บททั้งหมดของ Le répétiteur de ma fille: บทที่ 11 - บทที่ 20

– Il s’en fout de ma beauté ! Au lit, il ne me regarde pas. Même quand je suis couchée dans le lit toute nue, il s’en fout de moi. Chaque fois qu’il monte dans le lit, il ne fait que se draper de la tête aux pieds. Parfois, lorsque je mets de côté la honte pour lui demander de me faire l’amour, il me dit sans vergogne qu’il est fatigué et qu’il a eu une journée très chargée et si et ça !– Quoi ? Mais c’est stupide cela ! Comment il peut faire cela ? Pourtant tu as une belle forme ! Une très belle rondelle ! Ou dis, ou bien il a une maîtresse en ville ?– J’en suis sûre et très certaine ! Il passe chez sa maîtresse et fais bien l’amour avec elle avant de rentrer et moi, il me laisse sur ma soif et ma faim de sexe. Je suis confuse. Toutes les nuits, il faut venir me voir malheureuse pendant que lui, satisfait par sa maîtresse ou ses maîtresses, trouvait paisiblement le sommeil. Je suis fatiguée de supporter cela ; je n’en peux plus !Guy, baissant la tête, se mit à réfléchir face à ma

Ses mains, ayant longuement parcouru mes cheveux et quelques autres parties de ma tête, sont descendues sur mes seins. Se redressant légèrement, Guy avait saisi mes deux seins et les cognait l’un contre l’autre. Il les prenait par moment par les mamelons, ce qui intensifiait davantage le plaisir en moi. Oui, je sentais une grande douceur au plus profond de moi ; une douceur que je ne peux vraiment pas expliquer ou décrire.Se courbant légèrement sur moi, Guy a attrapé le mamelon de mon sein droit dans sa bouche. Comme un bébé, il a commencé à me téter.Non, c’était magnifique ! Les yeux fermés, je perdais le contrôle. Sa façon de me téter était simplement wouah ! Je ne sais vraiment pas comment l’expliquer. C’est comme on dit que le vrai propriétaire d’une chose ne reconnaît pas vraiment sa vraie valeur ; sauf autrui.Xavier a eu la chance d’avoir une belle femme disposant de tous les atouts que recherchent les hommes mais malheureusement, il n’en prend pas soin.Il faut que je l’avou

Je suis rentrée à la maison très fâchée. Au salon, était assise Elcha, une grosse boîte de yaourt en main. Ne serait-ce que son Père Noël qui la lui aurait offerte.– Toi, où est ton père ? lui ai-je demandé en colère.– Quoi ? Est-ce que ça va ?– Arrête de m’interroger et réponds à ma question !Haussant les épaules, Elcha me quitta du regard.– N’est-ce pas à toi que je m’adresse ou tu me veux d’abord une claque ?Elcha, comme si je venais de lui manquer du respect, s’est levée et s’est dirigée vers les escaliers en me disant : « Tu connais bien le numéro de papa, tu peux l’appeler ».Oh mon Dieu ! Avec cette réaction, j’ai failli l’étrangler. Mais le mieux, c’était de l’ignorer s’en aller.Tenant les gardes des escaliers, elle les montait lorsque soudain, j’ai vu apparaître Xavier à la porte.– Pourquoi est-ce que tu cries sur ma fille ?Fixant mon interlocuteur, j’ai d’abord avalé une gorgée de salive.– Écoute, Elcha est ta fille ! N’oublie pas qu’elle est aussi la mienne ! Alor

Après être passée dans un coin secret où se vend la viande braisée du porc, me voilà en face du portail de la maison où avait loué Guy.Descendant de ma moto, je suis allée ouvrir le portail. Traînant la moto dans la cour, je suis revenue le rabattre avant de continuer mon chemin avec ma moto jusqu’à arriver à la devanture de sa chambre. Sans toquer, j’ai poussé la porte et suis entrée à l’intérieur.– Y a-t-il quelqu’un ? ai-je demandé, amusée.– Bien sûr que oui ! Ha ha ha, a-t-il répondu en sortant de la chambre à coucher, serviette à la hanche.– Quoi ? Viens-tu de la douche ?– Non, c’est maintenant que je veux m’y rendre !– Alors là ça marche ! Nous allons prendre le bain ensemble ! Façon que j’aime prendre du bain avec mon homme. Mais malheureusement, le gars-ci n’aime pas les choses amusantes. Il trouve que j’exagère !– Quoi ? Allez, viens on ira prendre ensemble notre bain !Et puisque j’ai trouvé celui qui allait répondre à tous mes besoins, chap, j’ai enlevé ma robe, mon

Sur sa bite, j’ai fait plus de quinze minutes et là, me voilà atteindre mon orgasme, ce que je n’ai jamais atteint depuis toutes ces années de mariage avec ce salaud d’avocat qui n’a jamais le temps de me faire l’amour comme je l’aurais toujours voulu.Une grande excitation mêlée de joie m’a envahie. Je me suis retirée du pénis de Guy et perdant le contrôle, je suis tombée sur le lit en vibrant comme un téléphone portable.Jamais de ma vie, je ne savais qu’il y avait une vibration en moi. C’est maintenant que j’ai compris que si le blanc a pu créer un petit appareil qui vibre dans les téléphones, c’est parce que Dieu en a créé dans la femme.Ayant atteint mon orgasme, je ne pouvais pas abandonner Guy. Il fallait que lui aussi atteigne son orgasme puisque le plaisir doit être équitable.Reprenant position, je lui ai demandé de me baiser encore. Et puisque son pénis était encore bien dur et prêt à me baiser la fente, il me l’a inséré et le jeu a continué.« Ah ! Ah ! Aï ! J’aime ça ! Ba