Semua Bab Après la faillite, mon mari est devenu mon bienfaiteur: Bab 21 - Bab 30

Peut-être qu'assez rapidement, la nouvelle que j'étais l'amante d'Antoine allait se répandre partout.Le moment venu, moi, qui étais autrefois une héritière d'une grande famille aisée, je ne serai plus qu'un sujet de moquerie, un simple objet de conversation banale que les gens évoqueront sans grand intérêt lors de leurs bavardages après le repas.Mes parents n'osaient pas y croire et me demandaient si c'était vraiment vrai que j'avais divorcé d'Antoine.Dès que je lui ai confirmé, mon père s'est mis à insulter Antoine comme jamais, le traitant de tous les noms et le maudissant de tout son cœur.Mon frère, à côté, a soufflé froidement : « Il nous a remboursé toutes nos dettes, il t'a donné dix millions, tu veux quoi de plus ? Tu ne réfléchis pas à la manière dont on l'a traité avant, ce qu'il a fait, c'est déjà pas mal. » « Mais ça ne veut pas dire qu'une fois qu'il a réussi, il peut juste abandonner notre Élise comme ça », a protesté ma mère avec amertume.J'ai soupiré et répondu : «

Alexandre a croisé les bras sur sa poitrine en souriant et a déclaré : « Cet hôtel appartient à ma famille, et cette soirée de danse, c'est juste un petit divertissement que nous, mes frères et moi, organisons quand on s'ennuie un peu. En réalité, ce que nous voulons, c'est profiter de l'occasion pour admirer de belles femmes. Alors, celles qui peuvent participer à cette grande fête de danse doivent forcément être des beautés de premier ordre, avec une silhouette et un visage parfait. » « Bien sûr, c'est nous, les frères, qui devons personnellement garder la porte d'entrée à l'inscription. Parce que les gens des ressources humaines, eux, sont sérieux et rigides, ils n'ont pas vraiment le sens de l'esthétique. N'est-ce pas, ma petite Élise ? » Ah, pouah ! Qui était sa petite Élise ? Je me suis demandé intérieurement, trouvant cet homme un peu louche, presque comme un voyou.Mais en surface, j'ai souri de façon aimable et j'ai demandé : « Alors, vous croyez que moi, je peux participe

Je me suis empressée de nier : « Non, non ! Comment pourrais-je avoir une liaison avec lui, c'est absolument impossible ! » Antoine a laissé échapper un petit rire moqueur, l'air de ne pas me croire du tout.Je le regrettais amèrement, je me suis dit que si j'avais su qu'il pouvait être aussi suspicieux, je ne l'aurais pas empêché de répondre à l'appel d'Alexandre.Justement à ce moment-là, le téléphone d'Alexandre a sonné de nouveau.Antoine a haussé un sourcil en me regardant.Je n'osais plus dire un mot, alors je lui ai fait signe de prendre l'appel rapidement.Il a grogné froidement, a décroché et a même mis le haut-parleur exprès.Alexandre a commencé sur un ton un peu énervé : « Merde, j'ai dû appeler deux fois avant que tu ne répondes, que se passe-t-il ? Est-ce que je te dérange en plein truc important ? » Antoine m'a lancé un regard rapide, puis a soufflé d'un air impatient dans le téléphone : « Parle vite, qu'est-ce que tu veux ? » Alexandre a claqué la langue : « Tu sais,

Je ne savais pas vraiment quelle parole avait pu le contrarier, mais son visage s'était soudainement assombri.J'ai reculé de deux pas, le regardant prudemment : « Ne te fâche pas, je t'assure que je n'ai vraiment pas envie d'aller à Paris. » Demain, je devais participer à ce grand gala de danse et tenter de gagner ces trois millions.Quoi qu'il arrive, il m'était tout simplement impossible de partir avec lui à Paris.Antoine a continué à fumer lentement, sans la moindre hâte, tout en me fixant d'un regard glacial pendant bien une minute entière.Je me suis mise à tordre nerveusement mes mains, n'osant pas prononcer un seul mot de plus.Quand sa cigarette s'est consumée jusqu'au bout, il a écrasé le mégot et a dit d'un ton détaché : « Si tu ne veux pas y aller, alors n'y va pas. » J'ai poussé un soupir de soulagement immédiat.Il s'est redressé et a marché vers la sortie. En passant près de moi, il m'a lancé un regard de côté et m'a dit d'une voix froide : « Quand je ne suis pas là,

Soudain, sans lui laisser finir sa phrase, Alexandre lui a claqué une gifle directement sur les yeux.« Tu veux mourir ou quoi ? Tu as osé convoiter la femme du M. Dubois ? »Surpris, l'homme a changé d'expression, puis il s'est empressé de se couvrir les yeux avec ses mains en disant, penaud : « Hein ? La femme du M. Dubois ? Ah non, je ne regarde plus, haha, je n'ose plus regarder, je m'en vais tout de suite ! »En prononçant ces mots, l'homme s'est aussitôt élancé hors de la pièce à toute vitesse, disparaissant en un éclair.Je me suis alors approchée d'Alexandre et je lui ai parlé sérieusement : « Ne dis plus partout que je suis la femme d'Antoine, on n'a vraiment plus rien à voir, et si cette rumeur parvenait aux oreilles de la personne qu'il aime, ce serait vraiment mauvais. »« Quoi ? Ce n'est donc pas toi la personne qu'il aime profondément ? »Alexandre m'a regardée avec surprise, mais à l'instant suivant, il a rapidement détourné le regard ailleurs, une légère gêne s'étant br