Semua Bab SOIS MA FEMME POUR 15 JOURS: Bab 61 - Bab 70

— Depuis combien de temps ça dure ? demanda Dolores dès qu’elle gara sa voiture dans le garage.— Depuis longtemps déjà, répondit Chelsea tristement.— Et tu n’en as parlé à personne ? demanda Dolores.— Je n’ai que ma mère, personne d’autre pour m’aider, alors j’ai dû garder ça pour moi, pour ne déranger personne, dit Chelsea.— Et pourquoi tu n’as rien dit à Alexander ? demanda Dolores.— On vit déjà dans sa maison, alors je ne pense pas que ce soit juste de lui en demander plus que ce qu’il fait déjà, répondit Chelsea en larmes.Les yeux de Dolores se remplirent aussi de larmes, elle avait pitié de Chelsea.— Tu n’as que seize ans, dis-moi comment tu peux gérer tout ça toute seule ?— Si je n’étais pas venue, je suis sûre que ces brutes t’auraient fait du mal.— Tu as au moins signalé ça à l’administration de l’école ? demanda Dolores.— Il n’y a pas de caméras de surveillance dans l’école, répondit Chelsea.— Tu changes d’école immédiatement, ce n’est pas sûr là-bas, déclara Dolor

— Je n’arrive pas à croire que tu m’aies menti en disant qu’elle n’était pas jolie, lança Isabel dès qu’elle entra dans la pièce.— C’est vraiment ça qui est important là, tout de suite ? répliqua Viviane, furieuse.— Qu’est-ce qui est important maintenant alors ? demanda Isabel.— Le fait qu’elle ait ruiné tous mes plans ! hurla Viviane en pleurant.— De toute façon, je n’ai jamais été pour ce plan, et franchement, ma chérie, je ne te conseille pas d’aller plus loin avec ça, dit Isabel.— Isabel, t’es complètement folle ! Tu sais à quel point j’aime Alex, je ne peux pas le laisser partir comme ça, répondit Viviane.— Tu l’aimes pour son fric, c’est tout, lâcha Isabel immédiatement.— Non, Isabel, ce n’est pas qu’une question d’argent. Je l’aime vraiment, Alex. Je l’aime pour de vrai, dit Viviane en larmes.— Waouh, t’es sérieuse. Tu connais le dicton : « on ne sait pas ce qu’on a jusqu’à ce qu’on le perde ».— Et maintenant que tu l’as perdu, laisse-le vivre sa vie avec sa femme, rép

— C’est un plaisir de rencontrer enfin le père de ma femme, dit Alex.— Attends Dolores… tu t’es mariée, et personne ne m’a rien dit ? dit l’homme.Alors Dolores se leva, furieuse.— C’est parce que pour moi et maman, tu es mort, dit-elle.L’homme tomba aussitôt à genoux.— Dolores, je suis désolé, dit-il.— C’est trop tard maintenant, répondit Dolores, puis elle attrapa son sac à main et quitta la pièce.Alex courut aussitôt après elle.Et lorsqu’ils arrivèrent à la voiture,Dolores éclata en sanglots.— Comment ose-t-il montrer son visage après tout ce qu’il a fait ? dit-elle en larmes.Alex poussa un soupir, s’approcha d’elle et la prit aussitôt dans ses bras.— Ça va aller, dit Alex.— Après tout ce qu’il nous a fait, à moi et maman… et il ose se pointer comme si de rien n’était ? dit Dolores en pleurant.— Chut, arrête de pleurer ma chérie, dit Alex en rompant l’étreinte.— Tu veux boire un verre ? proposa-t-il, et Dolores acquiesça.Il ouvrit alors la portière, elle monta dans l

SOIR 🌆Dolores se réveilla doucement puis s’assit. C’est alors qu’elle réalisa qu’elle était à l’hôpital.Elle vit Alex dormir profondément sur le canapé.Elle allait se lever quand Chelsea entra précipitamment dans la chambre.Cela réveilla Alex.— Je suppose que tu es réveillée, dit-il calmement.Mais Dolores ne lui répondit pas.— Que s’est-il passé ? Pourquoi suis-je à l’hôpital ? demanda Dolores.— Tu as perdu connaissance dans la salle de bain, répondit Alex.— Et qu’a dit le médecin ? demanda Dolores.— Que c’est dû au stress et que tu dois te reposer davantage, répondit Alex.Dolores soupira puis se tourna vers Chelsea.— Comment s’est passée l’école ? demanda Dolores.— Ça allait, mais quand je suis rentrée et que je ne t’ai pas vue, j’étais vraiment très inquiète, répondit Chelsea doucement.— Je vais bien, tu n’as plus à t’inquiéter. Et tu aimes ta nouvelle école ? demanda Dolores.— Aimer ? J’adore ma nouvelle école, répondit Chelsea en riant, ce qui fit sourire Dolores.

Soudain, Melinda sortit son téléphone et composa un numéro.— Tu peux venir à l’adresse que je vais t’envoyer ? Il faut nettoyer un bordel, dit-elle, puis elle raccrocha.— Maman, qui as-tu appelé ? demanda Daniel, presque en larmes.— Ne t’inquiète pas, mon fils. Ce n’est rien de grave, répondit Melinda.Quelques heures plus tard, la pièce était aussi propre que si rien ne s’était passé, et le corps avait été évacué sans que personne ne s’en rende compte.— Bordel, maman… T’as déjà tué quelqu’un ? Comment tu connais ces gens ?— Il n’y a aucune preuve que j’étais ici ni qu’un meurtre a eu lieu, dit Daniel avec un sourire.— Tu peux la fermer ? répliqua Melinda.Soudain, une grande femme entra dans la pièce avec un sourire.— Qu’est-ce qu’elle fait ici ? demanda Daniel.— Tu es venu à l’hôtel avec une femme, alors tu repartiras avec une femme.— Elle est blonde comme l’autre fille, et elle porte la même tenue, dit calmement Melinda.— Putain, maman, je t’aime, dit Daniel en la serrant