'allait pas. Ses jambes devenaient difficiles à supporter. Il se traîna jusqu'aux toilettes. Dans le brouillard, il se dirigea directement vers le lavabo et s'apprêtait à se rincer le visage lorsque la porte des toilettes s'ouvrit brusquement dans un grand fracas ! Javier aperçut Sandra dans le miroir et leva la tête avec une grimace. Elle avait légèrement déboutonné son manteau, dévoilant son décolleté. Il détourna le regard et se frotta le visage avec colère.Comment puis-je être aussi nul ? Aujourd'hui, je tombe sur cette fille désagré

~Point de vue de Javier~J'étais fou de joie quand j'ai vu Gabriella nue devant moi. C'était quelque chose que j'attendais depuis des mois. Je l'ai entraînée vers le lit. Je l'ai embrassée passionnément.Mes baisers étaient un peu brutaux. Gabriella s'en moquait, car elle avait besoin de s'habituer à moi de toute façon. Nos langues et nos lèvres se sont mêlées et ont lutté. Avec mes traits ciselés, j'ai saisi ses seins lourds, j'ai modelé et pressé sa peau délicate. Elle a murmuré pendant notre baiser. J'ai pressé ses tétons, puis j'ai pinçé et plié ses seins déjà sensibles. J'ai poussé ses seins encore plus fort et j'ai interrompu notre baiser. La chaleur de mon corps se transmettait maintenant au sien et elle respirait fortement. Son esprit était clairement confus, comme je pouvais le voir. Sa chair était en feu et son visage rouge tomate fut soudainement envahi par les flammes. J'écartai ses jambes avec force.La vue de ce désir absolu et de cette possession ne fit qu'attiser le fe