All Chapters of JE TE VEUX SOUMISE: Chapter 331 - Chapter 340

Gwen rit. « Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça, ça fait juste un mois, peut-être que tu réfléchis trop ces derniers temps, c’est pourquoi. Ne sais-tu pas qu’un bébé ne peut pas survivre dans un environnement stressé ? Quand une mère est stressée, l’utérus devient un peu trop chaud et cela peut tuer les spermatozoïdes. Alors détends-toi et tu verras la magie. Je ne suis pas médecin, mais c’est ce que je pense. » Tiana éclata de rire à la théorie de sa sœur.« Je vais certainement suivre ta prescription. » Elles rirent, puis Gwen regarda autour d’elle dans la chambre. Elle était magnifiquement meublée. Elle s’approcha et ouvrit son placard.« Waouh ! » s’exclama-t-elle en voyant que le placard était rempli de vêtements et de chaussures.« Je les ai choisis spécialement pour toi puisque tu venais, mais ne t’inquiète pas, tu peux en prendre de nouveaux si tu ne les aimes pas, je prends tout en charge. »Gwen sourit et étreignit Tiana dans un câlin.« Que ferais-je sans toi ? Tu es la meill

« Bébé, tu m'appelles grosse ? » ses yeux s'écarquillèrent de surprise. Nicklaus secoua la tête pour la corriger, mais elle continua immédiatement :« Je suis grosse ? Comment ça, je suis grosse ? Est-ce que je parais grosse ? »« Non, non, belle, tu n'es pas grosse, tu n'es même pas proche de l'être, tu as juste ajouté un peu de chair, c'est tout. »« Voilà, c'est confirmé, je suis grosse, tu dis ça juste pour me consoler, » dit Tiana en faisant la moue, elle le lâcha et se dirigea vers le miroir pour se regarder. Nicklaus ne savait pas que les femmes détestaient qu'on leur dise qu'elles étaient grosses, jusqu'à ce moment-là. Elle n'était pas grosse, elle n'était même pas proche de l'être, elle avait juste pris un peu de poids, et seulement aux bons endroits.Et lui, il adorait ça, mais peut-être qu'il l'avait complimentée de la mauvaise manière.S'approchant d'elle près du miroir, il la prit par la taille :« Tu n'es pas grosse, tu n'es même pas proche de l'être. Tu as juste pris un

« Chérie, mange ça, c’est bon pour ta santé. »Nicklaus murmura en plaçant des feuilles de laitue dans l’assiette de Tiana.Tiana lui lança un regard furieux, car elle savait qu’il savait qu’elle détestait la laitue, mais elle la mangea quand même. C’était un murmure, mais suffisamment fort pour que Gwen l’entende.C'était un joli nom… un nom plein de tendresse, pensa Gwen. Ce n'était pas qu'il l'appelait ainsi, mais la façon dont il prononçait ce mot, comme s'il la considérait comme la chose la plus belle au monde.Un sentiment de jalousie traversa son cœur, mais elle sourit. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne soit celle qu'il appellerait ainsi.Il était si désireux de l'aider, ce qui signifiait qu'il l'appréciait. Il ne cligna même pas des yeux lorsqu'il la regarda, et Gwen sentit ses joues rougir à cette pensée. S'il continuait à la voir tous les jours de cette manière, il finirait sûrement par tomber amoureux d'elle.…Tiana et Nicklaus remontèrent à l'étage. Dès

Claire descendit lentement de la voiture, un léger soupir quittant ses lèvres. C'était le sixième jour, et demain, leur sort serait scellé. Ils avaient vécu chaque journée comme si rien n’allait se passer. Ils avaient profité de chaque instant, cherché le bonheur sous toutes ses formes, mais désormais, l’échéance approchait, et son cœur n’était pas en paix.Toute la journée au travail, elle n’avait pas pu se reposer ; elle n’avait même pas réussi à se concentrer sur quoi que ce soit, mais en même temps, elle ne voulait pas rentrer chez elle. Elle ne voulait pas entendre ce qu’il allait lui dire.Est-ce qu’il allait partir ? Ou allait-il rester ?Ils avaient deux options mais, en réalité, aucune. Il n’était tout simplement pas envisageable qu’elle le laisse mourir.Elle resta au bureau jusqu’à plus de vingt heures avant de se décider à rentrer. Claire se tint devant sa maison tandis que la brise froide transperçait sa peau. Elle fixa la façade jusqu’à ce que ses yeux la brûlent, puis e

Après un moment de repos, elle alla nager. En séchant ses cheveux mouillés, elle marchait vers sa chambre quand elle aperçut son père jouant au golf. Elle s’immobilisa et se tourna vers lui.Elle vit la surprise traverser ses yeux lorsqu’il la vit.— Oh… Claire, tu es là, lança-t-il avec un sourire éclatant, comme s’il ne savait pas pourquoi elle était revenue.Claire le fixa en silence, sans répondre.— Tu peux demander à tes gardes de partir, ou les laisser écouter ce que j’ai à te dire. C’est ton choix.Elle alla droit au but, zappant les politesses. Le sourire de son père s’effaça. Il fit un signe aux gardes, leur indiquant de s’éloigner.Claire attendit qu’ils soient hors de portée de voix avant de parler :— Nous ne sommes plus ensemble.Son père se racla la gorge.— C’est bien que tu aies réalisé ce qui est le mieux pour toi.Claire éclata de rire.— Non, non, Monsieur le Président, tu te trompes complètement. Je n’ai jamais dit que j’allais épouser celui que tu as choisi.Le v