Semua Bab Après la faillite, mon mari est devenu mon bienfaiteur: Bab 11 - Bab 20

Dès qu'il est entré dans la chambre, il m'a plaquée contre la porte et m'a embrassée profondément. Sa main glissait le long de ma taille. J'étais complètement troublée par ses baisers, mon esprit devenait confus, presque dans un état second.Il s'est soudain penché près de mon oreille et a murmuré avec un sourire : « Tu t'es habillée si sexy aujourd'hui, c'est pour qui que tu veux attirer l'attention ? » Je ne lui ai rien répondu.Il m'a ensuite emmenée sur le lit et, en deux gestes, il a arraché ma robe.Ses yeux profonds brillaient d'une intensité dure : « C'est parce que tu sais qu'il rentre aujourd'hui, alors tu t'es mise sur ton trente-et-un pour le voir ? » J'avais envie de lever les yeux au ciel, mais je craignais de l'énerver encore plus.Alors, j'ai juste répondu d'une voix étouffée : « Moi, quand est-ce que je me suis mal habillée, hein ? » Il a émis un grognement, son expression est devenue glaciale et méprisante.Soudain, mon téléphone a de nouveau sonné, c'était encore

Les sourcils d'Antoine se sont immédiatement froncés, et son visage s'est assombri d'un coup.Il a gloussé : « C'est ça que tu veux, que je reste avec elle ? » J'étais complètement sans voix.Ses paroles étaient vraiment bizarres.Qu'est-ce que ça voulait dire, que je souhaitais qu'il soit avec son premier amour ? Ce n'était pas lui qui voulait rester avec elle, dès le début ? Et si je lui avais dit de ne pas aller la voir, est-ce qu'il ne l'aurait vraiment pas fait ? Hum, moi, la maîtresse qu'il avait détestée, avais-je vraiment eu toute cette influence ? Alors que je me tourmentais intérieurement en me moquant de moi-même, l'homme s'est soudain levé de dessus moi.Il a allumé une cigarette, la voix glaciale : « Tu veux que j'aille vite chercher une autre femme, et toi, tu es toute impatiente de voir Nicolas dans mon dos ? » « Non, arrête de faire des suppositions ridicules ! » On disait que les femmes étaient toujours pleines de doutes et s'imaginaient tout.Eh bien, cet homme

Nicolas, le regard profond et chargé d'émotion, me fixait intensément, tandis que sa main posée sur la table se serrait légèrement, trahissant une tension à peine dissimulée.J'ai alors laissé échapper un souffle doux, puis murmuré : « Désolée. » Nicolas a détourné légèrement le visage, a esquissé un sourire léger, puis a dit d'un ton calme : « Il n'est pas nécessaire que tu t'excuses. Entre nous, il n'y a jamais eu de véritable relation. Que tu sois tombée amoureuse de lui, cela n'a en aucun cas été une trahison à mon égard. » Je ne savais pas si c'était une illusion de ma part.Quand il a prononcé ces mots, dans ses yeux d'habitude si doux, une lueur sombre, presque imperceptible, avait furtivement traversé son regard, une sorte de froideur inquiétante.Mais comment cela pouvait-il être possible ? Lui, qui était toujours poli et courtois, au caractère calme et chaleureux, qui n'avait jamais affiché une seule fois un visage froid, comment aurait-il pu avoir un regard pareil ? Je pen

Alors que la tension était à son comble, Nicolas s'est soudain tourné vers Antoine et lui a lancé : « Vas-y, dis-le. Combien tu as remboursé pour leur famille ? Si je n'étais pas rentré trop tard, cette dette ne serait jamais tombée sur toi. » « Ah ouais ? » Antoine a ricané. « Si c'était pas moi, ce serait sûrement pas toi non plus. » « Ça, c'est pas sûr, » a répliqué Nicolas d'un ton ferme. « Si j'avais été en France, Élise serait sûrement venue me demander de l'aide en premier. » Est-ce que j'aurais demandé de l'aide à Nicolas ? Franchement, je n'en avais vraiment aucune idée.Les questions hypothétiques de ce genre n'avaient de toute façon jamais de réponse certaine.Le visage d'Antoine est alors devenu encore plus sombre, plus fermé qu'avant.Ses longs doigts fins tambourinaient doucement et de manière irrégulière sur le bord de la table ; ce geste, bien que semblant anodin et désinvolte, trahissait en réalité une froideur palpable.L'atmosphère devenait de plus en plus tendue

Pourtant, sa main n'avait pas du tout lâché mon menton, et il m'a regardée avec une expression dure et sombre avant de me demander d'une voix glaciale : « Si à ce moment-là il était en France, serais-tu vraiment allée le voir pour qu'il aide ta famille à rembourser ses dettes, puis pour devenir sa femme ? » « Non, jamais ! » Peu importe si j'avais cherché Nicolas à ce moment-là, je devais absolument répondre « non » maintenant, c'était une évidence.Je pensais que cette réponse pourrait au moins lui plaire un peu, et qu'elle lui donnerait une raison de desserrer ses doigts serrés autour de mon menton.Mais à ma grande surprise, il s'est mis à crier, pris par la colère, en me lançant brusquement : « Élise Moreau, tu as cru vraiment qu'il t'aimait ? Au début, il est venu vers toi seulement parce que... » « Assez ! » J'en ai eu vraiment assez.L'un m'a dit qu'Antoine avait déjà une femme qu'il aimait, qu'il ne pouvait pas m'aimer.L'autre m'a dit que Nicolas ne m'aimait pas vraiment,