Semua Bab Divorcée et oubliée, elle a ébloui le monde: Bab 191 - Bab 200

Elle connaissait trop bien Gabriel.Dans son cœur, il y avait peut-être pour elle un soupçon de sentiment et d’attachement nés de leurs ébats, mais c’était incomparable à tant d’autres personnes et d’autres choses. L’entreprise, sa carrière, ses amis d’enfance, son amour de jeunesse, tous passaient avant elle. En sept ans, elle l’avait parfaitement compris.S’il y avait une balance dans le cœur de Gabriel, elle était sans aucun doute le poids le plus léger. Sur ce point, il ne la décevait jamais.Lucia ne connaissait pas les détails de la situation. Elle a grondé et reproché à son fils d’être parti sans prévenir, puis est venue réconforter Claire, craignant qu’elle ne soit contrariée....Vers midi, la famille Hubert est arrivée.C’était le grand frère de Lucia, Philippe Hubert, autrement dit l’oncle de Gabriel. Il était accompagné de sa femme Marianne et de leur fils Pacome.Quand ils sont arrivés, Claire a accompagné sa belle-mère pour les accueillir.Un homme d’âge mûr à l’a

Un bruit s’est fait entendre derrière elle. Elle s’est retournée et a vu l’adolescent pousser la porte pour entrer, ne portant qu’une fine veste en jean bleu-noir, vêtu légèrement sans se soucier du froid, souriant avec insolence et désinvolture.« Salut, belle-sœur ~ »...Dans le bureau.« Lucia, nous n’avions vraiment pas d’autre choix que de venir vous demander de l’aide.Philippe a poussé un lourd soupir.« Tu le sais, Marianne et moi, nous sommes en pleine période de développement professionnel ces dernières années, nous allons partout dans le pays et à l’étranger. Nous avons négligé l’éducation de cet enfant, et nous n’aurions jamais pensé que ses grands-parents le gâteraient autant, sans aucune limite. Maintenant, il fait vraiment n’importe quoi, il a même... il a même... »Il s’est bloqué un long moment sans pouvoir terminer sa phrase.Lucia a échangé un regard avec Rolland, pleine d’inquiétude, « Que s’est-il passé exactement ? »« Je vais le dire. »Marianne a soup

Claire a eu un petit rire, « Désolée, moi je frappe les hommes. »Ces derniers jours, entre les obstacles répétés pour le divorce, les menaces, la surveillance et la contrainte, elle était déjà débordée et de très mauvaise humeur. Et voilà que ce petit morveux à la langue bien pendue venait se jeter dans la gueule du loup.Elle n’a évidemment pas été tendre, le poursuivant pour lui frapper les fesses.« M’apprendre comment vivre ? Et en plus me maudire... »Non seulement il avait le culot de lui faire la leçon, mais en plus il l’insultait de manière détournée et la maudissait à rester mariée à Gabriel toute sa vie ?Il méritait vraiment une correction !Et cette correction l’a mené jusqu’au bureau....Séparés par une porte.Claire se tenait dehors, observant d’un air impassible le groupe de personnes à l’intérieur, tenant toujours la pelle de jardinage sans entrer.Les personnes dans le bureau étaient toutes stupéfaites.Personne n’avait jamais vu Claire ainsi. Personne n’a

« Nous aurions dû nous en rendre compte plus tôt. »Sarah avait un visage glacial, « Olivier n’est pas mort, et pourtant il ne se manifeste pas, laissant le Groupe Durand vaciller dangereusement. Il doit tranquillement observer le spectacle dans les coulisses depuis un moment déjà. D’après toi, combien de temps avant que le Groupe Durand ne s’effondre ? »Pascal a froncé les sourcils, a brièvement réfléchi et a secoué la tête, « Pas encore assez. »« Exactement, pas encore assez. Mais si nous continuons ainsi, c’est nous qui serons découverts en premier. »Sarah a baissé les yeux et a dit calmement, « Ce que nous avons obtenu jusqu’à présent est déjà considérable. Retirons-nous d’abord pour sécuriser ce que nous avons en main. Quant à la famille Durand, nous aurons d’autres occasions, n’est-ce pas ? »Pascal a reconsidéré la situation et a souri, « Tu as raison. Olivier a encore un talon d’Achille : son frère. Il a toujours été épris de toi. Si nous l’utilisons correctement, nous

« Elles se font des idées toutes seules, en quoi c’est mon problème ! »« C’est toujours pareil avec vous ! Si mon cousin fait quelque chose de mal, c’est forcément faux, ce sont des rumeurs. Mais moi, vous ne me croyez jamais ! »Philippe a haussé le ton, « Si tu n’avais pas cette intention, pourquoi se méprennent-elles ? Et elles sont une dizaine à se méprendre ! »« Comment les autres réfléchissent, c’est mon problème alors? »Le père et le fils se sont ainsi lancés des piques, Marianne épuisée tentant de temps en temps de les calmer. Ils se sont disputés tout le chemin du retour.Une fois arrivés à leur villa, Pacome, le visage sombre, a monté les escaliers à grands pas. On entendait depuis le rez-de-chaussée le bruit violent de la porte qu’il avait claquée....Pacome était allongé sur son lit, encore furieux en y repensant.Il s’est levé d’un bond et s’est dirigé vers son bureau. Il a ouvert la page de Twitter et a cliqué avec aisance sur le seul compte qu’il suivait en f